Mais je renais , hélas , c'eft toi, cruel amour, Qui pour mieux m'accabler voulut me rendre au jour. Ciel, que devins-je alors? Muette, confondue, J'interroge des yeux une foule éperdue ; Je te demande encore , & les vents furieux, Sans efpoir de retour... Choix littéraire - Page 2121760Full view - About this book
| Jacob Vernes - 1760 - 244 pages
...mourante , évanouie , En perd int mon Amant , j'avois perdu la vie. Mais je renais - hélas ! c'efl toi, cruel amour, Qui pour mieux m'accabler voulut...encore, & les vents furieux, Sans efpoir de retour t'éloignent de ces lieux. . . » Rien ne me retient plus à cette horrible image : Je m'échappe,... | |
| 1760 - 240 pages
...langueur Enchaîna tous mes fens, &pafld dans mon cœur. Je ne voyois plus rien : mourante, évanouie i En perdant mon Amant, j'avois perdu la vie. Mais je renais , hélas ! c'efl toi, cruel am»ur, Qui pour mieux m'accabler voulut me rendre au , . jour. Giel ! que devins-je... | |
| French literature - 1764 - 504 pages
...encore; Du trépas à l'inftant la funefte langueur Enchaîne tous mes ïens, & pafTa dans mon coeur. Je ne voyois plus rien: mourante, évanouie, En perdant mon Amant, j'avois perdu la vie. M us je renais,' hélas! c'efttoi, cruel amour, Qui pour mieux m'accabler voulut me rendre au jour.... | |
| French poetry - 1770 - 348 pages
...te preffoient encore I Du trépas à l'inftant la funeâe langueur Enchaîna tous mes fens & paffa dans mon cœur. Je ne voyois plus rien : mourante...Qui pour mieux m'accabler voulut me rendre au jour.. Ciel ! que devins-je alors ? Muette , confondue, J'interroge des yeux une foule éperdue ; Je te demande... | |
| Publius Ovidius Naso - 1771 - 232 pages
...te preflbient encore ; Du trépas à l'inftant la funefte langueur Enchaîna tous mes fens & paffa dans mon cœur. Je ne voyois plus rien : mourante,...Qui pour mieux m'accabler voulut me rendre au jour. Ciel, que devins-je alors? Muette, confondue, J'interroge des yeux une foule éperdue ; Je te demande... | |
| French literature - 1777 - 464 pages
...te prefToient encore; Du trépas à l'inftant la funefte langueur Enchaîne tous mes fens, & pafTa dans mon cœur. Je ne voyois plus rien: mourante,...évanouie, En perdant mon Amant, j'avois perdu la vie. JM ds je renais, hélas! c'efttoi, cruel amour, Qui pour mieux m'accaller voulut me rendre au jour.... | |
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