| Alphonse de Lamartine - Poets, French - 1849 - 268 pages
...sommeil le murmure assoupissant du lac, qui roulait et reprenait les cailloux à chaque lame. Ma chambre était si près de l'eau que, les jours de tempête,...murmures, les plaintes, les colères, les tortures, les gémissemens et les ondulations des eaux que pendant ces nuits et ces jours passés ainsi tout seul... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 532 pages
...sommeil le murmure assoupissant du lac qui roulait et reprenait les cailloux à chaque lame. Ma chambre était si près de l'eau que, les jours de tempête,...les colères, les tortures, les gémissements et les ondulations des eaux que pendant ces nuits et ces jours passés ainsi tout seul dans la société monotone... | |
| Académie chablaisienne, Thonon-les-Bains - Chablais (France) - 1897 - 818 pages
...sommeil, le murmure assoupissant du lac qui roulait et reprenait les cailloux à chaque lame. Ma chambre était si près de l'eau, que les jours de tempête,...colères, les tortures, les gémissements, et les ondulations des eaux que pendant ces nuits et ces jours passés ainsi tout seul dans la société monotone... | |
| Christian Maréchal - 1907 - 400 pages
...châtaigniers, et bâtie sur la grève même du lac, dont les flots bruissaient contre le mur. » Il vivait si près de l'eau « que, les jours de tempête, les vagues, en se levant, jetaient leur écume jusque sur sa fenêtre ». Il jouissait de la solitude, étudiant « les... | |
| French literature - 1920 - 624 pages
...chambre et d'une cave. Cette demeure, située hors du village, donnait immédiatement sur le lac, si bien que « les jours de tempête, les vagues, en se brisant, jetaient leur écume jusque sur sa fenêtre ». La Suisse ne semble pas avoir été dans l'itinéraire du voyage à Aix de 1816, qui... | |
| Maurice Anatole Souriau - French literature - 1927 - 292 pages
...sommeil, le murmure assoupissant du lac qui roulait et reprenait les cailloux à chaque lame. Ma chambre était si près de l'eau que, les jours de tempête,...les colères, les tortures, les gémissements et les ondulations des eaux que pendant ces nuits et ces jours passés ainsi tout seul dans la société monotone... | |
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