Essais sur la philosophie et la religion au XIXe siècle |
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... saint Augustin et à Pélage , à Calvin et à Rousseau , à Fénelon et à Voltaire , commun au concile de Nicée et à l'Assemblée constituante , et qui fait des montagnards de la Convention nationale les héritiers légitimes des Athanase , des ...
... saint Augustin et à Pélage , à Calvin et à Rousseau , à Fénelon et à Voltaire , commun au concile de Nicée et à l'Assemblée constituante , et qui fait des montagnards de la Convention nationale les héritiers légitimes des Athanase , des ...
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... saint Augustin , de celui de Luther et de Bruno ? C'est dans ces fortes épreuves , c'est au sein des persécutions et des combats , que la philosophie et la religion font paraître toute leur puis- sance et l'inépuisable vitalité qui est ...
... saint Augustin , de celui de Luther et de Bruno ? C'est dans ces fortes épreuves , c'est au sein des persécutions et des combats , que la philosophie et la religion font paraître toute leur puis- sance et l'inépuisable vitalité qui est ...
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... saint Augustin avait fait servir la philosophie de Platon , et saint Thomas celle d'Aristote , à l'établissement , à la dé- fense , à la systématisation des dogmes fondamentaux du christianisme . De nos jours , ces illustres exemples n ...
... saint Augustin avait fait servir la philosophie de Platon , et saint Thomas celle d'Aristote , à l'établissement , à la dé- fense , à la systématisation des dogmes fondamentaux du christianisme . De nos jours , ces illustres exemples n ...
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... saint Augustin a bien mieux établi l'existence de Dieu . Or , toutes ces preuves qui satis- font si parfaitement M. l'abbé Maret sont empruntées à Platon . Il en est une , en particulier , fondée sur l'idée du beau , et qui est de la ...
... saint Augustin a bien mieux établi l'existence de Dieu . Or , toutes ces preuves qui satis- font si parfaitement M. l'abbé Maret sont empruntées à Platon . Il en est une , en particulier , fondée sur l'idée du beau , et qui est de la ...
Page 30
... Augustin , cette immense curiosité des choses divines qui inspirait le Monolo- gium de saint Anselme , et la Somme de saint Tho- mas , tout cela n'est - il plus qu'un glorieux souvenir ? Hommes imprudents et aveugles , qui voulez que la ...
... Augustin , cette immense curiosité des choses divines qui inspirait le Monolo- gium de saint Anselme , et la Somme de saint Tho- mas , tout cela n'est - il plus qu'un glorieux souvenir ? Hommes imprudents et aveugles , qui voulez que la ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 9 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 290 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 290 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 51 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Page 290 - C'est mal raisonner contre la religion, de rassembler dans un grand ouvrage une longue énumération des maux qu'elle a produits, si l'on ne fait de même celle des biens qu'elle a faits.
Page 50 - Cependant il est étrange de quelle sorte on révère leurs sentiments. On fait un crime de les contredire et un attentat d'y ajouter, comme s'ils n'avaient plus laissé de vérités à connaître.
Page 291 - Il serait triste pour nous d'être forcés de convenir que cette faculté distinctive et presque illimitée est la source de tous les malheurs de l'homme ; que c'est elle qui le tire, à force de temps, de cette condition originaire dans laquelle il coulerait des jours tranquilles et innocents; que c'est elle qui, faisant éclore avec les siècles ses lumières et ses erreurs, ses vices et ses vertus, le rend à la longue le tyran de lui-même et de la nature (i).
Page 51 - De là vient que, par une prérogative particulière, non seulement chacun des hommes s'avance de jour en jour dans les sciences, mais que tous les hommes ensemble y font un continuel progrès à mesure que l'univers vieillit, parce que la même chose arrive dans la succession des hommes que dans les âges différents d'un particulier.
Page 290 - La question n'est pas de savoir s'il vaudroit mieux qu'un certain homme ou qu'un certain peuple n'eût point de religion que d'abuser de celle qu'il a; mais de savoir quel est le moindre mal, que l'on abuse quelquefois de la religion, ou qu'il n'y en ait point du tout parmi les hommes.
Page 148 - ... l'essence de l'autre périrait en même temps. En conséquence, une chose q[ui est la cause d'un certain effet , et tout à la fois de son existence et de son essence, doit différer de cet effet, tant sous le rapport de l'essence que sous celui de l'existence.