Génie du christianisme |
From inside the book
Results 1-5 of 83
Page 1
... terre , trois espèces d'ennemis l'ont constamment attaqué : les hérésiarques , les sophistes , et ces hommes en apparence frivoles , qui détruisent tout en riant . De nombreux apologistes ont victorieusement répondu aux subtilités et ...
... terre , trois espèces d'ennemis l'ont constamment attaqué : les hérésiarques , les sophistes , et ces hommes en apparence frivoles , qui détruisent tout en riant . De nombreux apologistes ont victorieusement répondu aux subtilités et ...
Page 11
... expliqué ce que Je pense sur la nature du premier principe : il faut vous l'écrire par énigmes , afin que , si ma lettre est interceptée sur terre ou sur mer , celui qui la lira n'y puisse rien comprendre DU CHRISTIANISME . 11.
... expliqué ce que Je pense sur la nature du premier principe : il faut vous l'écrire par énigmes , afin que , si ma lettre est interceptée sur terre ou sur mer , celui qui la lira n'y puisse rien comprendre DU CHRISTIANISME . 11.
Page 15
... tous les dialectes de la terre , et dont l'éloquence élève ou renverse des empires . Pour peindre le Fils divin , il nous suffira d'emprunter les paroles de celui qui le contempla dans sa gloire . DU CHRISTIANISME . 15.
... tous les dialectes de la terre , et dont l'éloquence élève ou renverse des empires . Pour peindre le Fils divin , il nous suffira d'emprunter les paroles de celui qui le contempla dans sa gloire . DU CHRISTIANISME . 15.
Page 29
... terre , pour lui faire porter ses fleurs et ses richesses . Mais , dira - t - on , que signifie cette communion mystique , où la raison est obligée de se soumettre à une absurdité , sans au- cun profit pour les mœurs ? Qu'on nous ...
... terre , pour lui faire porter ses fleurs et ses richesses . Mais , dira - t - on , que signifie cette communion mystique , où la raison est obligée de se soumettre à une absurdité , sans au- cun profit pour les mœurs ? Qu'on nous ...
Page 36
... terre . 4. Il est curieux de rapprocher de ce fragment de l'Apologie de saint Justin le tableau des mœurs des chrétiens que l'on trouve dans la fa meuse lettre de Pline le jeune à Trajan . Cette lettre , ainsi que la réponse de l ...
... terre . 4. Il est curieux de rapprocher de ce fragment de l'Apologie de saint Justin le tableau des mœurs des chrétiens que l'on trouve dans la fa meuse lettre de Pline le jeune à Trajan . Cette lettre , ainsi que la réponse de l ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable âme amour anciens antique avaient barbares beau beauté Bossuet c'était Canada céleste chant CHAP charité Charlevoix charme chevalerie chevaliers chose chré chrétiens christianisme Cicéron ciel clergé cœur culte d'Homère déserts Dieu dieux divin douleur Égypte Énée enfants Enfin eût femme fille fils forêts génie Génie du Christianisme Grèce héros Homère hommes humain Iroquois jésuites Jésus-Christ joie jours l'âme l'amour l'antiquité l'Église l'esprit l'Évangile l'histoire l'homme larmes Liban lois Louis XIV main malheureux ment mère merveilleux milieu misère missionnaires missions modernes mœurs monastères monde monuments morale mort mystères nations nature Nouvelle-France nuit Ordre Teutonique Paraguay parler passer passions patrie pauvres pensée père peuple philosophie Platon pleurs poésie poëte polythéisme premier prêtre Priam qu'un religieux religion religion chrétienne reste rien rois Romains Rome sacré saint sauvages sciences Seigneur sentiments seul siècle société soleil solitaire solitude sorte sublime temple terre Tertullien tombe tombeau trouve vérité vertu vices Virgile voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 210 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 288 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 217 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes?
Page 235 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 2 - ... la religion chrétienne est la plus poétique , la plus humaine , la ! plus favorable à la liberté , aux arts et aux lettres ; que le monde moderne lui doit tout, depuis l'agriculture jusqu'aux sciences abstraites , depuis les hospices pour les malheureux jusqu'aux temples bâtis par Michel-Ange et décorés par Raphaël.
Page 370 - Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Page 391 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières, qui font et défont les empires, dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient ies passions, tantôt il leur lâche la bride ; et par là il remue tout le genre humain.
Page 204 - C'est le sang des héros défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs.... O fille encor trop chère! Connais-tu ton destin? sais-tu quelle est ta mère? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour Ce triste et dernier fruit d'un malheureux amour, Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée...
Page 204 - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire.
Page 132 - La rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perdait ?° dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur les gazons ; des bouleaux agités par les brises et dispersés ça et là formaient des îles d'ombres flottantes sur cette mer immobile de lumière.