L'Europe et la revolution francaise..E. Plon, Nourrit et Cie, 1903 |
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Popular passages
Page 7 - Washington est mort. Ce grand homme s'est battu contre la tyrannie. Il a consolidé la liberté de sa patrie. Sa mémoire sera toujours chère au peuple français comme à tous les hommes libres des deux mondes, et spécialement aux soldats français qui, comme lui et les soldats américains, se battent pour l'égalité et la liberté.
Page 505 - Cette victoire finira notre campagne , et nous pourrons reprendre nos quartiers d'hiver, où nous serons joints par les nouvelles armées qui se forment en France, et alors la paix que je ferai sera digne de mon peuple, de vous et de moi.
Page 273 - Les Anglais veulent la guerre : mais, s'ils son.t les premiers à tirer l'épée, j'e serai le dernier à la remettre dans le fourreau ; ils ne respectent pas les traités, il faut dorénavant les couvrir d'un crêpe noir...
Page 398 - respecter et de faire respecter les lois du concordat et la « liberté des cultes ; de respecter et faire respecter l'égalité « des droits, la liberté politique et civile, l'irrévocabilité des « ventes des biens nationaux ; de ne lever aucun impôt, de « n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de maintenir « l'institution de la légion d'honneur; de gouverner dans la « seule vue de l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple
Page 133 - I" est mort dans la nuit du 24 au 25 ' ; l'escadre anglaise a passé le Sund le 31. L'histoire nous apprendra les rapports qui peuvent exister entre ces deux événements.
Page 204 - Bien des années s'écouleront désormais pour nous sans victoires, sans triomphes, sans ces négociations éclatantes qui font les destinées des états ; mais d'autres succès doivent marquer l'existence des nations , et surtout l'existence de la République : partout l'industrie s'éveille; partout le commerce et les arts tendent à s'unir pour effacer les malheurs de la guerre ; des travaux de tous les genres appellent la pensée du gouvernement.
Page 339 - Offembourg et à Ettenheim pour y saisir les instigateurs d'un crime qui, par sa nature, met hors du droit des gens tous ceux qui manifestement y ont pris part.
Page 340 - J'ai fait arrêter et juger le duc d'Enghien parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt et à l'honneur du peuple français, lorsque le comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance, j'agirais de même.
Page 505 - Au lieu d'une bataille en Moravie, je gagnais une bataille d'Issus, je me faisais Empereur d'Orient et je revenais à Paris par Constantinople.
Page 209 - C'est, contre Bonaparte, l'argument sans réplique invoqué par l'auteur des Libelles de 1802* : « Il semblerait que les généraux et les armées qui ont vaincu en Italie, en Helvétie et à Hohenlinden sont disparus et dissipés comme de la fumée : le premier Consul, Lunéville, Amiens; Amiens, Lunéville, le premier Consul : voilà donc tout ce qui constitue la nation française... Soldats! vous n'avez plus de patrie, la République n'existe plus, et votre gloire est ternie, votre nom est sans...