Fables, Volume 1H. Fournier ainé, 1838 |
From inside the book
Results 1-5 of 20
Page 13
... personnes l'envie de porter la chose plus loin . Tant s'en faut que cette matière soit épuisée , qu'il reste encore plus de fables à mettre en vers que je n'en ai mis . J'ai choisi véritablement les meilleures , c'est - à - dire celles ...
... personnes l'envie de porter la chose plus loin . Tant s'en faut que cette matière soit épuisée , qu'il reste encore plus de fables à mettre en vers que je n'en ai mis . J'ai choisi véritablement les meilleures , c'est - à - dire celles ...
Page 13
... personnes d'àge avancé dans les connoissances que l'usage leur a données , et apprend aux enfants ce qu'il faut qu'ils sachent . Comme ces derniers sont nouveau- venus dans le monde , ils n'en connoissent pas encore les habitants ; ils ...
... personnes d'àge avancé dans les connoissances que l'usage leur a données , et apprend aux enfants ce qu'il faut qu'ils sachent . Comme ces derniers sont nouveau- venus dans le monde , ils n'en connoissent pas encore les habitants ; ils ...
Page 13
... personne qui ne tienne pour fabuleuse celle que Planude nous a laissée . On s'imagine que cet auteur a voulu donner à son héros un caractère et des aventures qui répondissent à ses fables . Cela m'a paru d'abord spé- cieux ; mais j'ai ...
... personne qui ne tienne pour fabuleuse celle que Planude nous a laissée . On s'imagine que cet auteur a voulu donner à son héros un caractère et des aventures qui répondissent à ses fables . Cela m'a paru d'abord spé- cieux ; mais j'ai ...
Page 13
... personnes viendront chez moi ; et je veux diversifier . Le lendemain , Ésope ne fit encore servir que le même mets , disant que la langue est la pire chose qui soit au monde : c'est la mère de tous débats , la nourrice des procès , la ...
... personnes viendront chez moi ; et je veux diversifier . Le lendemain , Ésope ne fit encore servir que le même mets , disant que la langue est la pire chose qui soit au monde : c'est la mère de tous débats , la nourrice des procès , la ...
Page 13
... personne ne s'imagina qu'il pût rien partir de raisonnable d'un homme fait de cette manière . Esope leur dit qu'il ne falloit pas considérer la forme du vase , mais la liqueur qui y étoit enfermée . Les Samiens lui crièrent qu'il dit ...
... personne ne s'imagina qu'il pût rien partir de raisonnable d'un homme fait de cette manière . Esope leur dit qu'il ne falloit pas considérer la forme du vase , mais la liqueur qui y étoit enfermée . Les Samiens lui crièrent qu'il dit ...
Contents
35 | |
38 | |
39 | |
42 | |
43 | |
44 | |
45 | |
46 | |
47 | |
49 | |
54 | |
64 | |
67 | |
68 | |
81 | |
84 | |
85 | |
89 | |
94 | |
97 | |
99 | |
105 | |
108 | |
110 | |
163 | |
166 | |
167 | |
170 | |
179 | |
180 | |
192 | |
193 | |
211 | |
213 | |
218 | |
221 | |
225 | |
225 | |
227 | |
230 | |
232 | |
234 | |
237 | |
239 | |
241 | |
246 | |
279 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
୪୪ ୪୪୪ ୪୪୪୪୪୪ Adieu Æsop affaire âne animal Aquila Asinus auroit avoit baudet beau belette berger bête bois brebis C'étoit cerf chats chatte cheval chiens chose cigogne corbeau cornes coup Crésus d'Ésope dauphin dents dieux dire disoit disoit-il dit-il enfants Esop Ésope étoient étoit eût FABLE XVIII FABLE XX faisoit falloit femme fendre du bois finit la comédie fourmi galant gåte gens grace Grandvill Grenouilles HEBAT HEBERT homme hypocondre J'ai j'en jour Junon Jupiter l l l l l l l'aigle l'alouette l'âne l'autre l'escarbot l'homme L'oiseau L'un là-dessus laissa lièvre lion loup Lupus Lycérus maint maître malheureux meûnier mort mouche n'avoit n'en Necténabo Nevelet Paon passer pauvre peine Phædr Phèdre Phrygien pieds plaisir PLAUS prit Progné queue Racan renard repartit rien s'en sauva seigneur seroit seul singe sive Socrate sort souris tête trésor trou trouve Verdizotti veux voilà voleurs Vulpes Xantus
Popular passages
Page 188 - Gardez-vous , leur dit-il , de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait Toût : Creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse.
Page 121 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page ix - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.
Page 50 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 24 - Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité.
Page 208 - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Page 49 - Le chêne un jour dit au roseau . Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au 'Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil , Brave l'effort de la tempête.
Page 13 - L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps, l'autre l'âme. Le corps est la fable ; l'âme, la moralité.
Page v - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 25 - Tu la troubles ! reprit cette bête cruelle; Et je sais que de moi tu médis l'an passé.