Revue canadienne, Volume 34Alphonse Leclaire Revue canadienne, 1898 - Canada |
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... trait de caractère qu'il tient de sa mère . Il raconte qu'à l'âge de dix ou onze ans , lui et son frère cadet prirent un jour la clef des champs pour aller au loin , dans la forêt , rendre visite à de jeunes camarades ; la route était ...
... trait de caractère qu'il tient de sa mère . Il raconte qu'à l'âge de dix ou onze ans , lui et son frère cadet prirent un jour la clef des champs pour aller au loin , dans la forêt , rendre visite à de jeunes camarades ; la route était ...
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... traits réguliers et accentués prennent une expression de réflexion et de rêve avec un mélange de force et de douceur ; l'oeil est profond , la bouche est bonne , le corps se développe splendidement . Puis peu à peu la concentration de ...
... traits réguliers et accentués prennent une expression de réflexion et de rêve avec un mélange de force et de douceur ; l'oeil est profond , la bouche est bonne , le corps se développe splendidement . Puis peu à peu la concentration de ...
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... traits accen- tués . avec sa complète confiance en lui - même qui inspirait confiance aux autres . Bien que sa manière d'être ne changeât pas , fût tout le temps calme et franche , il me sembla grandir à chaque mot . Ce projet , cette ...
... traits accen- tués . avec sa complète confiance en lui - même qui inspirait confiance aux autres . Bien que sa manière d'être ne changeât pas , fût tout le temps calme et franche , il me sembla grandir à chaque mot . Ce projet , cette ...
Page 42
... traits . On entendait distinctement chaque parole d'une chanson qu'ils avaient entonnée et au refrain de laquelle les deux écoliers ne manquèrent pas de s'associer , en criant de toute la force de leurs poumons : C'est la belle ...
... traits . On entendait distinctement chaque parole d'une chanson qu'ils avaient entonnée et au refrain de laquelle les deux écoliers ne manquèrent pas de s'associer , en criant de toute la force de leurs poumons : C'est la belle ...
Page 47
... trait , il ne me voyait pas . -Mais c'est une honte cela ! Sais - tu bien que notre père s'est presque ruiné pour ce M. Wilby ; que cet homme - là n'avait presque rien quand il est venu ici , et que c'est avec de l'argent emprunté par l ...
... trait , il ne me voyait pas . -Mais c'est une honte cela ! Sais - tu bien que notre père s'est presque ruiné pour ce M. Wilby ; que cet homme - là n'avait presque rien quand il est venu ici , et que c'est avec de l'argent emprunté par l ...
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Common terms and phrases
Abénakis Allemands anglais Aulneau avaient avocat Bazeilles beau belle blessés c'était Cadieux et Derome Canada CANADIENNES Casgrain catholiques Charles Charles Guérin cher chiens chose Clara Smith Clorinde coeur coup dernier devant Dieu dire divorce dollars Doumic enfants États-Unis femme fleurs fort Saint-Charles frère Fridtjof Nansen fusillé gens glace Groënland guerre Guilbault habitants Henri Voisin heures j'ai jamais JEAN-PIERRE AULNEAU Jésuites jeune fille jeune homme jour jusqu'à kayaks l'abbé Guers l'église lac des Bois laisser lettre livre longtemps Louise madame Guérin mains maison malheureux maman Manitoba Marichette ment mère mission missionnaire monde monsieur Montréal mort n'avait navire neige nord nuit oeuf officiers passé Paul Letondal pauvre pays pendant pensée Pentagoët père Morelle personne petite pieds porte presque prêtre Prussiens qu'un Québec René Doumic reste rien s'était saint sauvages sentiments serait seulement soir soldats sorte terre terre François-Joseph Théberge tion traîneau trouver Vérendrye Vincent Bigot Wagnaër yeux
Popular passages
Page 394 - Les représentants de l'Alsace et de la Lorraine ont déposé, avant toute négociation de paix, sur le bureau de l'Assemblée nationale, une déclaration affirmant de la manière la plus formelle, au nom de ces provinces, leur volonté et leur droit de rester françaises, « Livrés, au mépris de toute justice et par un odieux abus de la force, à la domination de l'étranger, nous avons un dernier devoir à remplir. « Nous déclarons encore une fois nul et non avenu un pacte qui dispose de nous...
Page 332 - Il ne faut pas enseigner aux poissons à nager II ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué...
Page 361 - Pensez-vous quelquefois à ces temps glorieux Où seuls, abandonnés par la France leur mère, Nos aïeux défendaient son nom victorieux Et voyaient devant eux fuir l'armée étrangère? Regrettez-vous encor ces jours de Carillon, Où, sous le drapeau blanc enchaînant la victoire, Nos pères se couvraient d'un immortel renom, Et traçaient de leur glaive une héroïque histoire?
Page 288 - L'héritage sacré ! Soutiens ses derniers pas, charme sa dernière heure; Et, gage consacré d'espérance et d'amour, De celui qui s'éloigne à celui qui demeure Passe ainsi tour à tour, Jusqu'au jour où, des morts perçant la voûte...
Page 358 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi...
Page 394 - La revendication de nos droits reste à jamais ouverte à tous et à chacun dans la forme et dans la mesure que notre conscience nous dictera. Au moment de quitter cette enceinte où notre dignité ne nous permet plus de siéger, et malgré l'amertume de notre douleur, la pensée suprême que nous trouvons au fond de nos cœurs est une pensée de reconnaissance pour ceux qui, pendant six mois, n'ont pas cessé de nous défendre, et d'inaltérable attachement à la Patrie dont nous sommes violemment...
Page 394 - Livrés, au mépris de toute justice et par un odieux abus de la force, à la domination de l'étranger, nous avons un dernier devoir à remplir. « Nous déclarons encore une fois nul et non avenu un pacte qui dispose de nous sans notre consentement. (Très bien! très bien!) « La revendication de nos droits...
Page 322 - ... fait une arme.' On a osé prétendre que toute ville qui se défend est une place de guerre, et que, puisqu'on la bombarde, on a ensuite le droit de la traiter en forteresse prise d'assaut. On y met le feu après avoir inondé de pétrole les portes et les boiseries des maisons. Si on...
Page 322 - L'intimidation est devenue un moyen de guerre. On a voulu frapper de terreur les populations et paralyser en elles tout élan patriotique. Et c'est ce calcul qui a conduit les états-majors prussiens à un procédé unique dans l'histoire, le bombardement des villes ouvertes. Le fait de lancer sur une ville des projectiles explosibles et incendiaires n'est considéré comme légitime que dans des circonstances extrêmes et strictement déterminées.
Page 184 - Ier, roi de Prusse, comte de Bismarck, chancelier, « Par l'armée prussienne, dans la nuit du 8 au 9 janvier 1871. « Jusque-là, il avait été respecté de tous les partis et de tous les pouvoirs nationaux et étrangers.