La Fontaine et les fabulistes, Volume 2Michel Lévy frères, 1867 - Fables |
From inside the book
Results 1-5 of 34
Page 4
... n'était ambre , il n'était fleur Qui ne fut ail au prix . Sa sotte flatterie Eut un mauvais succès et fut encor punie 2 . Le vrai maître des flatteurs est le renard ; il ne flatte Liv . III , f . XIV . 2 Liv . VII , f . vit . jamais que ...
... n'était ambre , il n'était fleur Qui ne fut ail au prix . Sa sotte flatterie Eut un mauvais succès et fut encor punie 2 . Le vrai maître des flatteurs est le renard ; il ne flatte Liv . III , f . XIV . 2 Liv . VII , f . vit . jamais que ...
Page 8
... n'était pas la première fois , aussi bien , que la Fon- taine chantait l'amitié et qu'il lui attribuait avec raison toutes les douceurs et même quelques - unes des inquié- tudes de l'amour : Deux vrais amis vivaient au Monomotapa ; L'un ...
... n'était pas la première fois , aussi bien , que la Fon- taine chantait l'amitié et qu'il lui attribuait avec raison toutes les douceurs et même quelques - unes des inquié- tudes de l'amour : Deux vrais amis vivaient au Monomotapa ; L'un ...
Page 27
... n'était pas séant à des chevaliers et à des gentilshommes de parler tandis que l'on chantait la messe des morts . Ils me commencèrent à rire et me dirent qu'ils causaient à qui se remarierait la femme du sire de Landricourt . Je les ...
... n'était pas séant à des chevaliers et à des gentilshommes de parler tandis que l'on chantait la messe des morts . Ils me commencèrent à rire et me dirent qu'ils causaient à qui se remarierait la femme du sire de Landricourt . Je les ...
Page 31
... n'était point connu . C'était dans le Liban , il est vrai ; et vous , c'est partout . Il n'y a qu'une différence du plus au moins . La Fontaine a mis en scène , de la façon la plus pi- quante , ces échecs de la vanité dans sa fable de l ...
... n'était point connu . C'était dans le Liban , il est vrai ; et vous , c'est partout . Il n'y a qu'une différence du plus au moins . La Fontaine a mis en scène , de la façon la plus pi- quante , ces échecs de la vanité dans sa fable de l ...
Page 46
... n'était rien , et le voilà ministre ! ne le va- lons - rous pas ? Et celui - ci : Il est arrivé à Paris en sabots , et le voilà quatre ou cinq fois millionnaire ! Ne le valons - nous pas ? - Et ce grand poëte que j'ai connu commis dans ...
... n'était rien , et le voilà ministre ! ne le va- lons - rous pas ? Et celui - ci : Il est arrivé à Paris en sabots , et le voilà quatre ou cinq fois millionnaire ! Ne le valons - nous pas ? - Et ce grand poëte que j'ai connu commis dans ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
æthere aime âme animaux Arlequin beau belle besoin bêtes Boileau Bucéphale charme châteaux en Espagne cheval chien chose Citation cochon cœur comédie conte Corbeau croire dialogue Dieu dieux dire dit-il dix-huitième siècle dix-septième siècle enfants ésopique fable fabuliste femme Fénelon Florian Fontaine fortune Fourmi Gellert genre gens goût GRILLUS hommes humaine J'ai j'aime j'en jamais jeune jour Jupiter l'allégorie l'animal l'apologue l'esprit l'homme laisse Lamotte latin leçon Lenoble Léon Halévy Lessing LIBRARIES STANFORD lieux communs lion littérature Louis XIV loup malheureux mérite mieux monde moralité mort parabole parler passer pauvre pensée père Bougeant Père Desbillons personnages peuple philosophique piquante plaisir Pluton poésie poëte poétique prend prince qu'un Quintilien raison récit Renard rien Rousseau sage sait satire semble Senecé sentiments serait seul singe société sort souvent STANFORD UNIVERSITY STANFORD UNIVERSITY LIBRARIES surtout taine tion trouve ULYSSE vanité vautour Vergier vérité veut veux vices voilà Voltaire
Popular passages
Page 24 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 77 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau...
Page 84 - La perte d'un époux ne va point sans soupirs : On fait beaucoup de bruit , et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole : Le Temps ramène les plaisirs. Entre la veuve d'une année Et la veuve d'une journée La différence est grande : on ne croirait jamais Que ce fût la même personne...
Page 77 - Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats.
Page 123 - L'animal chargé d'ans , vieux cerf, et de dix cors , En suppose un plus jeune , et l'oblige , par force , A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours ! Le retour sur ses pas , les malices , les tours , Et le change , et cent stratagèmes Dignes des plus grands chefs , dignes d'un meilleur sort.
Page 140 - L'un d'eux, s'ennuyant au logis, Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays. L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 82 - Le savetier crut voir tout l'argent que la terre Avait depuis plus de cent ans Produit pour l'usage des gens. Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.
Page 113 - Ils disent donc Que la bête est une machine ; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts. Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 86 - Puis ses traits choquer et déplaire ; Puis cent sortes de fards. Ses soins ne purent faire Qu'elle échappât au temps, cet insigne larron : Les ruines d'une maison Se peuvent réparer ; que n'est cet avantage Pour les ruines du visage ! Sa préciosité changea lors de langage. Son miroir lui disait :
Page 440 - DE ta tige détachée, Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu? Je n'en sais rien. L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien.