Revue de la Normandie, Volume 8Gustave Gouellain, Jean Benoît Désiré Cochet E. Cagniard, 1868 - Normandy |
Other editions - View all
Common terms and phrases
année antiquités archevêque assez auril Austreberte auteur avaient avocats avons beau belle buvettes c'était Caen cathédrale Caudebec Caudebec-en-Caux chambre chapelle charme château cher chose cité cœur Conards Condède conseil conseillers Corneille côté Cour David Rizzio décor devant Dieppe Dieu dîner diocèse donner église épices époque Fontenelle François de Harlai François Ier Gaillon grand'chambre Havre HÉRICOURT-EN-CAUX historique hommes j'ai Jean jour justice l'abbé Cochet l'église l'histoire laissé Léon Buquet lettre livres Louis Louis XIII magistrats maison ment mercuriales Mésangère Messieurs monnaie monument mort moyen-âge musée Nino Normandie Notice œuvre palais Parlement Parlement de Normandie passé Petit-Couronne philosophie pièces pierre Pierre Corneille pluye poète Pont-de-l'Arche porte Pottier prélat premier président procureurs Registre secret religieux reste Richard Simon rien romaine Rouen saint salle savant science sculpture seigneur Seine-Inférieure sentiments sépultures serait seulement sieur Simon style terre tion tombeau trouve Val-de-la-Haye vases à collet Vechte XVIIe siècle
Popular passages
Page 239 - Catalogue général et raisonné des camées et pierres gravées de la Bibliothèque impériale, suivi de la description des autres monuments exposés dans le Cabinet des médailles et antiques (Paris, J. Claye, 1858, in-8°, 634 p.).
Page 714 - ... d'un vêtement, d'une arme ou d'un bouclier. La nature paraît avoir intéressé leur intelligence plus que leur sentiment moral. Jamais ils ne s'attachèrent à elle avec la sympathie et la douce mélancolie des modernes. » Si vrai que soit ce jugement par quelque côté, il ne saurait être étendu à l'antiquité tout entière. Aussi bien est-ce se faire une idée incomplète des choses que de comprendre uniquement sous le nom d'antiquité, par opposition avec les temps modernes, le monde...
Page 717 - On demandait un jour à" un pauvre Arabe du Désert , ignorant comme le sont la plupart des Arabes , comment il s'était assuré qu'il y avait un Dieu. » De la même façon , » répondit-il, que je connais, par les traces » marquées sur le sable, s'il ya passé un
Page 717 - C'est, lui répondit le chartreux, afin de méditer sans distraction sur les attributs de Dieu. — Eh .' pensez-vous, reprit mon ami, en trouver de plus grands dans votre tête que ne vous en montre la nature au mois de mai ? Croyez-moi, ouvrez vos volets et fermez votre imagination.
Page 426 - En face de la Fontaine de Saint-Mellon il existe dans une prairie de la Durdent un tertre rempli de murailles , dont les fortes dents sortent de dessous le gazon, et dont les lignes se dressent sur l'herbe des prés Ce sont les débris du château d' Héricourt, Le peuple les appelle les restes de la maison de saint Mellon.
Page 610 - J'ay vescu sans nul pensement, Me laissant aller doucement A la douce loy naturelle; Et je m'estonne fort pourquoy La mort osa songer à moy Qui ne songeay jamais à elle.
Page 717 - Un jour, un de mes amis fut voir un charlreux : c'était au mois de mai. Le jardin du solitaire était couvert de fleurs dans les plates-bandes et sur les espaliers. Pour lui, il s'était renfermé dans sa chambre , où l'on ne voyait goutte. Pourquoi, lui dit mon ami, avez-vous fermé vos volets? — C'est, lui répondit le chartreux, afin de méditer sans distraction sur les attributs de Dieu.
Page 90 - ... désir. Pendant le repas, il y avait des jongleurs qui jouaient agréablement de divers instruments. Les grâces dites et les tables enlevées, venaient les ménestrels, et Madame dansait avec Pero Niûo, et chacun des siens avec sa damoiselle.
Page 491 - La victime et le bourreau se trouvent ainsi rapprochés par une volonté suprême, à laquelle rien ne résiste, et, à quatre ans de distance, c'est la même ville qui reçoit leurs cendres et leur sert de tombeau. « Chose plus étonnante encore ! si, après quatre siècles du tranquille repos de la tombe, Bedford revient à la lumière, c'est pour être témoin du triomphe de l'héroïne qu'il abreuva de larmes et d'humiliations.
Page 256 - Cette chapelle, la plus belle de l'église, après celle de la Sainte-Vierge, est une élégante construction de la Renaissance et doit avoir été élevée au temps d'Ango, l'époque de la plus grande prospérité commerciale de Dieppe. Elle a souvent changé de nom et de patronage. Avant la Révolution elle était connue sous le nom de Saint-JeanBaptiste. Précédemment, elle avait porté les noms de Saint-Michel et de Saint-Nicolas. Du patronage de SaintNicolas qui, suivant les chroniqueurs, existait...