Œuvres complètes de Voltaire, Volume 24la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Common terms and phrases
abfolument acte affez aime ainfi amant amour Ariane auffi barbariſme beau Bérénice c'eft c'eſt chofe choſe Cinna cœur comédie comique comte d'Effex confeil Corneille défaut deffein difcours Dircé doit eft-il Elifabeth Eryxe eſt expreffion expreffions fang fans favoir fcène fcène eft fecond fecret fefait femble femme fens fentimens fentiment ferait fervir feul fituation Flaminius foit folécifme fon fils font fouffrir foupirs fous fouvent fpectateur froide ftyle fublime fuccès fuis fuivante fujet furtout Héraclius héros homme illuftre intéreffante j'ai jamais jufqu'à jufte l'amour l'efprit laiffer Laodice Léontine Madame Maffiniffe maîtreffe Martian mauvaiſe n'eft n'eſt néceffaire Nicomède noble obfcur Oedipe paffe paffion parler penfer perfonnage perfonne perſonnage Pertharite Phèdre Phocas phraſe pièce Pierre Corneille poëfie Pompée prefque prince princeffe Prufias puiffe Pulchérie qu'un Quinault Racine raifon refpect refte reine ridicule rien s'eft ſcène SCENE PREMIERE Seigneur Sertorius Sophonisbe ſtyle théâtre Théfée Thomas Corneille tragédie tragique Viriate
Popular passages
Page 353 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Page 189 - NE verse point de pleurs sur cette sépulture, Passant : ce lit funèbre est un lit précieux, Où gît d'un corps tout pur la cendre toute pure ; Mais le zèle du cœur vit encore en ces lieux. Avant que de payer le droit à la nature...
Page 189 - L'humilité, la peine étaient son allégresse; Et son dernier soupir fut un soupir d'amour. Passant, qu'à son exemple un beau feu te transporte, Et loin de la pleurer d'avoir perdu le jour, Crois qu'on ne meurt jamais quand on meurt de la sorte.
Page 195 - N'oublions pas ici de faire sentir une grande vérité : Fouquet n'est plus connu aujourd'hui que par un malheur éclatant, et qui même n'a été célèbre que parce que tout le fut dans le siècle de Louis XIV; l'auteur de Cinna, au contraire...
Page 242 - Cid il ait presque toujours renoncé à émouvoir. Je ne peux m'empêcher de dire ici que, quand je pris la...
Page 186 - Non, non, d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux, rendre un fils à sa mère, De cent peuples pour lui combattre la rigueur, Sans me faire payer son salut de mon cœur, Malgré moi, s'il le faut, lui donner un asile : Seigneur, voilà des soins dignes du fils d'Achille.
Page 118 - L'art dramatique est ,une imitation de la nature, comme l'art de peindre. Il ya des sujets de peinture sublimes...
Page 224 - Théâtre, toute médiocre qu'elle est, faisait regarder comme un législateur en littérature. Cet abbé, qui avait été long-temps prédicateur, s'était acquis beaucoup de crédit dans les plus grandes maisons de Paris.
Page 227 - Rome, d'assister à un spectacle où l'on trouvait une instruction et un plaisir si noble. Quels furent les premiers auditeurs de Corneille? un Condé, un Turenne, un cardinal de Retz, un duc de La Rochefoucauld, un...
Page 226 - Cinna, le sublime de Cornélie, les rôles de Sévère et de Pauline, le cinquième acte de Rodogune, la conférence de Sertorius et de Pompée, tant de beaux morceaux tous produits dans un...