Fables, Volume 1H. Fournier ainé, 1838 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 11
... en présenter quelques essais . C'est un entretien convenable à vos premières an- nées . Vous êtes en un âge ** où l'amusement et les jeux sont permis aux princes ; mais en même temps vous devez donner quelques unes de vos pensées à des ...
... en présenter quelques essais . C'est un entretien convenable à vos premières an- nées . Vous êtes en un âge ** où l'amusement et les jeux sont permis aux princes ; mais en même temps vous devez donner quelques unes de vos pensées à des ...
Page 13
... en vers : il a cru que leur principal orne- ment est de n'en avoir aucun ; que d'ail- leurs la contrainte de la poésie , jointe à la sévérité de notre langue , m'embarrasseroient en beau- coup d'endroits , et banniroient de la plupart ...
... en vers : il a cru que leur principal orne- ment est de n'en avoir aucun ; que d'ail- leurs la contrainte de la poésie , jointe à la sévérité de notre langue , m'embarrasseroient en beau- coup d'endroits , et banniroient de la plupart ...
Page 13
... en rapporte est si agréable , que je ne puis m'empêcher d'en faire un des ornements de cette pré- face . Il dit que , Socrate étant condamné au dernier sup- plice , l'on remit l'exécution de l'arrêt à cause de certaines fêtes . Cébès l ...
... en rapporte est si agréable , que je ne puis m'empêcher d'en faire un des ornements de cette pré- face . Il dit que , Socrate étant condamné au dernier sup- plice , l'on remit l'exécution de l'arrêt à cause de certaines fêtes . Cébès l ...
Page 13
... en vers les derniers moments de sa vie . Socrate n'est pas le seul qui ait considéré comme sœurs la poésie et nos fables . Phèdre a témoigné qu'il étoit de ce sentiment ; et , par l'excellence de son ouvrage , nous pou- vons juger de ...
... en vers les derniers moments de sa vie . Socrate n'est pas le seul qui ait considéré comme sœurs la poésie et nos fables . Phèdre a témoigné qu'il étoit de ce sentiment ; et , par l'excellence de son ouvrage , nous pou- vons juger de ...
Page 13
... en cela , j'ai cru qu'il falloit en récompense égayer l'ouvrage plus qu'il n'a fait . Non que je le blâme d'en être demeuré dans ces ter- mes : la langue latine n'en demandoit pas davantage ; et , si l'on y veut prendre garde , on ...
... en cela , j'ai cru qu'il falloit en récompense égayer l'ouvrage plus qu'il n'a fait . Non que je le blâme d'en être demeuré dans ces ter- mes : la langue latine n'en demandoit pas davantage ; et , si l'on y veut prendre garde , on ...
Contents
35 | |
38 | |
39 | |
42 | |
43 | |
44 | |
45 | |
46 | |
47 | |
49 | |
54 | |
64 | |
67 | |
68 | |
81 | |
84 | |
85 | |
89 | |
94 | |
97 | |
99 | |
105 | |
108 | |
110 | |
163 | |
166 | |
167 | |
170 | |
179 | |
180 | |
192 | |
193 | |
211 | |
213 | |
218 | |
221 | |
225 | |
225 | |
227 | |
230 | |
232 | |
234 | |
237 | |
239 | |
241 | |
246 | |
279 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
୪୪ ୪୪୪ ୪୪୪୪୪୪ Adieu Æsop affaire âne animal Aquila Asinus auroit avoit baudet beau belette berger bête bois brebis C'étoit cerf chats chatte cheval chiens chose cigogne corbeau cornes coup Crésus d'Ésope dauphin dents dieux dire disoit disoit-il dit-il enfants Esop Ésope étoient étoit eût FABLE XVIII FABLE XX faisoit falloit femme fendre du bois finit la comédie fourmi galant gåte gens grace Grandvill Grenouilles HEBAT HEBERT homme hypocondre J'ai j'en jour Junon Jupiter l l l l l l l'aigle l'alouette l'âne l'autre l'escarbot l'homme L'oiseau L'un là-dessus laissa lièvre lion loup Lupus Lycérus maint maître malheureux meûnier mort mouche n'avoit n'en Necténabo Nevelet Paon passer pauvre peine Phædr Phèdre Phrygien pieds plaisir PLAUS prit Progné queue Racan renard repartit rien s'en sauva seigneur seroit seul singe sive Socrate sort souris tête trésor trou trouve Verdizotti veux voilà voleurs Vulpes Xantus
Popular passages
Page 188 - Gardez-vous , leur dit-il , de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait Toût : Creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse.
Page 121 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page ix - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.
Page 50 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 24 - Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité.
Page 208 - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Page 49 - Le chêne un jour dit au roseau . Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au 'Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil , Brave l'effort de la tempête.
Page 13 - L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps, l'autre l'âme. Le corps est la fable ; l'âme, la moralité.
Page v - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 25 - Tu la troubles ! reprit cette bête cruelle; Et je sais que de moi tu médis l'an passé.