Histoire parlementaire de la Révolution française, ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, par P.J.B. Buchez et P.C. Roux, Volume 22 |
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Contents
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Common terms and phrases
accusé armées arrêté assemblées aujourd'hui aura avez avons bonne cause cesse chargé chose citoyens civile comité commune compte connaissances Convention corps cours crime d'autres d'avoir décembre déclare décret demande départemens département dernier devant devoir dire discours discussion doit doivent donner doute écoles effet également enfans enfin ennemis entière exécutif force forme générale gouvernement guerre hommes j'ai jour journal jugement justice l'assemblée l'instruction l'opinion l'ordre laisser législateurs lettre liberté libre lieu livres lois Louis lui-même Marat membres ment mesures mille ministre mort moyens nation nationale nécessaire nombre nouvelle opinion parle parole particulière passer patrie patriotes peine peuple peuvent place porte pourrait pouvait pouvoir premier présenter président primaires projet prononcer propose proposition public publique puissance qu'un question raison rappelle rapport rendre représentans République respect reste révolution rien Roland s'il sciences séance sections sentiment sera seront seul société sort tion tribune trouve tyran utile vérité veut voix volonté
Popular passages
Page 10 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 56 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui : il le détruisit; le peuple demandait l'abolition de la servitude : il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines.
Page 151 - Temple; si le numéraire est rare, si nos armées sont mal approvisionnées, la cause en est au Temple ; si nous avons à souffrir chaque jour du spectacle de l'indigence, la cause en est au Temple. Ceux qui tiennent ce langage n'ignorent pas cependant que la cherté du pain, le défaut de circulation dans les subsistances, la mauvaise administration dans les armées et l'indigence dont le spectacle nous afflige, tiennent à d'autres causes que celles du Temple.
Page 151 - ... la pitié, que des préjugés invétérés auront excitée sur le sort de Louis ? Qui me garantira que dans cette nouvelle tempête , où l'on verra...
Page 151 - République ; qu'il n'ya qu'un chef qui puisse la sauver ; qui me garantira, dis-je, que ces mêmes hommes ne crieront pas après la mort de Louis avec la plus grande violence : Si le pain est cher la cause en est dans la Convention ; si le numéraire est rare, si nos armées sont mal...
Page 192 - Ainsi, l'instruction doit être universelle, c'est-à-dire s'étendre à tous les citoyens. Elle doit être répartie avec toute l'égalité que permettent les limites nécessaires de la dépense, la distribution des hommes sur le territoire, et le temps, plus ou moins long, que les enfants peuvent y consacrer.
Page 152 - Ah! fuyez-les plutôt; redoutez leur réponse : je vais vous l'apprendre. Vous leur demanderiez du pain, ils vous diraient : Allez dans les carrières disputer à la terre quelques lambeaux sanglants des victimes que nous avons égorgées ; ou : voulezvous du sang? prenez, en voici; du sang et des cadavres, nous n'avons pas d'autre nourriture à vous offrir. Vous frémissez, citoyens...
Page 15 - Or ce délit se place évidemment sous le second chef de l'article 6, qui concerne le cas où le roi ne s'opposera pas à une entreprise faite sous son nom. » Mais si le délit porté par le premier chef du même article, qui est celui d'une guerre faite à la nation à la tête d'une armée, et qui est bien plus grave que le second, n'est puni lui-même que par l'abdication présumée de la royauté, comment pourrait-on imposer une peine plus forte au délit moins grave? » Je cherche les objections...
Page 192 - ... que de l'assemblée des représentants du peuple, parce que, de tous les pouvoirs, il est le moins corruptible, le plus éloigné d'être entraîné par des intérêts particuliers, le plus soumis à l'influence de l'opinion générale des hommes éclairés, et surtout parce qu'étant celui de qui émanent essentiellement tous les changements, il est dès lors le moins ennemi du progrès des lumières, le moins opposé aux améliorations que ce progrès doit amener.
Page 82 - La faiblesse ne nous est plus permise; car, après avoir demandé l'exil de tous les Bourbons, nous ne pouvons sans injustice, épargner le seul d'entre eux qui fut coupable. Tout ce qui porte un cœur sensible sur la terre respectera notre courage. Vous vous êtes érigés en tribunal judiciaire, et, en permettant qu'on portât outrage à la majesté du souverain, vous avez laissé changer l'état de la question. Louis est accusateur, et le peuple est accusé. Le piége eût été moins délicat,...