Essais en vers et en proseP. Didot l'aîné, 1796 - 162 pages |
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... loin leurs plaintes inutiles : Hélas ! ils n'obtenaient du reste des mortels Que d'impuissans secours ou des refus cruels ; Ils mouraient ... Dans ton cœur la pitié s'est émue : Ton cœur restait encore à leur foule éperdue . Tu parles ...
... loin leurs plaintes inutiles : Hélas ! ils n'obtenaient du reste des mortels Que d'impuissans secours ou des refus cruels ; Ils mouraient ... Dans ton cœur la pitié s'est émue : Ton cœur restait encore à leur foule éperdue . Tu parles ...
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... Loin de toi , loin de toi ce douloureux penser ! Ah ! le prix le plus beau pour un cœur magnanime Est dans le bien qu'il fait , est dans sa ESSAIS EN VERS . 5.
... Loin de toi , loin de toi ce douloureux penser ! Ah ! le prix le plus beau pour un cœur magnanime Est dans le bien qu'il fait , est dans sa ESSAIS EN VERS . 5.
Page 11
... terre , Si ton amant ne songe plus qu'à toi , Je suis sûr que , pensive , Loin du bruit , attentive , Dans ce moment tu ne songes qu'à moi , D'une cruelle absence Nous trompons ainsi les rigueurs ; L'espace À NICE.* ...
... terre , Si ton amant ne songe plus qu'à toi , Je suis sûr que , pensive , Loin du bruit , attentive , Dans ce moment tu ne songes qu'à moi , D'une cruelle absence Nous trompons ainsi les rigueurs ; L'espace À NICE.* ...
Page 31
... loin l'airain sonne au trépas ? .... Ô jeune Élise ! ô sœur idolâtrée ! Que devins - tu quand ta sœur adorée Te salua de son regard mourant ? .... Seul au milieu d'une terre étrangere , Que deviendra son déplorable pere , Au choc mortel ...
... loin l'airain sonne au trépas ? .... Ô jeune Élise ! ô sœur idolâtrée ! Que devins - tu quand ta sœur adorée Te salua de son regard mourant ? .... Seul au milieu d'une terre étrangere , Que deviendra son déplorable pere , Au choc mortel ...
Page 32
... loin de nous a chassé Flore en pleurs ; Mais sous ses pas l'amitié vive et pure Dans tous les temps fait éclore des fleurs . De l'amitié cette fleur est l'emblême . Humble et timide elle aime le secret : De son parfum la douceur est ...
... loin de nous a chassé Flore en pleurs ; Mais sous ses pas l'amitié vive et pure Dans tous les temps fait éclore des fleurs . De l'amitié cette fleur est l'emblême . Humble et timide elle aime le secret : De son parfum la douceur est ...
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Common terms and phrases
abreuve nos sillons Adélaïde amans amant Conçois-tu rien amours ASPASIE asyle beau bientôt CH OE chant Chantons la liberté Charleville charmant chéri CHOE U cœur La mort consolateur couronnons sa statue crime est foudroyé cris gémissans cruel d'Adélaïde déja destins DIEU lui-même digne d'envie douce douleur doux ÉOLE époux Fille du ciel flatteur fleur formez vos bataillons front gémissant Graces Hélas hymne jeune déesse jour l'air de lugubres l'amour l'Hymen te séduit larmes long-temps Lucy lugubres accens lui-même a veillé lumiere madame André mademoiselle de Bézier malheureux manege ordinaire Mézieres Mont-Dauphin Monville mortel Mourons NICE nouveau Titan nuit OE U R Palais-Égalité Papillon patrie paupiere pere des desirs Pierrot joli pitié plaisirs pleurs printemps joli qu'un sang impur Releve ta tête rose ROUGET DE LISLE S.-Sépulcre sang impur abreuve seul sort souf tendre tête abattue Titan le crime Tommy triste vois voix yeux zéphyrs Zulmé
Popular passages
Page 137 - Une molle volupté! Liberté sainte , Viens, sois l'âme de ces vers, Et que, jusqu'à nos concerts, Tout porte en nous ta noble empreinte. Sous tes fortunés auspices , Vois tes enfans réunis, Goûter les douces prémices Des biens que tu leur promis. D'un pur hommage Ils honorent tes autels : Toi, du sein de» immortels, Daigne sourire à ton ouvrage.
Page 57 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 59 - Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère ! ... Aux armes, citoyens! etc. Amour sacré de la patrie , Conduis , soutiens nos bras vengeurs ! Liberté , liberté chérie , Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accens ! Que tes ennemis expirans Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 57 - Français, pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes, citoyens! etc... III Quoi! des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers!
Page 58 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ! Tremblez ! vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux, Contre vous, tout prêts à se battre.
Page 59 - Mais les complices de Bouille, Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère! . . . Aux armes, citoyens! . . . Amour sacré de la patrie. Conduis, soutiens nos bras vengeurs! Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs! (bis) Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 101 - Où courent ces peuples épars? — Quel bruit a fait trembler la terre — Et retentit de toutes parts? — Amis, c'est le cri du dieu Mars, — Le cri précurseur de la guerre, — De la gloire et de ses hazards.
Page 59 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs. Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs. Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons : Marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 58 - Les moteurs de nos destinées ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons : Marchez, qu'un sang impur abreuve nos sillons. Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis, Tremblez! vos projets parricides'.
Page 63 - Lei nel partir, lei nel tornar del sole chiama con voce stanca, e prega e plora, come usignuol cui '1 villan duro invole dal nido i figli non pennuti ancora, che in miserabil canto afflitte e sole piange le notti, e n'empie i boschi e l'òra15.