L'Année philosophique: études critiques sur le mouvement des idées générales dans les divers ordres de connaissances, Volume 2G. Baillière, 1869 - Philosophy |
From inside the book
Results 1-5 of 86
Page 2
... condition d'être convenablement posées , sont de droit soustraites à la commune réprobation . Elles portent sur des objets clairement définis pour l'entendement , et il est permis de les appeler des questions de fait , quoiqu'on n'en ...
... condition d'être convenablement posées , sont de droit soustraites à la commune réprobation . Elles portent sur des objets clairement définis pour l'entendement , et il est permis de les appeler des questions de fait , quoiqu'on n'en ...
Page 18
... ce que sa philosophie a de plus original , est resté comme non avenu , inconnu est à peine trop dire , des anciens , jusqu'à l'époque où il n'a gagné une autorité apparente qu'à la condition d'avoir ses idées noyées 18 CRITIQUE GÉNÉRALE .
... ce que sa philosophie a de plus original , est resté comme non avenu , inconnu est à peine trop dire , des anciens , jusqu'à l'époque où il n'a gagné une autorité apparente qu'à la condition d'avoir ses idées noyées 18 CRITIQUE GÉNÉRALE .
Page 19
... condition d'avoir ses idées noyées dans des commentaires inintelligents et pédantesques , ou défigurées par le syncrétisme et les exigences de l'ortho- doxie catholique . Ensuite , il y a le scepticisme , dont les diffé- rentes nuances ...
... condition d'avoir ses idées noyées dans des commentaires inintelligents et pédantesques , ou défigurées par le syncrétisme et les exigences de l'ortho- doxie catholique . Ensuite , il y a le scepticisme , dont les diffé- rentes nuances ...
Page 22
... condition de ne pas en user , c'est - à - dire de s'identifier avec les desseins , avec la vo- lonté , avec l'essence même de Dieu . Mais Dieu même n'était pas autrement libre à leurs yeux qu'un être dont la 22 CRITIQUE GÉNÉRALE .
... condition de ne pas en user , c'est - à - dire de s'identifier avec les desseins , avec la vo- lonté , avec l'essence même de Dieu . Mais Dieu même n'était pas autrement libre à leurs yeux qu'un être dont la 22 CRITIQUE GÉNÉRALE .
Page 25
... conditions nécessaires et suffisantes de l'existence de A , pour telle épo- que future , sont dès à présent réunies ; alors la proposition est vraie ; ou nous ne comprenons et ne savons pas cela , et alors la proposition est fausse ou ...
... conditions nécessaires et suffisantes de l'existence de A , pour telle épo- que future , sont dès à présent réunies ; alors la proposition est vraie ; ou nous ne comprenons et ne savons pas cela , et alors la proposition est fausse ou ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolue Aryens attributs babysme Barthélemy Saint-Hilaire besoin Bodhisattva Bouddha bouddhique bouddhisme Brahma brahmane Burnouf c'est-à-dire Çakya-mouni caractère castes cause chose chrétienne conception conscience conséquence contradiction création créatures critique croyance culte détermination développement devoir Dieu Dieux distinction dit-il divine division doctrine dogme doit éternelle Eugène Burnouf force forme grec hommes humaine hymnes idées indien Indra infini justice Kant kshattriyas l'absolu l'âme l'esprit l'être l'existence l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'Inde l'infini l'unité l'univers Leibniz liberté libre arbitre logique lois Manou matière Max Müller Mayadévi ment métaphysique méthode monde monothéisme morale mythologie nature naturelle nécessaire négation nirvana nombre noumène objet panthéisme Paramita pensée phénomènes philosophie physique polythéisme positivisme premier prêtre primitive principe psychologie puissance qu'une question race raison réel religieux religion rien sacerdotale sacrifice sanscrit science Sémérie sens sentiment serait seule sociale société sorte Soutras spéculation substance suprême système théisme théologie théorie tion transmigration universelle vaiçya Véda védique vérité Vinaya volonté vrai
Popular passages
Page 180 - NQJUS voulons tel mouvement, et, sous l'influence médiatrice de l'imagination, qui traduit en quelque sorte dans le langage de la sensibilité les dictées de l'intelligence, du fond de notre être émergent des mouvements élémentaires, dont le mouvement voulu est le terme et l'accomplissement. Ainsi arrivaient à l'appel d'un chant, selon la fable antique, et s'arrangeaient, comme d'eux-mêmes, en murailles et en tours, de dociles matériaux.
Page 66 - ... pour affirmer ou nier , poursuivre ou fuir les choses que l'entendement nous propose , nous agissons de telle sorte que nous ne sentons point qu'aucune force extérieure nous y contraigne.
Page 260 - Pour la conservation de cette création toute entière, l'Etre souverainement glorieux assigna des occupations différentes à ceux qu'il avait produits de sa bouche, de son bras, de sa cuisse et de son pied. Il...
Page 258 - ce qui est, tout ce qui a été, tout ce qui sera, » et nul mortel n'a encore percé le voile qui me »- couvre (a).
Page 180 - D'après notre expérience, le ressort de toute la vie intérieure, c'est donc la pensée ou action intellectuelle qui, d'un état de diffusion et de confusion où elle n'a en quelque sorte qu'une existence virtuelle, se rappelle, se ramène, par un mouvement continuel de recomposition dans l'unité de la conscience, à l'existence active, et d'un état de sommeil et de rêve remonte incessamment à l'état de veille. Si les pierres de la fable obéissent à une mélodie qui les appelle, c'est qu'en...
Page 61 - Toute proportion gardée, il en est de l'essence et de l'existence comme de la matière et de la forme, de la puissance et de l'acte.
Page 391 - Recevez le SaintEsprit. Les péchés seront remis à ceux à qui vous les remettrez, et ils seront retenus à ceux à qui vous les retiendrez.
Page 297 - Car c'est de l'adultère que naît dans le monde le mélange des classes , et du mélange des classes provient la violation des devoirs, destructrice de la race humaine , qui cause la perte de l'univers.
Page 180 - Il semble, dit-il, qu'on ne saurait comprendre l'origine d'une existence inférieure à l'existence absolue, sinon comme le résultat d'une détermination volontaire par laquelle cette haute existence a d'ellemême modéré, amorti, éteint, pour ainsi dire, quelque chose de sa toute-puissante activité.
Page 191 - Un bourreau imagina de dire à un père que, s'il ne cédait pas, il couperait la gorge à ses deux fils sur sa poitrine. C'étaient deux petits garçons, dont l'aîné avait quatorze ans, et qui, rouges de leur propre sang, les chairs calcinées, écoutaient froidement le dialogue; le père répondit, en se couchant par terre, qu'il était prêt, et l'aîné des enfants, réclamant avec emportement son droit d'aînesse, demanda à être égorgé le premier (i).