Les poëtes français: Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle1853 |
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... Rome est sujette d'Albe , et vos fils sont défaits ; Des trois , les deux 1 sont morts ; son époux seul vous reste1 . LE VIEIL HORACE . Oh ! d'un triste combat effet vraiment funeste ! Rome est sujette d'Albe ! et pour l'en garantir ...
... Rome est sujette d'Albe , et vos fils sont défaits ; Des trois , les deux 1 sont morts ; son époux seul vous reste1 . LE VIEIL HORACE . Oh ! d'un triste combat effet vraiment funeste ! Rome est sujette d'Albe ! et pour l'en garantir ...
Page 45
... Rome libre autant qu'ils ont vécu , Et ne l'auront point1 vue obéir qu'à son prince , Ni d'un État voisin devenir la province . Pleurez l'autre , pleurez l'irréparable affront Que sa fuite honteuse imprime à notre front ; Pleurez le ...
... Rome libre autant qu'ils ont vécu , Et ne l'auront point1 vue obéir qu'à son prince , Ni d'un État voisin devenir la province . Pleurez l'autre , pleurez l'irréparable affront Que sa fuite honteuse imprime à notre front ; Pleurez le ...
Page 47
... Rome établit la puissance . ( LES HORACES , acte IV , scène 2. ) Imprécations de Camille . Camille , désespérée de la mort de son fiancé , maudit la victoire de son frère . Horace lui dit de préférer à un homme les intérêts de Rome , sa ...
... Rome établit la puissance . ( LES HORACES , acte IV , scène 2. ) Imprécations de Camille . Camille , désespérée de la mort de son fiancé , maudit la victoire de son frère . Horace lui dit de préférer à un homme les intérêts de Rome , sa ...
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Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle A. Roche. Rome , qui t'a vu naître , et que ton cœur adore ! Rome , enfin , que je hais parce qu'elle t'honore ! Puissent tous ses voisins , ensemble conjurés , Saper ses ...
Morceaux choisis dans les meilleurs poëtes du XIXe siècle A. Roche. Rome , qui t'a vu naître , et que ton cœur adore ! Rome , enfin , que je hais parce qu'elle t'honore ! Puissent tous ses voisins , ensemble conjurés , Saper ses ...
Page 49
... Rome , « Et son salut dépend de la perte d'un homme , « Si l'on doit le nom d'homme à qui n'a rien d'humain , « A ce tigre altéré de tout le sang romain . << Combien , pour le répandre , a - t - il formé de brigues ! << Combien de fois ...
... Rome , « Et son salut dépend de la perte d'un homme , « Si l'on doit le nom d'homme à qui n'a rien d'humain , « A ce tigre altéré de tout le sang romain . << Combien , pour le répandre , a - t - il formé de brigues ! << Combien de fois ...
Common terms and phrases
Adieu affreux AGAMEMNON AGATHÉMI âme amis André Chénier ANTIGONE ANTIOCHUS ATHALIE Atrée beau berceau bonheur bords bras brillant bruit chant charmes Chénier cher ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur comédies Corneille DALAINVILLE Dieu dieux discours douce douleur doux ÉGISTHE élégies enfants enfin Érope Ésope esprit fable femmes fille fils fleurs flots frère front fureur gens glacés Glaucon gloire goût Grèce Hélas heureux homme J'ai j'aime jamais jeune jour l'homme l'onde laisse larmes loin Louis Racine lyre main maître malheureux maux méchants mère MÉROPE MIZAEL Molière monde mort mortel mourir naquit NÉARQUE nuit odes OEDIPE ombre ORONTE passer pauvre père peuple pieds plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte POLYEUCTE qu'un regard rien rivage rois sage sang sarcelle satire scène sent seul soir soleil sort souffrir style temple terre tombe tombeau tragédie tremble TRISSOTIN triste Tufière VADIUS Vert-Vert veux Victor Hugo vœux voilà vois voit voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 206 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 191 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour. Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir. Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Page 96 - Hé bonjour, monsieur du corbeau! Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 85 - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 191 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 160 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Page 107 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez ; je suis sourd , les ans en sont la cause , L'un et l'autre approcha , ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps : Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 102 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 192 - Que vous nous ravissez? O lac! rochers muets ! grottes! forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux...
Page 155 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.