Fables choisies, mises en vers, Volumes 1-2Luzac et van Damme, 1778 |
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... fille du Bailli de Coulom- miers , petite ville à 13 lieues de Paris . Son éducation ne fut ni brillante ni fecondée des foins & de l'habileté qui font naître les talens . Mais la nature préferva la force des fiens de l'affoibliffement ...
... fille du Bailli de Coulom- miers , petite ville à 13 lieues de Paris . Son éducation ne fut ni brillante ni fecondée des foins & de l'habileté qui font naître les talens . Mais la nature préferva la force des fiens de l'affoibliffement ...
Page vi
Jean de La Fontaine. 1 avec Marie Hericart , fille d'un Lieutenant au Bailliage royal de la Ferté- Milon , qui joignoit à la beauté beaucoup d'efprit . Il n'eut , pour ainsi dire , point de part à ces deux engagemens : on les exigea de ...
Jean de La Fontaine. 1 avec Marie Hericart , fille d'un Lieutenant au Bailliage royal de la Ferté- Milon , qui joignoit à la beauté beaucoup d'efprit . Il n'eut , pour ainsi dire , point de part à ces deux engagemens : on les exigea de ...
Page xxv
... Madame de Bouil- lon allant à Verfailles , le rencontra le ma- ( * ) Mort en 1722. De ce fils font iffus un garçon & trois filles , qui font encore exiftans . tin qui rêvoit feul fous un arbre du Cours . ** VIE DE LA FONTAINE . xxv.
... Madame de Bouil- lon allant à Verfailles , le rencontra le ma- ( * ) Mort en 1722. De ce fils font iffus un garçon & trois filles , qui font encore exiftans . tin qui rêvoit feul fous un arbre du Cours . ** VIE DE LA FONTAINE . xxv.
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... filles qui fervoient fa femme fe penferent battre à qui l'auroit pour fon ferviteur ; mais elles furent bien étonnées quand le perfonnage parut . L'une fe mit la main devant les yeux , l'autre s'enfuit , l'autre fit un cri . La ...
... filles qui fervoient fa femme fe penferent battre à qui l'auroit pour fon ferviteur ; mais elles furent bien étonnées quand le perfonnage parut . L'une fe mit la main devant les yeux , l'autre s'enfuit , l'autre fit un cri . La ...
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... Fille du Roi Priam , dont on méprifoit les prophe ties qui cependant fe trouvoient toujours très véritables . F A BLEIX . I Le Rat de Ville & le Rat des Champs . Autrefois utrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs , D'une façon ...
... Fille du Roi Priam , dont on méprifoit les prophe ties qui cependant fe trouvoient toujours très véritables . F A BLEIX . I Le Rat de Ville & le Rat des Champs . Autrefois utrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs , D'une façon ...
Contents
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Common terms and phrases
Adieu affez ainfi alloit animal auffi auffi-tôt auroit avanture avoit beau Belette bête Bufte c'eft c'eſt C'étoit caufe ceffe Cérès Cerf chaffe Chat Chien chofe choſe confeil conte d'Efope devoit Dieu Dieux difoit dire dit-il Efope efprit enfans eſt étoient étoit FABLE VIII FABLE X fage faifant faifoit fans fçais fçait fçavoir fecond felon femble femme fens fent feroit fervir feul fœur foin foit fomme fon maître fonge font Fontaine Fortune fous fouvent fuis fuivante fujet fur fon gens grace Grenouilles homme J'ai jour Jupiter l'Aigle l'Ane l'autre l'efprit l'Ours L'un là-deffus laiffe Liévre Lion Loup mainte maniére meffieurs Monfieur mort n'avoit n'eft n'en Oifeau paffer Pantagruel pauvre penfe perfonne peuple Phédre philofophe plaifir plufieurs Plutarque Poëte pouvoit préfente PREMIERE puiffant raifon refte Renard rien s'eft s'en ſes ſon tête tréfor trouve voifin voilà vouloit Xantus
Popular passages
Page 303 - Cultiver pour eux les campagnes; Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes. Nous laissons nos chères compagnes; Nous ne conversons plus qu'avec des ours affreux, Découragés de mettre au jour des malheureux. Et de peupler pour Rome un pays qu'elle opprime. Quant à nos enfants déjà nés, Nous souhaitons de voir leurs jours bientôt bornés: Vos préteurs au malheur nous font joindre le crime.
Page 232 - Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Page 239 - Il sera dieu : même je veux Qu'il ait en sa main un tonnerre. Tremblez, humains ! faites des vœux : Voilà le maître de la terre.
Page 188 - Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.
Page 157 - Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non.
Page 48 - L'un vieillard, l'autre enfant, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze ans, si j'ai bonne mémoire, Allaient vendre leur âne, un certain jour de foire. Afin qu'il fût plus frais et de meilleur débit, On lui lia les pieds, on vous le suspendit; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre.
Page 168 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée : Le lait tombe ; adieu, veau, vache, cochon, couvée.
Page 302 - II ne vous fasse en sa colère Nos esclaves à votre tour. Et pourquoi sommes-nous les vôtres? qu'on me die En quoi vous valez mieux que cent peuples divers?
Page 116 - D'une cité plus grosse que Paris : Elle accoucha d'une souris. Quand je songe à cette fable , Dont le récit est menteur Et le sens est véritable , Je me figure un auteur Qui dit : Je chanterai la guerre Que firent les Titans au maître du tonnerre.
Page 234 - J'ai quelquefois aimé : je n'aurais pas alors Contre le Louvre et ses trésors, Contre le firmament et sa voûte céleste, Changé les bois, changé les lieux Honorés par les pas, éclairés par les yeux De l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère, Je servis, engagé par mes premiers serments.