| Alphonse de Lamartine - Poets, French - 1849 - 268 pages
...perpétuelle de la liberté, j'avais le délire de la nature. NOTE IV. échelle, et je m'accoudais des heures entières sur le socle de cette fenêtre,...horizon de silence, de solitude et de recueillement. Mon ame se portait avec d'indicibles élans vers ces prés,vers ces bois, versees eaux; il me semblait... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 532 pages
...grimpais contre les barreaux d'un dossier de chaise , dont je me faisais une échelle, et je m'accoudais des heures entières sur le socle de cette fenêtre...ces eaux ; il me semblait que la félicité suprême était de pouvoir y égarer à volonté mes pas , comme j'y égarais mes regards et mes pensées, et... | |
| Félix Reyssié - 1892 - 410 pages
...ce concert mystérieux qui lui arrivait le soir, quand il s'accoudait à la fenêtre du dortoir : « Mon âme se portait avec d'indicibles élans « vers ces prés, vers ces bois, vers ces eaux... 2 » Dans sa vieillesse, il évoque encore ces douces réminiscences : « Les vents sonores qui sortent... | |
| Alphonse de Lamartine - 1925 - 1114 pages
...grimpais contre les barreaux d'un dossier de chaise, dont je me faisais une échelle, et je m'accoudais des heures entières sur le socle de cette fenêtre,...horizon de silence, de solitude et de recueillement... Si je pouvais saisir dans les gémissements du vent, dans lex chants du rossignol, dans les bruissements... | |
| Education - 1898 - 818 pages
...grimpais contre les barreaux d'un dossier de chaise, dont je me faisais une échelle, et je m'accoudais des heures entières sur le socle de cette fenêtre,...recueillement. Mon âme se portait avec d'indicibles élans versces prés, vers ces bois, vers ces eaux ; il me semblait que la félicité suprême était de pouvoir... | |
| 1895 - 838 pages
...dont je me faisais une échelle, et je m'accoudais des heures entières sur le socle de cette fenôtre pour regarder amoureusement cet horizon de silence, de solitude et de recueillement. » Avant de quitter le collège, il dut cependant soutenir une thèse en latin, ce qui l'ennuya sans... | |
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