| Revue nationale et étrangère - 1864 - 604 pages
...Je sens passer sur moi la comédie humaine « Qui cherche on vain au ciel ses muets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « A côté des fourmis, des populations; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les... | |
| Alfred de Vigny - French peotry - 1882 - 358 pages
...peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain an ciel ses mnets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populatious ; Je ne distingne pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des... | |
| Émile Faguet - French literature - 1887 - 486 pages
...dédaigneuse sérénité de la nature éternelle. C'est bien sa voix puissante qu'on entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe.... | |
| Elme-Marie Caro - French fiction - 1888 - 390 pages
...peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs; Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur ccudre, J'ignore en les portant les noms des Nations. On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon... | |
| Émile Faguet - French literature - 1889 - 480 pages
...dédaigneuse sérénité de la nature éternelle. C'est bien sa voix puissante qu'on •entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations . On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son... | |
| Jean-Marie Guyau - Aesthetics - 1889 - 464 pages
...la nature, Car je la connais trop pour n'en pas avoir peur. Elle me dit : « Je roule avec dé.lain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations; Je ne distinguo pas leur terrier de leur cendre. J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit... | |
| Anatole France - French literature - 1890 - 404 pages
...fourmis ies populations; Je ne distingue pas leur terrier de ieur cendre, J'ignore en ies portant ies noms des nations. On me dit une mère et je suis une...prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps n'entend pas vos adorations. Avant vous j'étais belle et toujours parfumée, J'abandonnais au vent... | |
| Auguste Angellier - 1893 - 466 pages
...roule avec dédain, sans voir el sans entendre, A côté des fourmis, les populations ; Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre , J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit nne mère, et je suis une tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe. Mon printemps ne sent... | |
| Ferdinand Brunetière - French poetry - 1894 - 316 pages
...peine Je sens passer sur moi la comédie humaine, Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. \. « Je sens sur ma tête le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
| Ferdinand Brunetière - 1894 - 324 pages
...peine Je sens passer sur moi la comédie humaine, Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre...cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. 1. « Je sens sur ma tète le poids d'une condamnation que je subis toujours, ô Seigneur, mais ignorant... | |
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