 | Marius Jean François Topin - French fiction - 1876 - 430 pages
...temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaise et fixant les objets autour de lui, comme s'il avait...de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage; les noyers de la cour avaient grandi et... | |
 | Alphonse Daudet - 1876 - 352 pages
...» De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...ans, il était là à la même place, avec sa cour eu facc de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés... | |
 | Tyrtæus - 1879 - 156 pages
...» De temps en temps, quand je levai les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel, immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage; les noyers de la cour avaient grandi, et... | |
 | Alphonse Daudet - French fiction - 1882 - 388 pages
...» De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage; les noyers de la cour avaient grandi, et... | |
 | Alphonse Daudet - French fiction - 1882 - 440 pages
...» De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...était là, à la même place, avec sa cour en face de 8 Contes du Lundi. lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres, s'étaient polis,... | |
 | Alphonse Daudet - 1883 - 394 pages
...» De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres, s'étaient polis , frottés par l'usage ; les noyers de la cour avaient grandi... | |
 | Alphonse Daudet - 1883 - 532 pages
...» De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...dans son regard toute sa petite maison d'école... Pe»sez ! depuis quarante ans, il était là à la même place, avec sa cour en face de lui et sa classe... | |
 | Bernard Francis O'Connor - French language - 1885 - 314 pages
...?" . De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottés par l'usage ; les noyers de la cour avaient grandi,... | |
 | Alphonse Daudet - 1885 - 84 pages
...aussi?" De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme...de lui et sa classe toute pareille. Seulement les bancs, les pupitres s'étaient polis, frottes par l'usage ; les noyers de, la cour avaient grandi,... | |
 | William Dwight Whitney - French language - 1886 - 466 pages
...(Thiers.) ' Si le czar avait eu toujours cette humanité, c'était le premier des hommes. ( Vol.) ' Pensez ! depuis quarante ans il était là à la même place, avec sa cour en face de lui. (Dau.\ 8 Elles duraient depuis plus de dix ans, sans qu'il eût pu les changer. (St. Simon.) (§ 121.)... | |
| |
De temps en temps, quand je levais les yeux de dessus ma page, je voyais M. Hamel immobile dans sa chaire et fixant les objets autour de lui, comme s'il avait voulu emporter dans son regard toute sa petite maison d'école . . . Pensez! depuis quarante... 
