Elegiarum: libri quatuorColligebat N. E. Lemaire, excudebat J. Didot, 1832 - 708 pages |
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Æneid ætas amantes amor amore amoris Amorr Amours aquæ Ariadna arma BERTIN brachia Broukhusius Burmannus C'est cælo Cæsar Cæsaris cæteri Cæterum Calypso caput Carm carmen carmina cœur Conf cujus Cynthia d'une deos deus dominæ eleg elegia élégie erit fata formæ hæc Heroidd illa ille IMITATIONES GALLICE inquit ipsa ista iter janua Jovis Juppiter Kuinoel Lach Lachmanno Lachmannus lacrymis lecto Lemaire libri licet litora lumina Lygdamus lyra manus meæ meis Metam mihi munera Napoléon neque noctes nostræ nulla numquam nunc omnibus ossa Ovid Ovidius PARNY patriæ Penelope poeta poetæ point positum præ prælia præter Propertii Propertius puella puellæ quæ quæcumque quærere quis quum recte Roma sæpe scripti semper sensu signa sine sive somnus suæ tamen tibi Tibullus tout Troja tuæ tuis turba Umbria unda Venus verba versu Vesta viæ Vide Virgil vitæ VOLTAIRE yeux
Popular passages
Page 49 - sulcos. Alter erit turn Tiphys, et altera quae vehat Argo Delectos heroas ; erunt etiam altera bella, Atque iterum ad Trojam magnus mittetur Achilles. Hiñe, ubi jam firmata virum te fecerit aetas, Cedet et ipse mari vector, nec náutica pinus Mutabit merces : omnis feret omnia tellus. Non rastros patietur humus, non vinea falcem
Page 49 - blandos fundent cunabula ñores. Occidet et serpens, et fallax herba veneni Occidet; Assyrium vulgo nascetur amomum *. At simul heroum laudes et facta parentis Jam legere, et quae sit poteris cognoscere virtus ; Molli paulatim flavescet campus arista, Incultisque rubens pendebit sentibus uva, Et durae quercus sudabunt roscida mella. Раиса tarnen suberunt
Page 183 - rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du veut: Dès qu'il les flatte, j'en murmure. L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche ; Votre habit de trop près vous touche ; Et sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi qui m'effarouche Craint, parmi
Page 51 - tarn longae maneat pars ultima vitae, Spiritus, et quantum sat erit tua dicere facta! Non me carminibus vincet, nee Thracius Orpheus, Nee Linus; huic mater quamvis, atque huic pater, adsit, Orphei Calliopea, Lino formosus Apollo. Pan etiam Arcadia mecum si
Page 293 - De ta tige détachée. Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu ? — Je n'en sais rien. L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien. De son inconstante haleine Le Zéphyr ou l'Aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon : Je vais où le vent me mène , Sans me plaindre ou m'effrayer; Je vais où va
Page 192 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs ; et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Sed Nostro proximus
Page 51 - jam tauris juga solvet arator. Nee varios discet mentiri lana colores : Ipse sed in pratis aries jam suave rubenti Múrice, jam croceo mutabit vellera luto; Sponte sua sandyx paséenles vestiet agnos. Talia saecla, suis dixerunt, eurrite, fusis, Concordes stabili fatorum numine Parcae.
Page 214 - de l'airain lent et sombre, De leur chant lamentable accompagnent mon ombre, Et sous des murs sacrés aillent ensevelir Ma vie et ma dépouille, et tout mon souvenir. Vous-mêmes choisirez à mes jeunes reliques Quelque bord fréquenté des Pénates rustiques , Des regards d'un beau ciel doucement animé, Des fleurs et de l'ombrage, et tout ce que j'aimai.
Page 224 - chef-d'oeuvre unique de la nature ! divine Julie ! • possession délicieuse, à laquelle tous les transports du plus ardent • amour suffisent à peine ! non, ce ne sont point ces transports que je • regrette le plus: ah! non; retire, s'il le faut, ces faveurs enivrantes • pour lesquelles je donnerais mille vies; mais rends-moi tout ce qui
Page 293 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier.