Oeuvres complètes de m. le vicomte de Chateaubriand: PoésiesPourrat frères, 1836 |
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... sauver une race homicide Qui , jusque dans ce camp , avec un art fatal , Introduit et répand le culte de Baal . NADAB . Charitable Caleb , sont - ce là les cantiques Que du temple promis rediront les portiques ? Sur un autel de paix au ...
... sauver une race homicide Qui , jusque dans ce camp , avec un art fatal , Introduit et répand le culte de Baal . NADAB . Charitable Caleb , sont - ce là les cantiques Que du temple promis rediront les portiques ? Sur un autel de paix au ...
Page 155
... sauver , en poussant Jacob au précipice . Oui , je triompherai si Nadab amoureux Au culte d'Abraham arrache les Hébreux . NÉBÉE . Vous croyez donc leur Dieu puissant et redoutable ? ARZANE . Je sais du moins , je sais qu'il est ...
... sauver , en poussant Jacob au précipice . Oui , je triompherai si Nadab amoureux Au culte d'Abraham arrache les Hébreux . NÉBÉE . Vous croyez donc leur Dieu puissant et redoutable ? ARZANE . Je sais du moins , je sais qu'il est ...
Page 160
... ARZANE . Epargnez .... NADAB . Vous sauver changea ma vie entière ! Ce cœur , que vous avez habité la première , Vit l'amour se lever terrible et violent Comme l'astre de feu dans ce désert brûlant . Le 160 MOISE . .
... ARZANE . Epargnez .... NADAB . Vous sauver changea ma vie entière ! Ce cœur , que vous avez habité la première , Vit l'amour se lever terrible et violent Comme l'astre de feu dans ce désert brûlant . Le 160 MOISE . .
Page 166
... Le destin . Quel parti qu'alors vous vouliez prendre , Contre tout ennemi prompt à vous secourir , Arzane , je saurai vous sauver ou mourir . ( Nadab sort . ) SCÈNE V. ARZANE , NÉBÉE , CHOEUR DE JEUNES FILLES 166 MOISE .
... Le destin . Quel parti qu'alors vous vouliez prendre , Contre tout ennemi prompt à vous secourir , Arzane , je saurai vous sauver ou mourir . ( Nadab sort . ) SCÈNE V. ARZANE , NÉBÉE , CHOEUR DE JEUNES FILLES 166 MOISE .
Page 169
... sauver d'Amalec et la race et le nom . Nos guerriers ne sont plus , mais vous restez encore : Formez les chœurs brillants des peuples de l'aurore . Des femmes de Byblos répétez les soupirs ; Du farouche Israël enflammez les désirs ...
... sauver d'Amalec et la race et le nom . Nos guerriers ne sont plus , mais vous restez encore : Formez les chœurs brillants des peuples de l'aurore . Des femmes de Byblos répétez les soupirs ; Du farouche Israël enflammez les désirs ...
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Common terms and phrases
AARON Abarim ACTE admiration Amalécites âme amour ARZANE autels avoit beauté beaux bonheur bras briand CALEB camp cercueil chants charme Chateau château de Versailles Chateaubriand Chateaubriand n'a chœur CHOEUR DE JEUNES CHOEUR DE LÉVITES ciel cieux cœur crime d'Amalec d'Arzane d'Israël DATHAN DEMI-CHOEUR désert Dieu dieux douleur doux drame moderne écouter Élisa Mercœur enfants esclave étoit femmes fils d'Aaron fleur flots foiblesse front gloire Hébreux homme ISRA Israël Israélites j'ai Jacob JEUNES FILLES AMALÉCITES Josué jour l'abbé Delille l'amour l'autel larmes lévites Louis XIV main malheurs MARIE maux mer Rouge Milton Moïse monts solitaires mort mourir NADAB NÉBÉE noble nuit onagres palmiers passé passion père peuple pitié pleurs poésie poète poétique prose Racine rime rois romance sang sauver SCÈNE Seigneur seul silence Sinaï sœur soldats soleil solitaire sort Talma teaubriand théâtre tombe tombeau de Joseph tragédie tribus triste trône Versailles victime vieillards vœux voilà voix voyageur yeux
Popular passages
Page 272 - sur son cœur joyeux , Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient.il encore Du château que baignoit la Dore , Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnoit le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille
Page 17 - silencieuse, aimable solitude, Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré ! Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude ! Prestige de mon cœur ! je crois voir s'exhaler Des arbres, des gazons, une douce tristesse : Cette onde que j'entends murmure avec mollesse, Et dans le Tond des bois semble encor m'appeler. Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma
Page 272 - Ma sœur, qu'ils étoient beaux les jours De France ! O mon pays ! sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère , Au foyer de notre chaumière, Nous
Page 270 - Jeune fille et jeune fleur. Ah ! ne les rends jamais à ce monde profane, A ce monde de deuil, d'angoisse et de malheur, Le vent brise et flétrit, le soleil brûle et fane Jeune fille et jeune fleur. Tu dors , pauvre
Page 5 - M. de Fontanes m'avoit vu renoncer aux Muses: « moi-même je ne les ai quittées que pour exprimer « plus rapidement des vérités que je croyois utiles. » Dans la Préface des ouvrages politiques, j'ai dit : « Les Muses furent l'objet du culte de ma jeunesse; « ensuite je continuai d'écrire en prose avec un « penchant égal sur des sujets d'imagination,
Page 323 - son nom s'inscrit aux célestes annales ; Préparez, préparez vos palmes triomphales : De sa lutte sanglante il sort victorieux, Et l'échafaud n'étoit qu'un degré vers les cieux. Mais d'où vient tout.à-coup que mon cœur se resserre ? Hélas ! il faut des cieux revenir sur la terre! Louis en vain assiste aux célestes concerts ; Les cieux sont imparfaits, son
Page 123 - joindre à la Comédie-Françoise pour l'exécution de la pièce telle que je l'avois conçue. Plusieurs personnes désiroient encore voir donner Moïse, afin d'essayer une diversion en faveur de cette pauvre école classique, si battue, si délaissée, à laquelle je devois bien quelque réparation, moi l'aïeul du romantique par mes enfants sans joug
Page 325 - ordonner son trépas ? Ah ! leurs horribles fronts l'ont prononcé d'avance. Mais je n'attendrai point l'effroyable sentence : Non : je n'attendrai point qu'une exécrable loi Envoie à l'échafaud l'épouse de mon roi. Non, je ne verrai point le tombereau du crime , Ces licteurs, ce vil peuple, outrageant leur victime, Tant de rois, d'empereurs, dans elle
Page 326 - Ah ! si dans ses revers la beauté gémissante Porte au fond de nos cœurs sa plainte attendrissante. Combien de la vertu les droits sont plus puissants! Sa bonté la rend chère aux cœurs compatissants; Pour son propre intérêt l'homme insensible l'aime : Et pleurer sur ses maux, c'est pleurer sur soi-même. Aussi des attentats de ce siècle
Page 312 - une paix passagère; Mais elle veut sa proie, et la veut tout entière. Ne parlez plus d'amis, de devoirs, de liens : Plus d'amis, de parents , ni de concitoyens. Le fils épouvanté craint l'abord de son père: Le frère se détourne à l'aspect de son frère ; L'amour même est timide , et, dans cet abandon , La nature est sans voix