Œuvres posthumes de Jacques-Henri-Bernardin de Saint-Pierre, Volume 1Lefèvre, 1833 - 621 pages |
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... peuples voisins ; de - là naissaient des amitiés et des haines , des fêtes et des querelles . Ces désordres néces ... peuple imaginaire . Cette dernière pensée fut celle de toute sa vie : vingt - cinq ans il X ESSAI SUR LA VIE.
... peuples voisins ; de - là naissaient des amitiés et des haines , des fêtes et des querelles . Ces désordres néces ... peuple imaginaire . Cette dernière pensée fut celle de toute sa vie : vingt - cinq ans il X ESSAI SUR LA VIE.
Page xi
... peuples barbares ; tantôt l'assemblée entière etait ravie d'admiration en le voyant sortir sain et sauf des profondeurs d'un cachot ou des flammes d'un bû- cher , recevoir les hommages de ses néophytes et faire , en se promenant avec ...
... peuples barbares ; tantôt l'assemblée entière etait ravie d'admiration en le voyant sortir sain et sauf des profondeurs d'un cachot ou des flammes d'un bû- cher , recevoir les hommages de ses néophytes et faire , en se promenant avec ...
Page xlvi
... peuples heureux , il ne faut le plus souvent que de semblables bagatelles ? Cependant notre législateur ne laissait pas de faire des préparatifs plus sérieux . Il se procura un plan de l'ancien fort Dauphin , et projeta des moyens de ...
... peuples heureux , il ne faut le plus souvent que de semblables bagatelles ? Cependant notre législateur ne laissait pas de faire des préparatifs plus sérieux . Il se procura un plan de l'ancien fort Dauphin , et projeta des moyens de ...
Page xlvii
... peuples s'égayer , le nombre de leurs plaisirs s'accroître , leurs relations devenir plus sûres et plus agréables par I découverte d'une seule plante , le tabac . « En agricul- ture , disait - il , rien n'est à négliger ; la plus petite ...
... peuples s'égayer , le nombre de leurs plaisirs s'accroître , leurs relations devenir plus sûres et plus agréables par I découverte d'une seule plante , le tabac . « En agricul- ture , disait - il , rien n'est à négliger ; la plus petite ...
Page lvii
... peuples de végétaux qui ont leur habitation , leurs mœurs , leurs habitudes ' . Les uns vivent solitaires , ils s'élèvent au sommet des montagnes , et refusent d'en descendre , comme si leur vie était dans les tempètes ; les autres se ...
... peuples de végétaux qui ont leur habitation , leurs mœurs , leurs habitudes ' . Les uns vivent solitaires , ils s'élèvent au sommet des montagnes , et refusent d'en descendre , comme si leur vie était dans les tempètes ; les autres se ...
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Common terms and phrases
aime alimens amours animaux arbres astres Bernardin de Saint-Pierre besoins bords cent chaleur charme ciel cieux cœur corps couches couleurs courans couvert déja Dieu différens donne doute eaux élémens élevé enfans équateur espèces femme feuilles feux de l'amour Finlande fleurs fleuves forêts forme fruits glaces globe grains graminées habitans harmonies hémisphère hommes îles Indes insectes j'ai Jupiter l'air l'ame l'amour l'astre du jour l'atmosphère l'eau l'homme l'Océan lois lumière lune madrépores marins ment mers milieu mille monde montagnes montagnes solaires morale mouvemens multitude nature neiges non-seulement nord nuit oiseaux ours blancs palmiers passions Paul et Virginie peuples pieds plantes Plutarque poissons pôles Pologne premier puissance végétale qu'un quadrupèdes quelquefois racines raison rapport rayons du soleil réverbères rivages rochers Russie sable sapins Saturne semblables semble sentiment seul soleil sommets sorte souvent sphère Spitzberg terre tiges tion tronc trouve vaisseau vapeurs vents vertu Virginie zone torride zones glaciales
Popular passages
Page 112 - Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 328 - ... c'est plutôt une gloire céleste qu'une lumière; elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal ; elle n'éblouit jamais: au contraire, elle fortifie les yeux et porte dans le fond de l'âme je ne sais quelle sérénité: c'est d'elle seule que...
Page 112 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU Le Chêne un jour dit au Roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ; Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du Soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 160 - L'astre des nuits , la triple Hécate , qui répète par des harmonies plus douces celles de l'astre du jour, en se levant sur l'horizon, dissipa l'empire de la lumière, et fit régner celui des ombres. Bientôt des étoiles innombrables et d'un éclat éternel brillèrent au sein des ténèbres. Oh! si le jour n'est lui-même qu'une image de la vie ; si les heures rapides de l'aube du matin, du midi et du soir représentent les âges si fugitifs de l'enfance , de la jeunesse, de la virilité et...
Page 112 - La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel; mais quittez ce souci: Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 159 - ... du sud-est se ralentit, comme il arrive d'ordinaire vers ce temps. Les nuages qu'il voiture dans le ciel à des distances égales, comme son souffle, devinrent plus rares, et ceux de la partie de l'ouest s'arrêtèrent et se groupèrent entre eux sous les formes d'un paysage. Ils représentaient une grande terre formée de hautes montagnes, séparées par des vallées profondes, et surmontées de rochers pyramidaux.
Page 112 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 135 - Il en emportait aussi des tourbillons d'une poussière blanche, qui se répandait au loin dans leurs vallons, comme celle qu'il élève sur les grands chemins en été. Ce qu'il y avait de plus redoutable , c'est que quelques sommets de ces collines, poussés en avant de leurs bases par la violence du vent , se déferlaient en énormes voûtes, qui se roulaient sur elles-mêmes en mugissant et en écumant , et eussent englouti le plus grand vaisseau s'il se fut trouvé sous leurs ruines.
Page 328 - Le jour n'y finit point ; et la nuit , avec ses sombres voiles, y est inconnue; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes , et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page lxx - Quelles sont les institutions les plus propres à fonder la morale d'un peuple ? Tous les concurrens l'avaient traitée dans l'esprit de leurs juges.