La HenriadeFeret, 1832 - 405 pages |
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affreux amoureux armée assassins bataille bataille d'Ivry beautés Bourbon bras cardinal Catherine de Médicis catholique chant Charles Charles IX chrétiens ciel cieux cœur Colbert Coligni combats Condé coup cour courage crime cruelle d'Aumale d'Homère d'Ivry desseins Dieu dieux Discorde donner duc de Guise duc de Mayenne enfans ennemis eût faible faiblesse fesait fils François Ier frère fureur gloire goût guerre Henri Henri de Navarre Henri III Henri IV Henriade héros heureux Homère hommes Jacques Clément jamais jeune jour l'amour l'édition de 1723 l'Iliade l'univers lieux ligue ligueurs lois long-temps Louis Lucain main maison maître malheureux maréchal Médicis Milton monstre Mornai mort mortels mourut nation Navarre parle père peuple plaisirs pleurs poëme épique poésie poëte porte prêtres prince protestans qu'un rage Ravaillac règne religion remparts rois Rome sacrés saint sang secours seul soldats soudain sujet Sully Tasse tremblant trépas trône tyrans vainqueur Valois venger vertu victoire Virgile voit voix yeux
Popular passages
Page 398 - Oserai-je le dire? c'est que de toutes les nations polies la nôtre est la moins poétique. Les ouvrages en vers qui sont le plus à la mode en France sont les pièces de théâtre : ces pièces doivent être écrites dans un style naturel , qui approche assez de celui de la conversation.
Page 75 - Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable.
Page 272 - Au milieu des clartés d'un feu pur et durable, Dieu mit, avant les temps, son trône inébranlable. Le ciel est sous ses pieds; de mille astres divers Le cours, toujours réglé, l'annonce à l'univers. La puissance, l'amour, avec l'intelligence, Unis et divisés, composent son essence.
Page 139 - De leurs plus chers parens saintement homicides, Consacrèrent leurs mains dans le sang des perfides, Et par ce noble exploit vous acquirent l'honneur D'être seuls employés aux autels du Seigneur? Mais je vois que déjà vous brûlez de me suivre. Jurez...
Page 78 - Je ne vous peindrai point le tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Les époux...
Page 190 - Et nos chagrins cruels , et nos faibles plaisirs. On voit la Liberté , cette esclave si fière , Par d'invisibles nœuds en ces lieux prisonnière ; Sous un joug inconnu, que rien ne peut briser, Dieu sait l'assujettir sans la tyranniser...
Page 185 - Elle aperçoit Henri, se détourne, et soupire. Auprès d'elle est l'orgueil, qui se plaît et s'admire, La faiblesse au teint pâle, aux regards abattus, Tyran qui cède au crime, et détruit les vertus ; L'ambition sanglante, inquiète...
Page 11 - Henri de l'amitié sentit les nobles flammes : Amitié, don du ciel, plaisir des grandes âmes, Amitié, que les rois, ces illustres ingrats, Sont assez malheureux pour ne connaître pas...
Page 221 - Avide de la gloire , il volait aux alarmes. Ce jour, sa jeune épouse, en accusant le ciel , En détestant la ligue et ce combat mortel, , Arma son tendre amant, et d'une main tremblante Attacha tristement sa cuirasse pesante , Et couvrit, en pleurant, d'un casque précieux Ce front si plein de grâce et si cher à ses yeux. Il marche vers d'Ailly dans sa fureur guerrière...
Page 252 - Belle Aréthuse, ainsi ton onde fortunée Roule, au sein furieux d'Amphitrite étonnée, Un cristal toujours pur et des flots toujours clairs, Que jamais ne corrompt l'amertume des mers.