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N. A SON FRÈRE.

Sur sa négligence dans ses études.

1o J'apprends, mon ami, que tu continues à négliger tes études (à quel point!'),—2o et qu'ainsi tu t'exposes à rester un ignorant (pourquoi ?);-3° ce qui est grandement honteux, quand on a, comme toi, le moyen de s'instruire ( pourquoi ?). —4° C'est aussi une faute grave dans la vie sociale (pourquoi?), — 5o et une faute dont le souverain Juge demandera compte (quand ?). -6° Je te prie, mon frère, d'y penser sérieusement et de te corriger (comment?). C'est trop tard de commencer à s'instruire, quand la jeunesse est passée (raison).

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1° Il s'est formé ici une société de jeunes personnes qui deux fois la semaine se réunissent, et font divers ouvrages (lesquels) pour vêtir les pauvres.-2° Je me suis jointe à elles avec plaisir (par quels motifs ? ). 3o Une dame qui les connaît mieux que nous, a bien voulu se charger d'en faire la distribution (manière), 4° et de régler notre travail comme nous ne saurions le faire nous-mêmes (pourquoi ?). -5° Je ne doute pas, ma chère sœur, que cette société ne soit de ton goût (pourquoi ? ),— 6o et que tu ne tâches d'en établir (comment?) une semblable chez nous, où il y a aussi beaucoup de nécessiteux.

N. lui dit

N. A SON JEUNE FRÈRE JULES.

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Sur les tricheries au jeu.

1° qu'il s'est aperçu avant son départ qu'il

se permettait des tricheries au jeu (lesquelles ?).—2o C'est un indigne abus de confiance (pourquoi ?), -3° et un véritable vol (pourquoi ?). — 4° Si ce vol était une fois découvert, il le déshonorerait, et lui ferait perdre toute confiance (pourquoi ? ) ; — 5° d'ailleurs, il ne saurait cacher ses tricheries à l'invisible Témoin (pourquoi ?) — 6o qu'il ne doit pas oublier un seul instant (raison).

8. N. A SA SOEUR CAROLINE,

Sur l'amitié fraternelle.

-

1o Je ne saurais te dire combien je suis heureux d'apprendre que mes frères et mes sœurs continuent à s'aimer bien tendrement (détails). 2o Rien n'est plus doux que cet attachement cordial (raisons). 3° Malheureusement on ne le retrouve pas dans toutes les familles (détails).— 4° Votre conduite amicale est le moyen de témoigner à vos parents la reconnaissance que vous leur devez (comment cela?) — 5o et de vous rendre agréables au Ciel (preuve). 6o Ce soin doit nous occuper avant tout (pourquoi ? ).

N. A SON JEUNE FRÈRE.

Sur l'obéissance.

1o J'apprends avec bien du plaisir, mon bon ami, que tu deviens de jour en jour plus soumis à nos bons parents (à quel point?). 2o C'est marquer de la reconnaissance envers ceux à qui tu dois tout après Dieu (détails). D'ailleurs -3o un enfant à ton âge a besoin d'être conduit (pourquoi?), —4° et le Ciel t'a donné un père et une mère pour te servir de guides (en quoi?) : serait te révolter contre lui que de ne pas leur obéir (pourquoi?).

5o ce

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-

Sur le mépris pour les pauvres.

J'aime à croire, mon ami, que tu ne rebutes plus les enfants pauvres, comme tu le faisais autrefois (comment?). · 2o Ils méritent notre pitié dans leur fâcheuse position (laquelle ?).- 3° Nous devons d'ailleurs respecter toujours en eux la double dignité qu'ils partagent avec nous (laquelle ?); - 4° autrement nous sommes en révolte avec notre Père commun (pourquoi ?). — 5o Pénètre-toi, mon ami, de ces graves pensées (comment?), et-6° les enfants pauvres n'auront plus à se plaindre de toi (pourquoi ?).

N. A SA JEUNE SOEUR.

Sur son babil.

1° J'ai connu une petite fille babillarde qui embarrassait beaucoup la conversation (comment?). 2o Comme elle disait sans réserve tout ce qui lui venait à l'esprit, elle faisait souvent des révélations nuisibles à l'honneur d'autrui (lesquelles?), -3° ou des rapports qui troublaient la paix de la famille (comment?). -4° Souvent le mal était irréparable (pourquoi ? ). — 5o Si tu connais, mon amie, une jeune fille de ce caractère, tâche de la corriger (comment?). -6° Tu lui rendras un bien grand service (pourquoi ?).

10.

N. A SES FRÈRES ET SOEURS.
Sur l'amour des richesses.

1o Dans la position où je me trouve depuis quelque temps, j'apprends à connaître le monde (pourquoi?). — 2o.Je vois que l'amour des richesses, gagnant de plus en plus les cœurs, les gâte foncièrement (comment ?). 3o Cependant les richesses ne donnent pas ce qu'elles ont

l'air de promettre (quoi?); — 4o mais leur amour devient un tourment (pourquoi ?).—5°Il est d'ailleurs une véritable idolâtrie (pourquoi ?), 6° et il détourne l'homme de la première de ses affaires (laquelle?).—7° Notre bon père nous a laissé l'exemple de la modération (comment ?); 8' j'espère que nous l'imiterons tous (pourquoi?).

N. A SA JEUNE SOEUR.

Sur la curiosité.

1o Je t'ai connue bien curieuse, ma chère sœur (à quel point?). 2o Cette curiosité t'a pourtant attiré bien des désagréments (lesquels ?) — 3o et beaucoup de reproches (de qui?). 4° Chacun de nous, ma bonne amie, a ses propres affaires (lesquelles?), -5° qui sont très-importantes (pourquoi ?); — 6° nous devons les régler avant de nous occuper de celles des autres (pourquoi?).

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Qui s'épuise pour laisser de la fortune à ses enfants.

1o N. prie son vieux père de se donner enfin du rèpos, après avoir tant travaillé pour sa famille (depuis quand et à quel point?). -2° Il lui représente que maintenant par ses soins tous ses enfants sont élevés (détails); 3o tous sont en état de gagner honorablement leur vie (pourquoi?).

4o Il ne doit plus s'inquiéter de leur laisser une fortune qui ne leur est pas nécessaire (pourquoi ?),—5o mais se ménager pour leur conserver un bien qui leur est plus précieux que l'argent (lequel et pourquoi ?).

+

N. A SON FRÈRE.

Sur ses folles dépenses.

1o J'espère, mon frère, qu'après toutes les représenta

-

2° tu auras mis

tions qui t'ont été faites (par qui ?), un terme à tes folles dépenses (lesquelles ?).—3o Tu faisais véritablement un mauvais usage de ton argent (comment et pourquoi?). 4° S'il ne faut pas l'entasser en avare (raisons), 5o nous devons en faire un usage raisonnable et chrétien (comment ? ). — 6o C'est ainsi que nous le retrouverons ailleurs (où et comment ? ).

12. N. A SON AMI (ou AMIE).

Sur l'étude de la nature.

1 Je reçois depuis quelque temps des leçons sur les merveilles de la nature, et mes pensées s'agrandissent en considérant le ciel étoilé ( pourquoi ? ). — 2o En parcourant les divers objets de notre terre, j'admire de plus en plus le Créateur (pourquoi ?), — 3o tandis que sa bonté me touche vivement (pourquoi ?). -4° Je prends aussi de plus en plus confiance en lui (pourquoi ?). -5° Je m'occuperai donc toujours de cette étude (à quel point?); 6° je t'engage à y donner aussi tes soins (pourquoi ?).

N. A SON JEUNE FRÈRE.

Sur le soin de ses habits.

1° J'ai vu des enfants qui manquaient de soin pour leurs habits (à quel point?). -2° A peine habillés à neuf, ils se présentaient dans un état fcheux (lequel?); — 3o leurs bons parents étaient bientôt forcés de leur acheter de nouveaux vêtements (par quels motifs?). —4° Cette dépense était considérable (pourquoi ?); -5° ils la regrettaient vivement (pourquoi ? ), 6 et surtout parce qu'ils auraient employé plus utilement l'argent qu'elle coûtait (à quoi?). 7° Si tu rencontres de semblables étourdis, tâche de les corriger, tu feras une très-bonne chose (pourquoi ?).

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