Oeuvres complètes de P. Corneille, Volume 1chez Lefevre, 1858 |
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... autre par la beauté de ses ouvrages , sont néan- moins égaux en mérite , s'ils se sont également élevés chacun au - dessus de son siècle . Il est vrai que l'un a été bien plus haut que l'autre ; mais ce n'est pas qu'il ait eu plus de ...
... autre par la beauté de ses ouvrages , sont néan- moins égaux en mérite , s'ils se sont également élevés chacun au - dessus de son siècle . Il est vrai que l'un a été bien plus haut que l'autre ; mais ce n'est pas qu'il ait eu plus de ...
Page 41
... autre hasarde . L'une en t'aimant s'expose au péril d'un mépris ; L'autre ne t'aime point que tu n'en sois épris ; L'une t'aime engagé vers une autre moins belle , L'autre se rend sensible à qui n'aime rien qu'elle ; L'une au desçu des ...
... autre hasarde . L'une en t'aimant s'expose au péril d'un mépris ; L'autre ne t'aime point que tu n'en sois épris ; L'une t'aime engagé vers une autre moins belle , L'autre se rend sensible à qui n'aime rien qu'elle ; L'une au desçu des ...
Page 56
... autre qu'à lui Pour autant de larcins faits sur le bien d'autrui . LA NOURRICE . J'entends à demi - mot ; achève ... autre , et davantage . MÉLITE . Le bien ne touche point un généreux courage . LA NOURRICE . Tout le monde l'adore et ...
... autre qu'à lui Pour autant de larcins faits sur le bien d'autrui . LA NOURRICE . J'entends à demi - mot ; achève ... autre , et davantage . MÉLITE . Le bien ne touche point un généreux courage . LA NOURRICE . Tout le monde l'adore et ...
Page 62
... autre rivage . CLITON . Monsieur , rentrez en vous , regardez mon visage ; Reconnoissez Cliton . ÉRASTE . Dépêche ... autre bord sans moi ? Si faut - il qu'à ton cou je passe malgré toi . ( Il se jette sur les épaules de Cliton , qui l ...
... autre rivage . CLITON . Monsieur , rentrez en vous , regardez mon visage ; Reconnoissez Cliton . ÉRASTE . Dépêche ... autre bord sans moi ? Si faut - il qu'à ton cou je passe malgré toi . ( Il se jette sur les épaules de Cliton , qui l ...
Page 67
... autre air , un autre âge : Je ne reconnois plus aucun de vos attraits ; Jadis votre nourrice avoit ainsi les traits , Le front ainsi ridé , la couleur ainsi blème , Le poil ainsi grison . O dieux ! c'est elle - même . Nourrice , qui t ...
... autre air , un autre âge : Je ne reconnois plus aucun de vos attraits ; Jadis votre nourrice avoit ainsi les traits , Le front ainsi ridé , la couleur ainsi blème , Le poil ainsi grison . O dieux ! c'est elle - même . Nourrice , qui t ...
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Common terms and phrases
ACHORÉE Adieu ADRASTE ÆMILIE aime ALCANDRE ALCIDON ALIDOR amant AMARANTE amour ANGÉLIQUE ARONTE assez Auguste avoit beau beauté CALISTE Camille CÉLIDAN CÉLIDÉE César cher Chimène CHLORIS CHRYSANTE ciel Cinna CLARICE CLARIMOND CLEANDRE CLÉON CLÉOPATRE CLINDOR Clitandre cœur comédie Corneille courage crainte Créuse crime CURIACE DAPHNIS déja desirs dessein DIÈGUE dieux dire discours donne DORASTE DORIMANT DORISE douleur ÉRASTE esprit étoit EUPHORBE FÉLIX feux flamme FLORAME Florange FLORICE GÉRONTE gloire grace haine HIPPOLYTE HORACE hymen ISABELLE j'ai j'en jamais Jason l'amour laisse LYSANDRE LYSE m'en madame main maîtresse malheur MATAMORE Maxime Médée Mélite mort mourir n'en NÉARQUE NOURRICE par-là parler paroître PAULINE pense père PHILANDRE PHILISTE PHYLIS pièce pleurs Polyeucte Pompée PTOLOMÉE punir PYMANTE qu'à qu'un raison rien Rodrigue Romains Rome Rosidor s'il Sabine sais sang SCÈNE sentiments seroit seul Sévère sœur sort souffrir soupirs STRATONICE supplice théâtre TIRCIS tragédie trépas venger veut veux vois Voltaire yeux
Popular passages
Page 489 - Percé jusques au fond du cœur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle, Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue.
Page 488 - Et ce fer, que mon bras ne peut plus soutenir, Je le remets au tien pour venger et punir. Va contre un arrogant éprouver ton courage : Ce n'est que dans le sang qu'on lave un tel outrage ; Meurs ou tue.
Page 691 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire, Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 752 - Tout beau, Pauline : il entend vos paroles ; Et ce n'est pas un Dieu comme vos dieux frivoles, Insensibles et sourds, impuissants, mutilés, De bois, de marbre, ou d'or, comme vous les voulez...
Page 771 - Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières; Son sang, dont tes bourreaux viennent de me couvrir, M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée : De ce bienheureux sang tu me vois baptisée; Je suis chrétienne enfin, n'esVce point assez dit?
Page 682 - Qu'il te souvienne De garder ta parole , et je tiendrai la mienne. Tu vois le jour , Cinna ; mais ceux dont tu le tiens Furent les ennemis de mon père , et les miens : Au milieu de leur camp tu reçus la naissance; Et lorsque après leur mort tu vins en ma puissance , Leur haine enracinée au milieu de ton sein T'avait mis contre moi...
Page 640 - II a fait de l'État une juste conquête; Mais que sans se noircir, il ne puisse quitter Le fardeau que sa main est lasse de porter, Qu'il accuse par là César de tyrannie, Qu'il approuve sa mort, c'est ce que je dénie.
Page 750 - Saintes douceurs du ciel, adorables idées, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir ; De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir. Vous promettez beaucoup, et donnez davantage : Vos biens ne sont point inconstants, Et l'heureux trépas que j'attends Ne vous sert que d'un doux passage Pour nous introduire au partage Qui nous rend à jamais contents.
Page 16 - Il ya pourtant des choses agréables, mais rien de parfaitement beau, rien qui enlève, point de ces tirades de Corneille qui font frissonner.
Page 501 - Sire, mon père est mort : mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles, Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles, Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux De se voir répandu pour d'autres que pour vous, Qu'au milieu des hasards n'osait verser la guerre, Rodrigue en votre cour vient d'en couvrir la terre.