An introduction to the French language: containing fables, select tales, remarkable facts, amusing anecdotes &c. with a dictionary of all the words, translated into English |
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Page 14
... j'étais la maîtresse d'avoir tout ce que je souhaiterais , " dit la femme , " je serais bientôt plus heureuse que tous ces gens - là . " - . " Et moi aussi , " dit le mari ; " je voudrais être au temps des fées , et , qu'il s'en trouvât ...
... j'étais la maîtresse d'avoir tout ce que je souhaiterais , " dit la femme , " je serais bientôt plus heureuse que tous ces gens - là . " - . " Et moi aussi , " dit le mari ; " je voudrais être au temps des fées , et , qu'il s'en trouvât ...
Page 29
... j'étais encore sur l'île , ou plutôt sur la baleine , lorsqu'elle se plongea dans la mer , et je n'cus que le temps de me prendre à une pièce de bois qu'on avait apportée du vaisseau pour servir de table . Je flottai sur cette pièce de ...
... j'étais encore sur l'île , ou plutôt sur la baleine , lorsqu'elle se plongea dans la mer , et je n'cus que le temps de me prendre à une pièce de bois qu'on avait apportée du vaisseau pour servir de table . Je flottai sur cette pièce de ...
Page 30
... j'étais un jour sur le port , je vis plusieurs matelots fort occupés à décharger les marchandises d'un vaisseau nouvellement arrivé . En jetant les yeux sur quelques ballots je les reconnus pour ceux que j'avais fait charger sur le ...
... j'étais un jour sur le port , je vis plusieurs matelots fort occupés à décharger les marchandises d'un vaisseau nouvellement arrivé . En jetant les yeux sur quelques ballots je les reconnus pour ceux que j'avais fait charger sur le ...
Page 33
... j'étais enveloppé , me porta dans son nid au haut de la montagne . Les mar- chands ne manquèrent point alors de crier pour épouvanter les aigles ; et lorsqu'ils les eurent obligés à quitter leur proie , un d'entre eux s'approcha de moi ...
... j'étais enveloppé , me porta dans son nid au haut de la montagne . Les mar- chands ne manquèrent point alors de crier pour épouvanter les aigles ; et lorsqu'ils les eurent obligés à quitter leur proie , un d'entre eux s'approcha de moi ...
Page 34
... j'étais à la fleur de mon âge , je m'ennuyai de vivre dans le repos ; et je partis de nouveau de Bagdad avec de riches marchandises du pays , que je fis transporter à Bas- sora . Là , je m'embarquai encore avec d'autres marchands . Au ...
... j'étais à la fleur de mon âge , je m'ennuyai de vivre dans le repos ; et je partis de nouveau de Bagdad avec de riches marchandises du pays , que je fis transporter à Bas- sora . Là , je m'embarquai encore avec d'autres marchands . Au ...
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Common terms and phrases
Alexandre Dumas armes soient bénies arrive assez ATHALIE avez Azora Babylone Bagdad baronnet Bassora beau belle bientôt boudin c'était carried carried away cents pièces d'or cheval chien chose CONAXA cond conj cygne demanda diamants Dieu dîner dit-il dragmes drenched enfants êtes Euphrate femme fleurs François Ier French général Foy Geordi great heureux hirondelles homme île j'ai j'allai j'avais j'en j'étais Jean jeter jeune soldat JOAS jour lendemain livres made main maison make malheur manger marchand Marie matelot ment mère mille monsieur mouche mourir Nabob oiseaux pain passer past pauvre père pièce de viande porte poss prep pres pret professeur de signes pron répondit reste riche s. m. pl savait seul SINBAD LE MARIN Sir Thomas sorte terre timide trouva tulipes tulipomanie vais combattre vaisseau Valentin venir VOYAGES DE SINBAD word yeux Zadig
Popular passages
Page 100 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Page 99 - Votre père ? JOAS. Je suis, dit-on, un orphelin Entre les bras de Dieu jeté dès ma naissance, Et qui de mes parents n'eus jamais connaissance.
Page 99 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 83 - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS. AUTREFOIS le rat de ville Invita le rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'ortolans.
Page 59 - La cigale ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : IA FONTAINE. Pas un seul petit morceau De mouche on de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine , La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant Tout, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 85 - LE CORBEAU ET LE RENARD Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : Et bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
Page 94 - Je puis d'ailleurs vous prêcher d'exemple : j'ai été aussi pauvre que vous; mais, au lieu de mendier, je me suis fait une hotte avec un mauvais panier, et je suis allé dans les villages et dans les villes de province demander, non pas des aumônes, mais de vieux chiffons qu'on me donnait gratis et que je revendais ensuite, un bon prix,- aux fabricants de papier.
Page 100 - J'ai mon Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants dieux. JOAs. Il faut craindre le mien ; Lui seul est Dieu, madame, et le vôtre n'est rien.
Page 99 - Où dit-on que le sort vous a fait rencontrer? JOAS. Parmi des loups cruels, prêts à me dévorer.
Page 72 - ... manquer de le précipiter ; sa vie était entre mes mains ; j'ai pris soin de l'éveiller avec les précautions convenables, et l'ai tiré de cet endroit fatal." —