En vente chez A. PRÉTERRE 29, BOULEVARD DES ITALIENS, a paris POUDRE ET ÉLIXIR DENTIFRICES PRÉTERRE POUR L'HYGiène des deNTS 5 fr., 10 fr., 15 fr., 20 fr. et 30 fr. le flacon, suivant la grandeur. BAUME PRÉTERRE CONTRE LES MAUX de dents 5 fr. et 10 fr. le flacon. ÉLIXIR DE GAULTHÉRINE POUR L'ENTRETIEN JOURNALIER DES PIÈCES ARTIFICIELLES 5 fr., 10 fr., 15 fr. et 30 fr. le flacon. POUDRE DE GAULTHERINE POUR L'ENTRETIEN DES PIÈCES ARTIFICIELLES 5 fr., 10 fr., 15 fr. et 20 fr, la boîte. MIXTURE TONIFIANTE PRETERRE CONTRE L'ÉBRANLEMENT ET LE DÉCHAUSSEMENT DES DENTS 5 fr., 10 fr., 15 fr., 20 fr. et 30 fr. le flacon. ELIXIR AROMATIQUE POUR PARFUMER L'HALEINE 5 fr., 10 ir. 15 fr. et 30 fr. le flacon. Pour l'usage de ces diverses préparations, voir le chapitre du TRAITÉ DES MALADIES DES DENTS, consacré aux préparations dentifrices Préterre (page 205), EAUX MINÉRALES RECOMMANDÉES Gastralgie, dyspepsie. Perles de Vals, nos 1 et 3. Anémie, chlorose. Reine du Fer. Rhumatisme, herpétisme, maladies constitutionnelles, obésité. Bandonneau (iodurée). Lymphatisme, scrofule. Sierck (chlorurée sodique). Pastilles alcalines, Perles de Vals contre l'acidité de la bouche et de l'haleine. Dragées Reine du Fer, 6 par jour aux repas. Anémie, faiblesse. Eau Royale hongroise, la meilleure des eaux purgatives. M. D..., docteur en droit, fort instruit, fort intelligent, âgé de 26 ans, jouissant d'une parfaite santé était venu au Mont-Dore, se faire traiter pour une légère pharyngolaryngite. Descendu à l'hôtel de la Poste, M. D... suivait, depuis cinq à six jours, son traitement thermal lorqu'un soir, souffrant beaucoup d'un mal de dent, il se procura quelques grammes de chloroforme et, après son dîner, il se coucha en plaçant sur la dent cariée, qui était une molaire, une boulette de coton imprégnée de chloroforme. Le lendemain matin à 9 heures, le garçon de l'hôtel ne voyant pas descendre de sa chambre son voyageur, comme celui-ci en avait l'habitude, frappe à la porte et ne reçoit feuilleton de l'art dentaire. ODONTIANA Les préjugés ont longtemps exercé un empire inique et cruel. On a vu autrefois des internes de chirurgie dissimuler qu'ils se destinaient à la profession de dentiste et s'offrir, comme par dévouement, pour soigner les affections de la bouche dans les salles des hospices, afin d'avoir un champ d'expérimentation et afin de pouvoir devenir de bons praticiens. S'ils avaient avoué leur but, on les eût renvoyés pour leur substituer de vrais élèveschirurgiens. Les effets de ce préjugé durent encore. (L'Odontologie.) P. DULEOIS. aucune réponse; alors il entre et quel ne fut pas son étonnement notre jeune docteur en droit couché sur le côté gauche, c'est-à-dire du côté de la table de nuit, la tête inclinée sur le haut de la poitrine, la figure complètement pâle et décolorée, ne répond à aucune question, le garçon est pris de frayeur, il appelle au secours, mais désormais tout secours est inutile, notre jeune homme est bien réellement mort. Appelé immédiatement, nous trouvons le malade dans l'attitude indiquée tout à l'heure, un petit flacon d'une capacité moindre de 30 grammes, débouché et complètement vide, gisait dans le lit non loin du visage du défunt. Tout le corps était d'une pâleur extrême, encore un peu chaud et ne présentant aucun signe de rigidité cadavérique, tous les autres signes de la mort existaient et ce n'est que six à sept heures plus tard que la rigidité cadavérique s'est développée. Cet accident, peu expliqué, dont nous empruntons la relation au journal Paris médical, prouve que les gens Continuant l'étude des modifications de la motilité, après la mort, nous trouvons la chute de la mâchoire inférieure ; pour éviter le spectacle pénible de cette bouche béante, on a l'habitude d'attacher le menton avec un mouchoir. C'est un signe qui, pris isolément, n'a pas une grande valeur. Il y a, en effet, des individus qui succombent avec une contraction des mâchoires; en particulier à la suite du tétanos ou de certains empoisonnements comme l'empoisonnement par la strychnine. Quelquefois la strychnine produit la flaccidité : c'est lorsque le sujet a pris une dose insuffisante pour le tuer rapidement ; si bien que, dans ce même empoisonnement, on peut avoir, suivant la dose, ou une contracture puissante ou un relâchement absolu. (Gazette des hôpitaux.) BRQUARDEL. Parmi les reliques conservées dans divers sanctuaires les dents |