Le génie du christianisme |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Contents
65 | |
69 | |
73 | |
77 | |
80 | |
89 | |
94 | |
97 | |
99 | |
100 | |
102 | |
106 | |
108 | |
111 | |
113 | |
117 | |
121 | |
125 | |
129 | |
132 | |
136 | |
138 | |
145 | |
148 | |
164 | |
171 | |
182 | |
192 | |
203 | |
211 | |
217 | |
230 | |
237 | |
245 | |
251 | |
258 | |
265 | |
332 | |
339 | |
348 | |
359 | |
364 | |
370 | |
376 | |
384 | |
390 | |
397 | |
407 | |
418 | |
426 | |
433 | |
438 | |
440 | |
442 | |
449 | |
451 | |
452 | |
456 | |
458 | |
460 | |
463 | |
465 | |
467 | |
471 | |
472 | |
473 | |
474 | |
476 | |
478 | |
480 | |
482 | |
485 | |
490 | |
503 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme amour anciens antique appelle arts avaient avons beau beauté belle cæur caractère chant CHAP chercher chevaliers chose chrétiens christianisme ciel corps coup cour culte dernier déserts devant Dieu dire divin dogmes doit donner doute élevé enfants Enfin esprit faisait femme fille fils fond force forêts forme général génie Grecs haut heureux hommes humain idées jeune jours l'âme l'amour l'autre l'Église l'esprit l'histoire l'homme laissé lettres lieu livre loin lois lumière main malheur ment mère merveilleux milieu mille monde montre morale mort mystères n'était nature naturel nouvelle nuit ouvrages parler passer passions peine pensée père petits peuple peut-être philosophie pieds place poëte porte pouvait premier présent prêtre qu'un raison religieux religion remarque reste rien s'il sacrés saint sauvages sciences seconde semble sentiments serait seul siècle simple société soleil sorte souvent sublime suite sujet tableau temples terre tombe tombeau touchant tour traits trouve vérité vertu voix voyait yeux
Popular passages
Page 210 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance ; Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner , M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 288 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 217 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes?
Page 235 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 2 - ... la religion chrétienne est la plus poétique , la plus humaine , la ! plus favorable à la liberté , aux arts et aux lettres ; que le monde moderne lui doit tout, depuis l'agriculture jusqu'aux sciences abstraites , depuis les hospices pour les malheureux jusqu'aux temples bâtis par Michel-Ange et décorés par Raphaël.
Page 370 - Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Page 391 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières, qui font et défont les empires, dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient ies passions, tantôt il leur lâche la bride ; et par là il remue tout le genre humain.
Page 204 - C'est le sang des héros défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs.... O fille encor trop chère! Connais-tu ton destin? sais-tu quelle est ta mère? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour Ce triste et dernier fruit d'un malheureux amour, Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée...
Page 204 - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire.
Page 132 - La rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perdait ?° dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur les gazons ; des bouleaux agités par les brises et dispersés ça et là formaient des îles d'ombres flottantes sur cette mer immobile de lumière.