Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, Volume 5C. Klincksieck., 1823 - France |
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Common terms and phrases
Ampurias anciens antiquités Arioviste assez aujourd'hui avaient avez Bas-Rhin Belges bressan briques camp canton canton de Saignes canton de Saint-Amour celt Celtibérie celtique César château cité colonie commerce comte comte de Roussillon confrère conservation côté Courtisols d'Ampurias d'Emporias débris découverte département destiné donner Eduens Emporias forme fouilles fragmens frères Parfait Gaule Gaulois Germains grec habitans Haute-Alsace Helvétiens Hist Honak Indicètes inscriptions ital j'ai jour l'an l'histoire langue lettres lieu long-temps maison médailles Médiomatriciens mémoire ment mètres Metz montagne monumens monument moyen âge muraille Myst mystère nord notice paraît parle passer patois pays petite Germanie peuples Phocéens pieds pierres place Pline porte poterie pouces premier Rauraques recherches reste Rhin Rhône Ribeauvillé Ritzing Romains royale des Antiquaires ruines saint Schoepflin Séquanie Séquanois servir seule siècle Société royale sommet sorte Strabon taurobolique terre territoire tête tion tradition Triboques trouve tuyaux usages vases Vélant village Vosges
Popular passages
Page 165 - Chez nos dévots aïeux, le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En public à Paris y monta la première; Et, sottement zélée en sa simplicité, Joua les Saints, la Vierge et Dieu, par piété.
Page clxxvii - Observations scientifiques et critiques sur le génie et les principales productions des peintres et autres artistes les plus célèbres de l'antiquité, du moyen âge et des temps modernes , in-8°, 1821 et 1824, etc.
Page cii - Prix unique à donnera l'auteur qui aura continué et complété l'essai du docteur Mège sur les causes qui ont retardé ou favorisé les progrès de la médecine, depuis la plus haute antiquité jusqu'à nos jours.
Page ix - Co» quebert-Monbret a visitée en 1820, sur laquelle il a trouvé dans » des fentes des fragments de laine couleur de rosé, liés avec du » clinquant. Dans le pays, on lui a dit que ces objets avaient été » confiés à la pierre par de jeunes personnes, dans l'espérance d'ob» tenir la faveur d'être mariées dans l'année.
Page civ - Cette relation est suivie de deux dissertations sur l'authenticité de la maison de l'héroïne, et sur les monumens anciennement érigés à sa gloire dans la province de Lorraine.
Page 178 - Un rimeur, sans péril, delà les Pyrénées, Sur la scène en un jour renferme des années: Là souvent le héros d'un spectacle grossier, Enfant au premier acte, est barbon au dernier.
Page cxviii - ... précédés de l'abrégé d'une grammaire analytique du persan , de comparaisons des parties constitutives de ces langues, et d'un essai sur l'analogie des mots persans entre eux et avec ceux de plusieurs idiomes, par HA Le Pileur.
Page 295 - ... sm Chanvre, champ semé de chenevis. CHEPPER , va Appeler à haute voix quelqu'un qui est éloigné. Ailleurs, en Franche-Comté, on dit Hupper, heupper. Ici le c initial aide à l'émission de la voix; il se fait sentir quand la Bressane dit : Cheppe ion per, monfieu, pour quelvingne mégi de la ruorta , appelle ton père, mon fils, pour qu'il vienne manger du gâteau. Mais le fils, en criant entre ses mains, afin de diriger le son vers celui qu'il appelle , fait heuppe ! CHIVRA , sm Billot...
Page 269 - Bullet , que j'ai consulté, et dont les recherches sont assez ma! appréciées dans sa province, je me plais à déclarer que j'ai souvent éprouvé la plus vive satisfaction à trouver dans son dictionnaire le type des mots patois dont j'avais à scruter l'origine, sans qu'il ait pourtant songé à les comparer au celtique. On en aura la preuve en lisant dans mon Vocabulaire une foule de termes, parmi lesquels ceux-ci : pibl , criante , prin , raboter , gargasse , quinzon , triquoises, béchouet...
Page 252 - ... châteaux et les bourgs de nos ancêtres. Notre langue vulgaire a bien quelques termes dont l'étymologie s'explique par des analogues français; mais on ne peut pas toujours dire s'ils dérivent de ceux-ci, ou si les analogues français appartiennent euxmêmes à des familles de mots éteints : en sorte que nous restons dans l'ignorance de leur véritable souche. Néanmoins , devons-nous admettre que le français s'insinue chaque jour dans les campagnes, et que nécessairement il y introduit...