L'Année philosophique: études critiques sur le mouvement des idées générales dans les divers ordres de connaissances, Volume 2G. Baillière, 1869 - Philosophy |
From inside the book
Results 1-5 of 85
Page 4
... premier . Nous ne parlons pas de l'intelligence qui approuve , mais de celle - là seulement qui saisit clairement le sens . Or on est contraint de dire de ces deux propositions qu'il faut que l'une soit vraie , l'autre fausse . De ...
... premier . Nous ne parlons pas de l'intelligence qui approuve , mais de celle - là seulement qui saisit clairement le sens . Or on est contraint de dire de ces deux propositions qu'il faut que l'une soit vraie , l'autre fausse . De ...
Page 14
... premier retira la philoso- phie du domaine de l'inconnu et des profondeurs que la nature nous dérobe , objet commun des recherches de tous ses prédé- cesseurs , pour la ramener à la vie toute simple , étudier les vertus et les vices ...
... premier retira la philoso- phie du domaine de l'inconnu et des profondeurs que la nature nous dérobe , objet commun des recherches de tous ses prédé- cesseurs , pour la ramener à la vie toute simple , étudier les vertus et les vices ...
Page 15
... premier des psy- chologues est aussi le premier des déterministes . Nulle différence , selon Socrate , entre la connaissance du bien et la pratique du bien ; les vertus sont des sciences ; on est juste ou tempérant quand on sait ce que ...
... premier des psy- chologues est aussi le premier des déterministes . Nulle différence , selon Socrate , entre la connaissance du bien et la pratique du bien ; les vertus sont des sciences ; on est juste ou tempérant quand on sait ce que ...
Page 16
... premier pas de la science de l'esprit . Il se fait dans l'hypothèse et , suivant nous , dans l'erreur . L'illusion est très- naturelle ; elle s'attache à l'idée même de science qui , partout où elle se porte , exige des déterminations ...
... premier pas de la science de l'esprit . Il se fait dans l'hypothèse et , suivant nous , dans l'erreur . L'illusion est très- naturelle ; elle s'attache à l'idée même de science qui , partout où elle se porte , exige des déterminations ...
Page 17
... et les causes . Elle y prend de plus la forme intellectuelle et morale dont So- crate est le premier auteur . Platon fait , il est vrai , pécher et tomber les âmes , ainsi qu'on l'a vu ci - L'INFINI , LA SUBSTANCE ET LA LIBERTÉ . 17.
... et les causes . Elle y prend de plus la forme intellectuelle et morale dont So- crate est le premier auteur . Platon fait , il est vrai , pécher et tomber les âmes , ainsi qu'on l'a vu ci - L'INFINI , LA SUBSTANCE ET LA LIBERTÉ . 17.
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolue Aryens attributs babysme Barthélemy Saint-Hilaire besoin Bodhisattva Bouddha bouddhique bouddhisme Brahma brahmane Burnouf c'est-à-dire Çakya-mouni caractère castes cause chose chrétienne conception conscience conséquence contradiction création créatures critique croyance culte détermination développement devoir Dieu Dieux distinction dit-il divine division doctrine dogme doit éternelle Eugène Burnouf force forme grec hommes humaine hymnes idées indien Indra infini justice Kant kshattriyas l'absolu l'âme l'esprit l'être l'existence l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'Inde l'infini l'unité l'univers Leibniz liberté libre arbitre logique lois Manou matière Max Müller Mayadévi ment métaphysique méthode monde monothéisme morale mythologie nature naturelle nécessaire négation nirvana nombre noumène objet panthéisme Paramita pensée phénomènes philosophie physique polythéisme positivisme premier prêtre primitive principe psychologie puissance qu'une question race raison réel religieux religion rien sacerdotale sacrifice sanscrit science Sémérie sens sentiment serait seule sociale société sorte Soutras spéculation substance suprême système théisme théologie théorie tion transmigration universelle vaiçya Véda védique vérité Vinaya volonté vrai
Popular passages
Page 180 - NQJUS voulons tel mouvement, et, sous l'influence médiatrice de l'imagination, qui traduit en quelque sorte dans le langage de la sensibilité les dictées de l'intelligence, du fond de notre être émergent des mouvements élémentaires, dont le mouvement voulu est le terme et l'accomplissement. Ainsi arrivaient à l'appel d'un chant, selon la fable antique, et s'arrangeaient, comme d'eux-mêmes, en murailles et en tours, de dociles matériaux.
Page 66 - ... pour affirmer ou nier , poursuivre ou fuir les choses que l'entendement nous propose , nous agissons de telle sorte que nous ne sentons point qu'aucune force extérieure nous y contraigne.
Page 260 - Pour la conservation de cette création toute entière, l'Etre souverainement glorieux assigna des occupations différentes à ceux qu'il avait produits de sa bouche, de son bras, de sa cuisse et de son pied. Il...
Page 258 - ce qui est, tout ce qui a été, tout ce qui sera, » et nul mortel n'a encore percé le voile qui me »- couvre (a).
Page 180 - D'après notre expérience, le ressort de toute la vie intérieure, c'est donc la pensée ou action intellectuelle qui, d'un état de diffusion et de confusion où elle n'a en quelque sorte qu'une existence virtuelle, se rappelle, se ramène, par un mouvement continuel de recomposition dans l'unité de la conscience, à l'existence active, et d'un état de sommeil et de rêve remonte incessamment à l'état de veille. Si les pierres de la fable obéissent à une mélodie qui les appelle, c'est qu'en...
Page 61 - Toute proportion gardée, il en est de l'essence et de l'existence comme de la matière et de la forme, de la puissance et de l'acte.
Page 391 - Recevez le SaintEsprit. Les péchés seront remis à ceux à qui vous les remettrez, et ils seront retenus à ceux à qui vous les retiendrez.
Page 297 - Car c'est de l'adultère que naît dans le monde le mélange des classes , et du mélange des classes provient la violation des devoirs, destructrice de la race humaine , qui cause la perte de l'univers.
Page 180 - Il semble, dit-il, qu'on ne saurait comprendre l'origine d'une existence inférieure à l'existence absolue, sinon comme le résultat d'une détermination volontaire par laquelle cette haute existence a d'ellemême modéré, amorti, éteint, pour ainsi dire, quelque chose de sa toute-puissante activité.
Page 191 - Un bourreau imagina de dire à un père que, s'il ne cédait pas, il couperait la gorge à ses deux fils sur sa poitrine. C'étaient deux petits garçons, dont l'aîné avait quatorze ans, et qui, rouges de leur propre sang, les chairs calcinées, écoutaient froidement le dialogue; le père répondit, en se couchant par terre, qu'il était prêt, et l'aîné des enfants, réclamant avec emportement son droit d'aînesse, demanda à être égorgé le premier (i).