La morale de l'adolescencePion, 1789 - 160 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 21
Page 31
... place aux Jeux Olympiques ; & perfonne ne fe dérangeoit , pour lui en donner une . Il ne fut pas plutôt au Quartier des Lacédémoniens que tous les Jeunes - Gens fe leverent par refpe & t , ce qui leur méritá les acclamations de la Grece ...
... place aux Jeux Olympiques ; & perfonne ne fe dérangeoit , pour lui en donner une . Il ne fut pas plutôt au Quartier des Lacédémoniens que tous les Jeunes - Gens fe leverent par refpe & t , ce qui leur méritá les acclamations de la Grece ...
Page 38
... place . Augufte , touché de l'amour filial du jeune Metellus , pardonna à fon pere . IId . Fils qui s'offre à une mort'infame pour con- ferver la vie de fon Pere criminel . Un Mandarin ( 1 ) avoit été condamné à mort , pour avoir préva ...
... place . Augufte , touché de l'amour filial du jeune Metellus , pardonna à fon pere . IId . Fils qui s'offre à une mort'infame pour con- ferver la vie de fon Pere criminel . Un Mandarin ( 1 ) avoit été condamné à mort , pour avoir préva ...
Page 56
... Place , que le Roi m'auroit confiée , ne tombát au pouvoir des ennemis , il falloit mettre à une brêche , que je verrois faire , ma perfonne , ma famille & tout ce que je poffede , je ne balancerois pas un moment . IIIme . Vou - Ti ...
... Place , que le Roi m'auroit confiée , ne tombát au pouvoir des ennemis , il falloit mettre à une brêche , que je verrois faire , ma perfonne , ma famille & tout ce que je poffede , je ne balancerois pas un moment . IIIme . Vou - Ti ...
Page 62
... place publique , fe faluoient & s'embraf- foient les uns & les autres , avec un vifage con- tent ; au lieu que les peres & les parents de ceux qui étoient échappés au fer de l'Ennemi fe te- noient cachés dans leurs maifons comme dans un ...
... place publique , fe faluoient & s'embraf- foient les uns & les autres , avec un vifage con- tent ; au lieu que les peres & les parents de ceux qui étoient échappés au fer de l'Ennemi fe te- noient cachés dans leurs maifons comme dans un ...
Page 63
... plufieurs blef- fures & lui porte enfin un dernier coup qui l'é- tend mort fur la place . Un des deux Horaces , accouru pour foutenir fon frere , fond fur le ' K vainqueur ; & , après lui avoir porté plufieurs ( 63 )
... plufieurs blef- fures & lui porte enfin un dernier coup qui l'é- tend mort fur la place . Un des deux Horaces , accouru pour foutenir fon frere , fond fur le ' K vainqueur ; & , après lui avoir porté plufieurs ( 63 )
Other editions - View all
Common terms and phrases
affez ainfi Alain Chartier Alexis Commene alloit Antigonus auffi auffi-tôt auroit avoient avoit befoins bienfaifance bonheur c'eft c'étoit Carthage Carthaginois Caton d'Utique ceffe célebre cher Difciple chofe Chrift Cinna cœur compofé Confeiller corps deffein Dieu eft Diogene eft un Etre Empereur Empereur des Romains enfuite ennemis envers époufe étoient étoit exif exifté exiſtence fageffe faifant fans doute fant fauver fe rendit fecond fecours femme fens fentiment feroit fervi fervice fes enfants feul fiecle foit fomme fon ami fon fils fon frere fon pere fous fouvent François Ier fuis fuite fuivant fujet fupplice fur le trône fur-tout grace homme IIIme inftruit IVme jour jufqu'à jufte juftice l'avoit l'Empereur l'Hiftoire Lacédémone laiffa Laurent de Médicis LEÇON lorfque Louis XII maniere monta fur mort mourut n'eft paffer patrie penfe Perfe perfonne Philofophe plufieurs poffible Polybe préfent premiere prifon prifonnier Prince puiffe raifon refpect refte Romains tence tendreffe trifte venoit vivoit
Popular passages
Page 128 - Depuis deux ans, fes infirmités l'avoient empêchée de fe rendre au palais. Elle fit dire à l'Impératrice, qu'elle avoit le plus vif regret de n'avoir pu fe trouver à cette pieufe cérémonie, non...
Page 146 - LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis.
Page 78 - Je fuis trop criminelle, puifque je » fuis deshonorée : je vous demande ma mort comme « une grâce , & pour m'empêcher de furvivre à ma » honte & à mon deshonneur. » Le Régent, quoiqu'outré de douleur , lui dit qu'une faute involontaire étoit plutôt un malheur qu'un crime , & que la violence , qu'on avoit faite à fon corps...
Page 95 - Monté sur l'échafaud, n'attendant plus que le coup mortel, le chevalier entend crier : " Grâce ! grâce !" Alors, un juge s'approche, et lui faisant valoir la clémence du roi, l'exhorte à lui révéler les desseins coupables du garde des sceaux. *' Je vois," lui dit le chevalier, " votre bas et criminel artifice.
Page 122 - Sulo îl fon laquais , obferve , le mieux qu'il te ferapojjible , où il fe retirera & ne manque pas de me le dire. Il fit ce que fon Maître lui commanda, fuivit le voleur dans trois ou quatre petites rues & le vit entrer chez un Boulanger où il acheta un pain de 7 ou 8 livres & changea une des piiloks qu'il avoit.
Page 67 - Magiftrat , qui , libre enfin de toute affaire , part pour fa campagne. Cependant, il n'ignoroit pas à quels fupplices il étoit réfervé. En effet , dès que les ennemis le virent de retour, fans avoir obtenu l'échange , & qu'ils...
Page 84 - Mandoa, dans l'Indoustan, étant tombé dans une rivière, en fut heureusement retiré par un esclave, qui s'était jeté à la nage et l'avait saisi par les cheveux. Son premier soin, en revenant à lui-même , fut de demander le nom de celui qui l'avait retiré de l'eau. On lui apprit...
Page 77 - ... plus long-temps de la cour , elle revint au palais. Le comte , de peur de l'aigrir , dissimula ses sentimens ; et des manières respectueuses succédèrent, en apparence, à l'éclat et à l'emportement de sa passion.
Page 56 - Roi m'a confiée ne tombât au pouvoir des ennemis, il fallait mettre à une brèche, ma personne, ma famille et tout mon bien, je n'hésiterais pas un moment à le faire.
Page 122 - Parlement , venoit de fe promener, fnivi feulement d'un laquais, un homme l'aborda, lui préfenta, un piftolet , & lui demanda la bourfe , mais en tremblant ? & en homme qui n'étoit pas expert dans le métier qu'il faifoit. a Vous vous adreffez mal , lui dit le magiftrat ; « je ne vous ferai guères riche : je n'ai que »> trois piftoles que js vous donne très-volontiers.