Œuvres completes de Voltaire, Volume 20la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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Page 98
... maréchal de Termes , auprès de Gravelines , fous le commandement du comte d'Egmont , à qui Philippe fit depuis trancher la tête pour avoir défendu les droits et la liberté de fa patrie . lines . Paix de Cateau- Tant de batailles rangées ...
... maréchal de Termes , auprès de Gravelines , fous le commandement du comte d'Egmont , à qui Philippe fit depuis trancher la tête pour avoir défendu les droits et la liberté de fa patrie . lines . Paix de Cateau- Tant de batailles rangées ...
Page 188
... maréchal de Tavannes l'était en effet ; il fut vainqueur . Le prince Louis de Condé fut tué , ou plutôt affaffiné après fa défaite par Montefquiou , capitaine des gardes du duc d'Anjou . Coligni , qu'on nomme toujours l'amiral , quoiqu ...
... maréchal de Tavannes l'était en effet ; il fut vainqueur . Le prince Louis de Condé fut tué , ou plutôt affaffiné après fa défaite par Montefquiou , capitaine des gardes du duc d'Anjou . Coligni , qu'on nomme toujours l'amiral , quoiqu ...
Page 239
... maréchal de Retz et le comte de Villequier , tirés du nombre des gentilshommes ordinaires , avaient le titre de premier gentilhomme , charge de nouvelle création , inftituée fous Henri II pour le maré- chal de Saint - André . Ces mêmes ...
... maréchal de Retz et le comte de Villequier , tirés du nombre des gentilshommes ordinaires , avaient le titre de premier gentilhomme , charge de nouvelle création , inftituée fous Henri II pour le maré- chal de Saint - André . Ces mêmes ...
Page 264
... maréchal de Briffac , et un brave citoyen dont le nom était moins illuftre , et dont l'ame n'était pas moins noble ; c'était un échevin de Paris , nommé Langlois . Ces deux reftaurateurs de la tranquillité publique s'affocièrent bientôt ...
... maréchal de Briffac , et un brave citoyen dont le nom était moins illuftre , et dont l'ame n'était pas moins noble ; c'était un échevin de Paris , nommé Langlois . Ces deux reftaurateurs de la tranquillité publique s'affocièrent bientôt ...
Page 298
... et votre vertu ; n'attendez pas à une autre fois à jeter ce froc aux orties ; mais je vous dis vrai . Les querelles de M. d'Epernon avec le maréchal d'Aumont et Crillon " troublent fort la cour d'où je faurai tous les 298 LETTRES.
... et votre vertu ; n'attendez pas à une autre fois à jeter ce froc aux orties ; mais je vous dis vrai . Les querelles de M. d'Epernon avec le maréchal d'Aumont et Crillon " troublent fort la cour d'où je faurai tous les 298 LETTRES.
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Common terms and phrases
accufa affaffiné affemblés affez ainfi armée auffi avaient c'eft c'eſt calviniftes cardinal de Lorraine cardinal de Richelieu catholiques chaffer Charles Charles IX chofe comte concile confeil confervé confidérable deffein dom Juan duc de Guife Effai fur Efpagnols efprits Elifabeth enfin ennemis Eſpagne Eſpagnols eſt évêques faibleffe fang fans feconde fecours fecret fefait Ferdinand fervit feul fiècle fiége foit foldats fon fils fon frère font fous foutenir fouvent fouverain fuivi fujets fur les mœurs fur-tout Gafton gouvernement guerre Henri Henri III Henri IV hommes Jean Châtel jéfuite jufqu'à l'efprit l'Eglife l'empereur l'Eſpagne l'Etat l'Europe laiffa ligue long-temps Louis Louis XIII maiſon maréchal Marie Marie de Médicis miniftre Montmorenci mort n'avait n'eft n'était nation néceffaire paffer pape Pays-Bas Perfe perfonne peuples Philippe Philippe III plufieurs pouvait prefque prifon prince d'Orange proteftans provinces puiffance puiffant refte reine religion rois Rome royaume ſes ſon ſur troupes vaiffeaux
Popular passages
Page 299 - ... cassé les arrêts des hommes, m'a remis en mon droit, et crois que ce sera aux dépens de mes ennemis ; tant mieux pour vous!
Page 296 - Mon âme, je me porte assez bien du corps, mais fort affligé de l'esprit. Aimez-moi , et me le faites paraître ; ce me sera une grande consolation; pour moi, je ne manquerai point à la fidélité que je vous ai vouée : sur cette vérité, je vous baise un million de fois les mains. D'Aynset, ce 13 mars. Quatrième lettre''.
Page 167 - On prétendit la convaincre sur la déposition de trois conjurés qu'on avait fait mourir, et dont on aurait pu différer la mort pour les examiner avec elle. Enfin, quand on aurait procédé avec les formalités que l'équité exige pour le moindre des hommes, quand on aurait prouvé que Marie cherchait partout des secours et des vengeurs, on ne pouvait la déclarer criminelle.
Page 299 - L'on se bat à Orléans, et encore plus près d'ici, à Poitiers, d'où je ne serai demain qu'à sept lieues. Si le roi le voulait, je les mettrais d'accord. Je vous plains, s'il fait tel temps où vous êtes qu'ici, car il ya dix jours qu'il ne dégèle point.