Histoire des hotelleries, cabarets, hotels garnis, restaurants et cafés et des anciennes communautés et confréries d'hoteliers, de marchands de vins, de restaurateurs, de limonadiers, etc., etc, Volume 2Librairie de Seré, 1851 - Bars (Drinking establishments) |
Common terms and phrases
anglais arrive assez auberges avaient avoit Bacchus bande bandits belle BERTOLPHE boire bon vin Bonaventure Desperriers bouteille buveur c'était cabaret chambre chanson chanter chère cheval chose couplet crier Dancourt débauche devant diable Dieu diner dire dit-il donner Duryer enfin enseigne Érasme estoit eût faisait fameux femme filles garçon gens Guillaume Bouchet guinguette Guzman heures homme hoste hôte hôteliers hôtelleries hôtesse ivrognes jour joyeux jusqu'à Kurdes l'auberge l'hôte l'hôtel l'hôtellerie l'ivresse laisser Lannion Léon Faucher livre logis Londres Luther main maison maître manger marchand de vin MEPHISTOPHELES métier mieux misère n'en nuit Pablo pain pareil parler passer pauvre payer Peachum poëte police porte pourtant premier qu'un Ramponneau repas Repues franches reste rien rire Roger Bontemps s'en s'il saint Saint-Amand Saint-Preuil scène Schinderannes seigneurs servir seul SIEBEL siècle sorte sotz souper souvent surtout table tavernes trouve valet venait vin de Champagne vint voilà voleurs voyageur vrai XVIe siècle
Popular passages
Page 32 - C'est la parole, disait-il, qui, pendant que je dormais tranquillement et que je buvais ma bière avec mon cher Mélanchthon, a tellement ébranlé la papauté, que jamais prince ni empereur n'en a fait autant.
Page 353 - Vous savez qu'il est mort au Temple ? J'y suis allé pleurer et gémir sur sa tombe. Quelle tombe ! Ah ! monsieur, ils me l'ont mis sous une gouttière, lui qui, depuis l'âge de raison, n'avait pas bu un verre d'eau...
Page 325 - Assis sur un fagot une pipe à la main., Tristement accoudé contre une cheminée, Les yeux fixés vers terre, et l'âme mutinée, Je songe aux cruautés de mon sort inhumain...
Page 267 - L'hôte lui veut remontrer que c'est trop des deux pour lui seul , et qu'il n'a que cela pour tout chez lui. Le moine se fâche, et...
Page 269 - Ne savez-vous pas que mon épée est faite d'une branche des ciseaux d'Atropos ? Ne savez-vous pas que si j'entre, c'est par la brèche ; si je sors, c'est du combat; si je monte, c'est dans un trône; si je descends, c'est sur le pré ; si je couche, c'est un homme par terre ; si j'avance, ce sont mes conquêtes ; si je recule, c'est pour mieux sauter ; si je joue, c'est au Roi dépouillé ; si je gagne, c'est une bataille ; si je perds, ce sont mes ennemis ; si j'écris, c'est un cartel ; si je...
Page 16 - Pardonne la gaîté ; Que ma saison dernière Soit encore un printemps ; Eh gai ! c'est la prière Du gros Roger Bontemps. Vous, pauvres pleins d'envie, Vous, riches désireux, Vous, dont le char dévie Après un cours heureux ; Vous, qui perdrez peut-être Des titres éclatants, Eh gai ! prenez pour maître Le gros Roger Bontemps.
Page 353 - Ah ! monsieur , me dit-il , elle est bien vive et bien profonde ! Un ami de trente ans , avec qui je passais ma vie ! A la promenade, au spectacle, au cabaret, toujours ensemble ! Je l'ai perdu ; je ne chanterai plus , je ne boirai plus avec lui. Il est mort; je suis seul au monde. Je ne sais plus que devenir.
Page 273 - ... public, et on les traite avec tant de liberté , que » le berger peut dire son fait à sa nymphe tout haut et » très-commodément. Au reste, on ne voit que jeux, bal» lets, festins, conversations, mascarades et bonne chère.
Page 87 - La mémoire de cet auteur enjoué, qui avoit employé toute sa vie et toutes ses études à inspirer la joie, donna lieu au président de Thou et à Calignon de plaisanter avec ses mânes, sur ce que sa maison étoit devenue une hôtellerie où l'on faisoit une débauche continuelle : son jardin étoit le rendez-vous des habitans les jours de fêtes, et le cabinet de ses livres avoit été transformé en cellier.
Page 361 - Si nous sommes nécessaires à la puissance temporelle, nous le sommes encore plus à la spirituelle, qui est si au-dessus de l'autre. C'est chez nous que le peuple célèbre les fêtes ; c'est pour nous qu'on abandonne souvent trois jours de suite, dans les campagnes, les travaux nécessaires, mais profanes, de la charrue, pour venir chez nous sanctifier les jours de salut et de miséricorde; c'est là qu'on perd heureusement cette raison frivole, orgueilleuse, inquiète, curieuse, si contraire...