Essais en vers et en proseP. Didot l'aîné, 1796 - 162 pages |
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... jouir de mon malheur . Errant au milieu des ténebres Sur le bord des rocs menaçans , Aux accens des oiseaux funebres Je joins mes lugubres accens . Seul , isolé dans la nature , Pleurant sur vos noirs attentats , Je ne vois aux maux que ...
... jouir de mon malheur . Errant au milieu des ténebres Sur le bord des rocs menaçans , Aux accens des oiseaux funebres Je joins mes lugubres accens . Seul , isolé dans la nature , Pleurant sur vos noirs attentats , Je ne vois aux maux que ...
Page 22
... jouir de mon malheur . Hélas ! tous les biens de la vie S'unissaient pour me rendre heureux : Aimé d'une épouse chérie , Je crus mon ami généreux . Épouse ! ami ! ... peine accablante ! Ils m'ont trahi sans nul remords ! Ma lyre , à ma ...
... jouir de mon malheur . Hélas ! tous les biens de la vie S'unissaient pour me rendre heureux : Aimé d'une épouse chérie , Je crus mon ami généreux . Épouse ! ami ! ... peine accablante ! Ils m'ont trahi sans nul remords ! Ma lyre , à ma ...
Page 23
Claude Joseph Rouget de Lisle. La mort , le désespoir , la rage , Ingrats ! venez voir votre ouvrage , Venez jouir de mon malheur . VERS POUR METTRE SUR UN PORTE - FEUILLE . Des ESSAIS EN VER S. 23.
Claude Joseph Rouget de Lisle. La mort , le désespoir , la rage , Ingrats ! venez voir votre ouvrage , Venez jouir de mon malheur . VERS POUR METTRE SUR UN PORTE - FEUILLE . Des ESSAIS EN VER S. 23.
Page 44
Claude Joseph Rouget de Lisle. Du moment qu'on doit vous entendre , Espérer n'est plus un plaisir ; Et c'est un supplice d'attendre Alors que l'on devrait jouir . À VICTOIRE DE N ... Avec laquelle on me trouvait 44 ESSAIS EN VERS .
Claude Joseph Rouget de Lisle. Du moment qu'on doit vous entendre , Espérer n'est plus un plaisir ; Et c'est un supplice d'attendre Alors que l'on devrait jouir . À VICTOIRE DE N ... Avec laquelle on me trouvait 44 ESSAIS EN VERS .
Page 80
... jouir encore ; mais l'impression que j'en conservai m'effraya et m'empêcha de tenir mes résolutions à cet égard . Cependant le temps de notre séjour à Mé- zieres allait finir , et déja Monville avait ar- rêté le plan de sa nouvelle ...
... jouir encore ; mais l'impression que j'en conservai m'effraya et m'empêcha de tenir mes résolutions à cet égard . Cependant le temps de notre séjour à Mé- zieres allait finir , et déja Monville avait ar- rêté le plan de sa nouvelle ...
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Common terms and phrases
abreuve nos sillons Adélaïde amans amant Conçois-tu rien amours ASPASIE asyle beau bientôt CH OE chant Chantons la liberté Charleville charmant chéri CHOE U cœur La mort consolateur couronnons sa statue crime est foudroyé cris gémissans cruel d'Adélaïde déja destins DIEU lui-même digne d'envie douce douleur doux ÉOLE époux Fille du ciel flatteur fleur formez vos bataillons front gémissant Graces Hélas hymne jeune déesse jour l'air de lugubres l'amour l'Hymen te séduit larmes long-temps Lucy lugubres accens lui-même a veillé lumiere madame André mademoiselle de Bézier malheureux manege ordinaire Mézieres Mont-Dauphin Monville mortel Mourons NICE nouveau Titan nuit OE U R Palais-Égalité Papillon patrie paupiere pere des desirs Pierrot joli pitié plaisirs pleurs printemps joli qu'un sang impur Releve ta tête rose ROUGET DE LISLE S.-Sépulcre sang impur abreuve seul sort souf tendre tête abattue Titan le crime Tommy triste vois voix yeux zéphyrs Zulmé
Popular passages
Page 137 - Une molle volupté! Liberté sainte , Viens, sois l'âme de ces vers, Et que, jusqu'à nos concerts, Tout porte en nous ta noble empreinte. Sous tes fortunés auspices , Vois tes enfans réunis, Goûter les douces prémices Des biens que tu leur promis. D'un pur hommage Ils honorent tes autels : Toi, du sein de» immortels, Daigne sourire à ton ouvrage.
Page 57 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 59 - Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère ! ... Aux armes, citoyens! etc. Amour sacré de la patrie , Conduis , soutiens nos bras vengeurs ! Liberté , liberté chérie , Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accens ! Que tes ennemis expirans Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 57 - Français, pour nous, ah! quel outrage! Quels transports il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage! Aux armes, citoyens! etc... III Quoi! des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers!
Page 58 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ! Tremblez ! vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux, Contre vous, tout prêts à se battre.
Page 59 - Mais les complices de Bouille, Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère! . . . Aux armes, citoyens! . . . Amour sacré de la patrie. Conduis, soutiens nos bras vengeurs! Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs! (bis) Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 101 - Où courent ces peuples épars? — Quel bruit a fait trembler la terre — Et retentit de toutes parts? — Amis, c'est le cri du dieu Mars, — Le cri précurseur de la guerre, — De la gloire et de ses hazards.
Page 59 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs. Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs. Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons : Marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 58 - Les moteurs de nos destinées ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons : Marchez, qu'un sang impur abreuve nos sillons. Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis, Tremblez! vos projets parricides'.
Page 63 - Lei nel partir, lei nel tornar del sole chiama con voce stanca, e prega e plora, come usignuol cui '1 villan duro invole dal nido i figli non pennuti ancora, che in miserabil canto afflitte e sole piange le notti, e n'empie i boschi e l'òra15.