Théologie de la nature, Volume 1Chez l'auteur, 1852 - Natural history |
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Common terms and phrases
ailes ANIMAUX VERTÉBRÉS Anoures apophyses appareil articulaire articulations assez avant bassin bras c'est-à-dire canal cavité centre de gravité clavicule colonne vertébrale conditions condyles conséquence considérable contraction contraire corps côté CRÉATEUR CRÉATRICE cubitus cuisse d'où résulte dents dernier dessous digestif digitigrades direction dirigée disposition diverses doigts dorsale effet également élastique espèces Étres extrémité facilement faculté fémur fibres fléchir fléchisseurs flexion fonction force forme inférieure jambe l'aile l'air l'animal l'articulation l'autre l'avant-bras l'effet l'extrémité l'homme l'Intelligence l'oiseau l'omoplate l'organe l'os latéraux levier ligaments locomotion longueur luxation Mammifères masse membrane membres antérieurs membres postérieurs ment métacarpien mouvement moyen muscles extenseurs muscles pectoraux nerfs nerveux non-seulement obliquement Oiseaux organes orteils osselets osseuse parfaitement parois phalange placés Poissons première produit quadrupèdes queue remarquable Reptiles rétine rieure saillie sang Sauriens seconde sens seule simple spécialement station sternum substances surface surtout synovie tarse téguments tendon tête thorax tion toutefois tronc trouve URODÈLES vaisseaux vertèbres vertical
Popular passages
Page 73 - ... générales et obscures produites en nous par certaines suites de phénomènes, que nous voyons se succéder dans un ordre constant et se tenir par des rapports mutuels. Quoique nous ignorions la nature du lien qui les unit, nous sentons que ce lien doit exister, et cela nous suffit pour nous les faire désigner par un nom que bientôt le vulgaire regarde comme le signe d'un principe particulier, quoiqu'en effet ce nom ne puisse jamais indiquer que l'ensemble des phénomènes qui ont donné lieu...
Page 73 - idée de la vie est une de ces idées générales et obscures produites en nous par certaines suites de phénomènes, que nous voyons se succéder dans un ordre constant et se tenir par des rapports mutuels. Quoique nous ignorions la nature du lien qui les unit, nous sentons que ce lien doit exister, et cela nous suffit pour nous les faire désigner par un nom que bientôt le vulgaire regarde comme le signe d'un principe particulier, quoiqu'en effet ce nom ne puisse jamais indiquer que l'ensemble...
Page 71 - Puisqu'on fait de l'âme un être séparé du corps animal, pourquoi n'at-on pas fait de la vie un être distingué du corps vivant ? La vie est la somme des mouvements de tout le corps; le sentiment et la pensée font une partie de ces mouvements : ainsi dans l'homme mort ces mouvements cesseront comme tous les autres.
Page 257 - ... pensée, tout ce qu'il peut concevoir, et qu'il voulût transformer le type des mammifères en celui d'un animal volant, parfait voilier, capable de soutenir longtemps un vol rapide, il serait conduit de conséquence en conséquence à former un oiseau tel que nous les connaissons, quand même ces animaux ne lui seraient pas connus, tant, jusqu'aux plus minutieux détails, tout est rigoureusement combiné et calculé dans la composition de leur corps pour la faculté de voler 4.
Page 61 - F importance d'un ou de plusieurs faits, d'après les circonstances dans lesquelles ils ont lieu , d'en déduire les rapports, de se déterminer suivant les conséquences, afin de prendre une volonté d'agir, et de créer les moyens d'exécuter cette dernière, pour arriver au résultat définitif auquel on veut parvenir.
Page 61 - Faculté d'apprécier l'importunce d'un ou plusieurs faits d'après les circonstances dans lesque-les ils ont lieu , d'en déduire les rapports , de se déterminer suivant les conséquences , afin de prendre une volonté d'agir, et de créer les moyens d'exécuter cette dernière pour arriver au résultat définitif auquel on veut parvenir.
Page 72 - Quelle est cette puissance inconnue dans son essence , qui organise , qui meut , qui répare et perpétue les innombrables créatures qui embellissent les différens domaines de. la nature ? C'est la vie , cet être fugitif que nous n'apercevons que dans ses effets...
Page 302 - ... un léger poil n'eût pas suffi pour conserver à ces animaux une chaleur à peu près égale; et une laine épaisse, semblable à celle des...
Page 264 - ... faut en outre que cette nouvelle fonction ne trouble en rien les autres, et que là où elle exige un changement quelconque dans la forme et la disposition de quelque autre organe, il faut que celui-ci soit également modifié en conséquence de cette même fonction du vol.
Page 316 - ... la direction moyenne que les ailes prennent en s'abaissant et en se relevant. En réalité, un point quelconque de ces organes, leur extrémité, ou bien leur centre de force, décrit une ellipse très-allongée, dont le grand axe est dans le plan dont j'ai parlé ; c'est-à-dire que l'Oiseau...