Œuvres completes de Voltaire, Volume 1la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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Page 51
... pleurs . Prefque toute cette fcène eft traduite mot pour mot d'Euripide . Il ne faut pas cependant que le lecteur , féduit par cette traduction , s'imagine que la pièce d'Euripide foit un bon ouvrage . Voilà le feul bel endroit de fa ...
... pleurs . Prefque toute cette fcène eft traduite mot pour mot d'Euripide . Il ne faut pas cependant que le lecteur , féduit par cette traduction , s'imagine que la pièce d'Euripide foit un bon ouvrage . Voilà le feul bel endroit de fa ...
Page 65
... pleurs : Et de vos feuls périls chaque jour alarmée , Mon ame à d'autres foins femblait être fermée . Ce compliment ne me paraît point une excufe valable de l'ignorance d'Oedipe . La Théâtre . Tome I. F crainte de déplaire à sa femme ...
... pleurs : Et de vos feuls périls chaque jour alarmée , Mon ame à d'autres foins femblait être fermée . Ce compliment ne me paraît point une excufe valable de l'ignorance d'Oedipe . La Théâtre . Tome I. F crainte de déplaire à sa femme ...
Page 115
... pleurs nous étions occupés : Quand du courroux des dieux miniftre épouvantable , Funefte à l'innocent fans punir le coupable , Un monftre , ( loin de nous que fefiez - vous alors ? ) Un monftre furieux vint ravager ces bords . Le ciel ...
... pleurs nous étions occupés : Quand du courroux des dieux miniftre épouvantable , Funefte à l'innocent fans punir le coupable , Un monftre , ( loin de nous que fefiez - vous alors ? ) Un monftre furieux vint ravager ces bords . Le ciel ...
Page 116
... PHILO CTET E. J'y viens porter mes pleurs et ma douleur profonde . Apprends mon infortune et les malheurs du monde . Mes yeux ne verront plus ce digne fils des dieux , Cet appui de la terre , invincible comme eux . 116 OEDIPE .
... PHILO CTET E. J'y viens porter mes pleurs et ma douleur profonde . Apprends mon infortune et les malheurs du monde . Mes yeux ne verront plus ce digne fils des dieux , Cet appui de la terre , invincible comme eux . 116 OEDIPE .
Page 117
... pleurs , Les deftins en fecret préparaient nos malheurs . Que j'admirais en vous cette vertu fuprême , Ce cœur digne du trône et vainqueur de foi - même ! En vain l'Amour parlait à ce cœur agité , C'est ACTE PREMIER . 117.
... pleurs , Les deftins en fecret préparaient nos malheurs . Que j'admirais en vous cette vertu fuprême , Ce cœur digne du trône et vainqueur de foi - même ! En vain l'Amour parlait à ce cœur agité , C'est ACTE PREMIER . 117.
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Common terms and phrases
acte affez affreux ainfi ALCME ALCMEON amour Argos ARON Artémire auffi Brutus c'eft c'eſt Caffandre CHOEUR ciel Corneille coupable courroux craint crime cruel d'Oedipe deftin dieux efprit EGIN époux ERY PHILE eſt EUPHORBE facré faibleffe fang fans fauver fcène fecret femble fens fentimens fentiment fervir feul févère fils foins foit fon cœur font forfaits foupçons fous fouvent fuis fujet funefte fupplice fur-tout fureur gloire Hélas Hermogide HERO HERODE hymen ICAR j'ai JOCAST jufte juſtice l'amour laiffe Laïus Licteurs lieux Madame mains malheureux Mariamne MAZA Meffala MESSA monftre mont Cithéron mort n'eft NARBA Oedipe paffer paffions parler penfer père peuple Philoctete Philotas Phorbas pièce plaifir pleurs preffe PRETRE PROCULUS puiffe raifon refpect refte reine rime rois Romains Rome SALOM SCENE Seigneur Sénat ſes SOHEM Sohême ſon Sophocle Tarquin théâtre Thébains Thèbes TITUS tragédie trépas trifte trône Tullie tyrans Varus venger vertu yeux
Popular passages
Page 106 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Page 229 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Page 160 - Ce roi, plus grand que sa fortune, Dédaignait comme vous une pompe importune : On ne voyait jamais marcher devant son char D'un bataillon nombreux le fastueux rempart : Au milieu des sujets soumis à sa puissance, Comme il était sans crainte, il marchait sans défense : Par l'amour de son peuple il se croyait gardé.
Page 369 - Vous, nés tous ses sujets; vous, faits pour obéir? Un fils ne s'arme point contre un coupable père; II détourne les yeux, le plaint, et le révère.
Page 370 - Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.
Page 230 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Page 63 - Aux crimes malgré moi l'ordre du ciel m'attache: Pour m'y faire tomber à moi-même il me cache; II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.
Page 370 - Si dans le sein de Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître , Que le perfide meure au milieu des tourments; Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans que Rome entière abhorre.
Page 230 - Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve ' ; Dans le fond des forêts votre image me suit ; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite (< .v Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.