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aient un rapport direct et marqué avec la chose qu'on veut exprimer, et avec le point de vue sous lequel on veut la faire envisager. Ainsi Bossuet dit: « Celui qui règne dans les cieux, de qui relèvent › les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l'indépendance, est aussi celui qui fait la > loi aux rois (1), et qui leur donne, quand il lui > plaît, de grandes et de terribles leçons. Cette périphrase, ce développement de quelques attributs de l'Étre suprême fait plus d'impression que si Bossuet se fut simplement contenté de nommer

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Dieu.

4° Le plus souvent on se sert des périphrases pour l'ornement du discours, et principalement dans la poésie. Les poètes expriment, par exemple, de mille manières les diverses parties du jour par des périphrases, dont le ton est différent selon le caractère du poème où on les emploie. On va s'en convaincre par des exemples:

L'Aurore cependant, au visage vermeil ;
Ouvrait dans l'Orient le palais du soleil :
La nuit en d'autres lieux portait ses voiles sombres;
Les songes voltigeants fuyaient avec les ombres.
(VOLTAIRE, Henriade, chant 6.)

Les ombres cependant, sur la ville épandues,
Du faite des maisons descendent dans les rues.

(BOILEAU, Lutrin, chant 2.)

Voici le Temps décrit par une périphrase:

Ce vieillard qui, d'un vol agile,

Fuit sans jamais être arrêté,
Le temps, cette image mobile
De l'immobile éternité,
A peine, du sein des ténèbres,
Fait éclore les faits célèbres,
Qu'il les replonge dans la nuit :
Auteur de tout ce qui doit être,
Il détruit tout ce qu'il fait naître
A mesure qu'il le produit.

(ROUSSEAU, ode 2, livre 3.) Boileau, pour dire qu'il a cinquante-huit ans, emploie la périphrase suivante :

Mais aujourd'hui qu'enfin la vieillesse venue, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue, A jeté sur ma tête, avec ses doigts pesants, Onze lustres complets, surchargés de trois ans..... On peut juger, par la diversité de ces exemples, quel est l'emploi fréquent et varié que l'on fait de la périphrase, et se convaincre qu'elle doit avoir un

DE L'ONOMATOPÉE.

Sile son matériel d'un mot exprime le son naturel de ce qu'il signifie, c'est une onomatopée, en greс ovoμтопoux, formé de vouz, nom, et de note, je fais; comme le glou-glou de la bouteille, le cliquetis des armes, le hennissement des chevaux, le trictrac, le coucou, etc. Le poète Ennius avait. exprimé le son de la trompette par le mot taratantara (1), et la célèbre Sévigné le pas des chevaux par les mots trà, trà, trà. L'archevêque de **** › revenant hier fort vite de Saint-Germain, voici » ce qui lui arriva. Il allait à son ordinaire, comme un tourbillon; il passait au travers de Nanterre, › trà, trà, trà. Il rencontre un homme à cheval; gare! gare! Ce pauvre homme veut se ranger, › son cheval ne le veut pas ; enfin le carrosse et les › six chevaux renversent, cul par-dessus tête, le pauvre homme et le cheval, et passent par-des› sus, et si bien par-dessus, que le carrosse en fut › versé et renversé. En même temps l'homme et le cheval, au lieu de s'amuser à être roués, se re› lèvent miraculeusement et remontent l'un sur › l'autre. ›

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Quelquefois c'est l'harmonie d'une phrase entière, qui, par sa lenteur ou par sa rapidité, par la rudesse ou par la douceur des sons, et par l'espèce particulière des syllabes dont elle est composée, peint, aussi naturellement qu'il est possible, la chose dont on parle; c'est ce qu'on appelle harmonie imitative. Les exemples en sont très-variés dans les bons auteurs, et principalement dans les poètes. Nous en citerons seulement quelques-uns:

La Mollesse oppressée.....

Soupire, étend les bras, ferme l'œil, et s'endort. (BOILEAU. Le Lutrin.) Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes? (RACINE.)

Et la foudre, en grondant, roule dans l'étendue. (SAINT-LAMBERT.) Quadrupedante putrem sonitu quatit ungula campum. (VIRGILE.)

L'onomatopée, dit Estarac, n'est cependant pas un trope; car les mots y conservent la signification qui leur est propre. Mais nous pensons avec lui et avec Demandre qu'on l'a rangée parmi les figures, parce qu'elle fait image, en imitant parfaitement ce qu'elle exprime.

ton bien différent, selon le caractère des ouvragestion après les synonymes et les homonymes, car Nous remettons à parler des figures de construcdans lesquels on s'en sert.

(1) La loi aux rois, cacophonie désagréable au'il ut éviter avec soin.

nous ne voulons rien oublier.

(') At tuba terribili sonitu taratantara di rit.

DES SYNONYMES.

Synonyme, en grec avvwvupos, formé de v avec, ensemble, et de ovopa, nom, signifie qui a le même sens. Posons d'abord comme principe de conviction que le synonyme d'un mot n'existe réellement pas; et il est facile de s'en convaincre. Sunt fini-› tima omninò, sed tamen differt aliquid, a dit Cicéron. Deux ou plusieurs mots seraient des synonymes, s'ils avaient la même signification, et s'ils exprimaient exactement la même idée, avec les mêmes nuances précises.

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› S'il y avait des synonymes parfaits, dit du > Marsais, il y aurait deux langues dans une même langue. Quand on a trouvé le signe exact d'une › idée, on n'en cherche pas un autre. Les mots > anciens et les mots nouveaux d'une langue sont › synonymes: maint est synonyme de plusieurs; › mais le premier n'est plus en usage; c'est la grande ressemblance de signification qui est › cause que l'usage n'a conservé que l'un de ces › termes, et qu'il a rejeté l'autre comme inutile. (Traité des Tropes.)

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› nombre des plats plutôt que dans celui des mets. › Qu'importe d'avoir plusieurs termes pour une même idée? n'est-il pas plus avantageux d'en › avoir pour toutes celles qu'on souhaite d'exprimer? › (Préface des Synonymes, page 12.)

Il n'y a donc point de synonymes parfaits. Néanmoins on dit quelquefois que telle et telle expression sont synonymes. Que faut-il penser de cette manière de parler? Le même Girard va nous l'apprendre. Pour acquérir la justesse, dit-il, il faut

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se rendre un peu difficile sur les mots, ne point › s'imaginer que ceux qu'on nomme synonymes le soient dans toute la rigueur d'une ressemblance › parfaite, en sorte que le sens soit aussi uniforme › entre eux que l'est la saveur entre les gouttes › d'eau de la même source; car, en les considérant › de près, on verra que cette ressemblance n'embrasse pas toute l'étendue et toute la force de la › signification; qu'elle ne consiste que dans une idée principale, que tous énoncent, mais que cha› cun diversifie à sa manière par une idée accessoire qui lui constitue un caractère propre et singulier. La ressemblance que produit l'idée géné› rale fait donc les mots synonymes; et la diffé›rence venant de l'idée particulière, qui accom>pagne l'idée générale, fait qu'ils ne le sont pas > parfaitement, et qu'on les distingue comme les › diverses nuances d'une même couleur.

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A quoi Girard ajoute : « Qu'une fausse idée de ⚫ richesses ne vienne pas ici faire parade de la ⚫ pluralité et de l'abondance. J'avoue que la plu⚫ralité des mots fait la richesse des langues; mais ‣ ce n'est pas la pluralité purement numérale ; c'est ⚫ celle qui vient de la diversité, telle qu'elle brille › dans les productions de la nature... Je ne fais › donc cas de la quantité des mots que par celle › de leur valeur. S'ils ne sont variés que par les ▸ sons, et non pas par le plus ou le moins d'énergie, › d'étendue, de précision, de composition, ou de simplicité, que les idées peuvent avoir, ils me paraissent plus propres à fatiguer la mémoire, › qu'à enrichir et à faciliter l'art de la parole. Protéger le nombre des mots sans égard au sens, › c'est, ce me semble, confondre l'abondance avec › la superfluité. Je ne saurais mieux comparer un • tel goût qu'à celui d'un maître-d'hôtel qui ferait › consister la magnificence d'un festin dans le

Il est donc bien essentiel d'étudier les synonymes, et de distinguer avec soin la propriété des termes, et leurs différences délicates, afin de pouvoir mettre dans ses discours toute la précision et la netteté qu'exige la justesse la plus métaphysique. Contentons-nous ici de montrer, par quelques exemples, les nuances minutieuses qui se trouvent dans les significations respectives des expressions synonymes.

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. On confond ordinairement ces deux mots; cependant, avec un air de ressemblance, ils se distinguent par des traits bien marqués. L'égoïste ⚫ est l'homme qui parle sans cesse de lui, qui dit toujours moi. L'homme personnel est celui qui rapporte tout à lui, à sa personne, ou qui n'est conduit que par son intérêt personnel.

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› L'égoïste ne parle que de lui, et l'homme per⚫sonnel ne songe qu'à lui. Le premier se met tou⚫ jours au milieu de la scène, et le second au cen⚫tre des choses. L'un, tout occupé de lui-même, • veut vous occuper de lui; l'autre, quelquefois > occupé de vous, ne s'en occupe que pour lui. L'a› mour-propre de l'égoïste est plus vain; celui de » l'homme personnel est plus profond. Le premier » est ridicule; le second est redoutable.

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› L'égoïste parle, et vous le connaissez ; vous ne ⚫ connaissez pas toujours l'homme personnel, même quand il parle. Je vois que le premier ramène tout à lui; j'ai de la peine à reconnaître que le › second rapporte tout à lui. Je suis fâché de ren⚫ contrer l'égoïste; je ne veux rien avoir à démêler › avec l'homme personnel.

› sommeil; songer, c'est faire des songes; et si › l'on se sert de ce verbe pour signifier penser ou rêver à quelque chose, c'est en le détournant de › sa signification propre et primitive.

› L'homme éveillé fait des rêves, on ne dira pas > qu'il fait des songes. Les rêves du délire ne s'appellent pas des songes. Les chimères, les imagina» tions, les idées fantastiques d'un visionnaire, ont › une certaine analogie avec les songes; mais elles › ne sont que des rêves.

› Rien ne ressemble plus aux songes de la nuit que les rêves du jour; c'est toujours le travail › d'une imagination échauffée. Les rêves du jour produisent souvent les songes de la nuit ; et les songes de la nuit sont aussi quelquefois l'objet › des rêves ou des rêveries du jour.

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Les esprits fantasques, qui voient dans leurs

› extases tout ce qu'ils imaginent, sont d'autant plus persuadés de la réalité de leurs visions, qu'ils > ont fait ces rêves les yeux ouverts, et qu'ils ne › peuvent les confondre avec des songes.

› Occupez-vous, et vous ferez peu de rêves; › point d'excès, et vous ne ferez point de songes.› (Roubaud.)

Décence, Bienséance, Convenance.

› L'égoïste est un sot, ou le sera; l'homme personnel peut être un sot, mais c'est toujours un ⚫ homme dangereux. Il y a dans l'égoïste beau- La décence est un état, une façon de paraître ⚫ coup de petitesse d'esprit avec un grand fonds > comme on le doit la bienséance, un état, une ⚫ d'amour-propre ; il y a dans l'homme personnel, manière, qui est séante, qui sied bien, qui est à > un fonds d'amour-propre, ou plutôt de cupidité, sa place: la convenance, un état qui cadre, qui ⚫ inépuisable; celui-là cherche des sots qui l'admi⚫ rent, et celui-ci des dupes qui l'écoutent. L'é> goïste est un fléau dans une assemblée; l'homme › personnel est votre ennemi, le mien, celui de la › société en général. L'égoïste peut aimer quelque chose, il n'est pas méchant; l'homme personnel › n'aime que lui, c'est un mauvais cœur.

› convient.

› La décence est, à la lettre, la manière dont on › doit se montrer pour être considéré, approuvé, honoré; la bienséance est la manière dont on doit être dans la société, pour y être bien, à sa place, › comme il faut; la convenance, c'est la manière › dont on doit disposer, arranger, assortir ce qu'on > Je ne dis pas que l'égoïste ne soit pas un hom> fait pour s'accorder avec les personnes, les chome personnel; je ne dis pas que l'homme person-ses, les circonstances. › nel ne soit pas un égoïste; ils sont tous les deux ⚫ pleins d'eux-mêmes; il est naturel que leur ⚫ amour-propre abonde et déborde en tous sens. . Mais l'homme personnel est bien maladroit s'il › est égoïste. (Roubaud.)

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Rêve, Songe.

Le mot rêve n'a pas par lui-même un rapport nécessaire avec le sommeil; on rêve en dormant;

› mais on rêve aussi tout éveillé, lorsqu'on se livre à des pensées vaines, bizarres, extravagantes. Rêver signifie donc proprement s'imaginer toute ⚫ sorte de choses, vaguer d'un objet à l'autre sans › aucune suite, rouler dans son esprit des pensées › décousues et disparates.

› Songe est évidemment tiré du mot latin som› nium. Le songe est donc une chose propre au

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D

La décence regarde l'honnêteté morale; elle

› règle l'extérieur, selon les bonnes mœurs. La › bienséance concerne l'honnêteté civile; elle règle › nos actions selon les mœurs et les usages de la » société. La convenance pure s'attache aux cho› ses moralement indifférentes en elles-mêmes; elle règle des arrangements particuliers, selon › les bienséances et les conjonctures.

Une femme est habillée avec décence, lorsqu'elle l'est sans immodestie; avec bienséance,

> lorsqu'elle l'est suivant son état ; avec convenance, lorsqu'elle l'est selon la saison et les circonstances.

>

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> militaire, n'est quelquefois pas séant pour une ] › femme, pour un vieillard, pour un magistrat. La convenance s'accommode aux conjonctures; › car ce qui convient dans un temps, dans une oc› casion, à telle personne, ne convient pas toujours

› et à tous.

› L'observation de la décence annonce l'homme › pur, ou modeste ; celle des bienséances, l'homme > honnête et poli; celle des convenances, l'homme › soigneux et sage.

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> L'homme qui se respecte gardera infaillible-> › ment la décence; celui qui respecte les autres › déférera toujours à la bienséance; celui qui res›pecte l'opinion et l'ordre consultera,dans l'occasion, la convenance.

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La décence demande une extrême attention › sur soi; la bienséance, une grande attention aux › autres; la convenance, beaucoup d'attention à ce › qui nous entoure. » (Roubaud.)

Infamie, Ignominie, Opprobre.

L'étymologie de ces trois mots n'est rien moins › qu'indifférente pour fixer les nuances qui les > › distinguent.

› Infamie est formé de in, particule négative, et › de fama, réputation, d'où sont venus famé, dif› famé, infame, etc. Ignominie est formé de la › même négation in, et de nomen, nom. Opprobre › de ob, devant, en face, et de probrum, honte, > blâme, affront.

› Selon la force des termes, l'infamie ôte donc › la réputation; l'ignominie souille le nom, ou › donne un mauvais renom; l'opprobre assujétit › aux reproches, et soumet aux outrages.

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› Les idées de honte et de blâme sont commu› nes à ces trois termes : l'infamie aggrave ces idées par celles du décri, de la flétrissure, du dés> honneur; l'ignominie, par celles d'humiliation, d'avilissement, de turpitude; l'opprobre, par > celles de rebut, d'avanie, de scandale.

› L'infamie est attachée à certaines actions : un › homme qui a des sentiments d'honneur ne s'y › livrera pas. L'ignominie se répand sur une lâche abjection; celui qui a le sentiment de sa dignité › d'homme n'y descend point, ne s'y livre point. › L'opprobre poursuit le personnage indigne des › moindres égards de la société ; celui à qui il reste › quelque sentiment ne trouve pas de plus grand > supplice que de vivre, quand il est tombé dans > cet état. (Roubaud.)

D

Nous jugeons inutile de citer un plus grand nombre d'exemples; ceux qu'on vient de lire suffisent pour montrer combien il est essentiel de distinguer la signification propre de chaque mot, afin que chacun soit mis à sa place, et dans la circonstance où celui-là seul peut exprimer l'idée précise qu'on a l'intention de rendre. Ce n'est que par une analyse exacte et lumineuse que l'on vient à bout de découvrir la signification précise des mots; et souvent, pour cela, il est utile d'avoir recours à leur étymologie, comme dans les exemples ci-dessus. Cette matière a d'ailleurs été traitée à fond dans notre Dictionnaire.

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DES HOMONYMES.

les

tériel, mais qui n'ont entre eux que des différences très-légères, ou dans la prononciation, ou dans l'orthographe, ou dans l'une et dans l'autre, quoiqu'ils aient des sens tout différents : on peut appeler homonymes équivoques, du mot latin æquivocus. Ainsi voler, signifiant dérober, et voler, aller en l'air, ne diffèrent que par la prononciation de la première syllabe, qui est longue dans le premier cas, et brève dans le second. Il en est de même de tâche (pensum), et de tache (macula). Les suivants different par leur orthographe: ceint, qui a une ceinture; saint, qui a de la sainteté; sain, qui a de la santé; seing, signature. Les mots poids, pois, poix; penser, panser, et beaucoup d'autres, sont dans la même catégorie.

L'emploi des homonymes univoques ne peut pas induire en erreur, pourvu qu'on se serve toujours du même mot dans le même sens; sans cela, on avancerait une proposition qui serait nécessairement fausse dans l'une des acceptions de ce mot. Quant aux homonymes équivoques, il faut une grande exactitude dans la prononciation et dans l'orthographe pour ne pas présenter un sens louche, ou même ridicule, en articulant ou en écrivant un mot pour un autre mot qui aurait un sens tout différent, comme si l'on écrivait : penser un cheval, une plaie; ou panser à un projet, etc.

Voici le tableau le plus complet que nous ayons pu trouver des homonymes. Il est l'œuvre du savant Boinvilliers; car nous y ajoutons trop peu de choses pour nous en attribuer la moindre part.

TABLEAU DES HOMONYMES.

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Anvers, ville.
Apelle, peintre célèbre.
Appas, charmes.
Appendre, suspendre.

Apprendre par cœur.
Apprêt.

Argot, sorte de langage.
Art, méthode.
Auspice, présage.
Aulan, vent furieux.
Autel d'église.
Auteur, créateur.
Avant, adv. ou prép.
Avant, adv. ou prép.
Avez, du verbe avoir.
Bailler, respirer en ou-
vrant la bouche.

Balai, pour balayer.
Banc, siège.

Basse, instrument où
voix.

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Bout, extrémitéė.

Acquit, qu'il acquit.

Brocard, raillerie.

quérir.

A qui.

Acre, piquant.

Acre, mesure de terre.

Ça.
Čaisse.

verbe adhérer.

Adieu.

Affaire.

Ah!

Adhérant, participe du{Adhérent,substantif.

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A Dieu, s'adresser à Dieu.

A faire, n'avoir rien à faire.
Ha!

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(1) La pomme à la plus belle, » a dit l'antique adage;
Un plus heureux a dit : « La rose à la plus sage. »

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Carte à jouer.

Cartier, marchand de

cartes.

Ce.

Céans.

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Qu'est-ce, pour que est-ce.
Quand.

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Ceint, part. du verbe Saint, sainte.

ceindre.

Selle de cheval.

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