Histoire de la littérature française du moyen age aux temps modernes |
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Page 14
... tiré de la voix du rapsode et de l'habileté de ses doigts un agrément capable de compenser , au profit d'oreilles peu délicates et très - indulgentes , la mo- notonic de la versification . Au reste , notre vers 14 LITTÉRATURE FRANÇAISE .
... tiré de la voix du rapsode et de l'habileté de ses doigts un agrément capable de compenser , au profit d'oreilles peu délicates et très - indulgentes , la mo- notonic de la versification . Au reste , notre vers 14 LITTÉRATURE FRANÇAISE .
Page 20
... tiré son nom d'alexandrin . L'assonance , au lieu de la rime , est un signe plus certain encore d'ancienneté : or , la Chevalerie Ogier de Danemarche , par Raimbert de Paris , est en vers assonants et de dix syllabes . Ce poëme , tel qu ...
... tiré son nom d'alexandrin . L'assonance , au lieu de la rime , est un signe plus certain encore d'ancienneté : or , la Chevalerie Ogier de Danemarche , par Raimbert de Paris , est en vers assonants et de dix syllabes . Ce poëme , tel qu ...
Page 49
... tiré la lugubre tragédie de Gabrielle de Vergy , par la confusion de deux héroïnes parfaitement distinctes . En effet , la dame de Faiel n'était pas châtelaine de Vergy ; et de plus , la châtelaine de Vergy ne s'appelait pas Gabrielle ...
... tiré la lugubre tragédie de Gabrielle de Vergy , par la confusion de deux héroïnes parfaitement distinctes . En effet , la dame de Faiel n'était pas châtelaine de Vergy ; et de plus , la châtelaine de Vergy ne s'appelait pas Gabrielle ...
Page 64
... tiré des entrailles de la terre pour circuler , et non pour s'y cacher de nouveau , après avoir pris la forme de monnaie ; travaillez sans relâche , et ne vous nourrissez pas aux dépens d'autrui ; croissez et multipliez si ces pré ...
... tiré des entrailles de la terre pour circuler , et non pour s'y cacher de nouveau , après avoir pris la forme de monnaie ; travaillez sans relâche , et ne vous nourrissez pas aux dépens d'autrui ; croissez et multipliez si ces pré ...
Page 77
... tiré du règne animal comme moyen de satire sociale . Un poëte contemporain de Jean de Meung et de Jacquemart Gelée , François de Rues , autre auxiliaire de Philippe le Bel , a fait de Fauvel ou la Jument un type des vanités du monde et ...
... tiré du règne animal comme moyen de satire sociale . Un poëte contemporain de Jean de Meung et de Jacquemart Gelée , François de Rues , autre auxiliaire de Philippe le Bel , a fait de Fauvel ou la Jument un type des vanités du monde et ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 314 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme gerait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. L'univers n'en sait rien.
Page 382 - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 435 - Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique , pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher , si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête j et ils ont le nez si écrasé , qu'il est presque impossible de les plaindre.
Page 312 - En voyant l'aveuglement et la .misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis , ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant...
Page 170 - Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas ! de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos...
Page 250 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir. Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes; Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.
Page 381 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 248 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Page 298 - ... la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs...
Page 323 - Qui brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la Cour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment, De l'intérêt du Ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, Et que leur passion dont on leur sait bon gré. Veut nous assassiner avec un fer sacré.