Histoire des cabinets de l'Europe: pendant le consulat et l'empire, 1800-1815, Volume 2 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 15 - Monsieur et cher cousin, il ne peut y avoir rien de commun entre moi et le grand criminel que l'audace et la fortune ont placé sur un trône qu'il a eu la barbarie de souiller du sang pur d'un Bourbon, le duc d'Enghien.
Page 257 - Pardonnerons-nous une quatrième fois ? Nous fieronsnous une quatrième fois à une cour sans foi , sans honneur , sans raison? Non! non! la dynastie de Naples a cessé de régner ; son existence est incompatible avec le repos de l'Europe et l'honneur de ma couronne. » Soldats, marchez, précipitez dans les flots, si tant est qu'ils vous attendent , ces débiles bataillons des tyrans des mers! Montrez au monde de quelle manière nous punissons les parjures!
Page 292 - ... du nouveau caractère que, par cette démarche, la guerre a déjà pris, et qui est le présage de ce qu'on peut attendre d'un cabinet dont je me plais à apprécier les principes, d'après ceux de M. Fox, un des hommes les plus faits pour sentir- en toutes choses ce qui est beau, ce qui est vraiment grand.
Page 148 - Je donne encore un conseil à mon frère l'empereur d'Allemagne : qu'il se hâte de faire la paix. C'est le moment de se rappeler que tous les empires ont un terme ; l'idée que la fin de la dynastie de la maison de Lorraine serait arrivée doit l'effrayer. Je ne veux rien sur le continent. Ce sont des vaisseaux, des colonies, du commerce que je veux, et cela vous est avantageux comme à nous.
Page 257 - J'avais d'assez légitimes raisons et de suspecter la trahison qui se méditait, et de venger les outrages qui m'avaient été faits : je fus encore généreux. Je reconnus la neutralité...
Page 197 - C'est pour atteindre ce but que je suis « sorti de chez moi. Vous avez été admirablement « servi par la fortune , il faut l'avouer ; mais en « allié fidèle, je ne me séparerai pas du roi des « Romains (il désignait l'empereur d'Allemagne), « dans un moment où son avenir repose sur
Page 360 - Maréchal, dit l'Empereur au maréchal Berthier , on nous donne un rendez-vous d'honneur pour le 8 ; jamais un Français n'ya manqué; mais comme on dit qu'il ya une belle reine qui veut être témoin des combats , soyons courtois , et marchons , sans nous coucher , pour la Saxe.
Page 80 - Brest; mais je ne sais pas, en vérité , quelle espèce de précaution elle peut prendre pour se mettre à l'abri de la terrible chance qu'elle court. Une nation est bien folle, lorsqu'elle n'a point de fortifications , point d'armée de terre, de se mettre dans le cas de voir arriver dans son sein une armée de cent mille hommes d'élite et aguerris.
Page 211 - Cet homme me fait faire une faute, car j'aurais pu suivre ma victoire, et prendre toute l'armée russe et autrichienne ; mais enfin quelques larmes de moins seront versées.