Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 10 |
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Adriani Alexandre André Doria Annali d'Italia août armée avaient Batt Bened Benedetto Varchi Bern Bernardo Segni capitulation Capponi cardinal cents Charles Charles-Quint citoyens Clément VII Cosme Ier d'Espagne d'Este duché duché de Milan ennemis Espagnols états Farnèse Ferrare Ferrucci Filippo fils Florence Florentins François Ier Galluzzi Gênes Génois gonfalonier Gonzague gouvernement guerre Guicciardini hommes Impériaux Italie Italiens Jacopo Nardi l'armée l'église l'empereur l'état l'Italie Lautrec liberté Louis XIV maison d'Autriche maison d'Este maison de Médicis Malatesta Baglioni Malavolti Marignan Martin du Bellay Médicis ment Milan mille mourut Muratori n'avait Nerli paix Paolo Paruta pape patrie Pauli Jovii Hist pendant peuple Philippe Philippe Strozzi Plaisance pouvait presque prince d'Orange règne république Rome royaume de Naples s'était Savoie Scipione Ammirato Segni seigneurie sentiment seulement Sicile soldats sorte souveraineté Storia Strozzi Thou tion Toscane troupes Venise Vénitiens XVIIe siècle
Popular passages
Page 326 - ... cheminé vers le perfectionnement et vers le bonheur. Il n'ya pas un des objets dont nos yeux sont frappés en Italie qui ne serve à prouver et les progrès surprenants qu'avaient faits les Italiens dans tous les arts de la civilisation avant le xv" siècle, et leur décadence depuis cette époque.
Page 223 - Ier avait fondé sa grandeur. Aussi fut-il , plus encore que lui , l'objet de la haine des peuples, et cette haine n'était mêlée d'aucun sentiment de respect pour son habileté. Cosme...
Page 365 - ... une puissance, un sentiment de terreur profonde les détermina à changer toute leur politique. Au lieu de rester à la tête de l'opposition contre les monarques, ils sentirent le besoin de faire avec eux cause commune, pour contenir des adversaires bien plus redoutables qu'eux. Ils contractèrent l'alliance la plus étroite avec les princes temporels, surtout avec Philippe II, le plus despotique de tous; ils ne s'occupèrent plus que de courber les consciences et d'asservir l'esprit humain...
Page 397 - ... basterà citare una proposizione di uno scrittore che son ben lontano dal confondere con questi che per sistema denigrano una nazione, il sig. Sismondi ; nel Cap. stesso su cui ho fatte queste osservazioni, si trova sull'Italia questa frase, sulla quale mi astengo da ogni commento : L'assassinat n'est plus, il est vrai, un devoir , mais il n'est pas non plus une honte.
Page 381 - Un honnête homme rougit d'avoir eu aucun rapport avec le bargello, d'avoir reçu de lui aucun service : néanmoins chaque citoyen sent à toute heure que sa réputation, sa liberté, sa vie, dépendent des informations secrètes que donnera cet officier. Personne n'est à l'abri d'être arrêté de nuit, dans sa propre maison, garrotté, transporté au loin, par la seule autorité de cet homme, qui n'en rend compte qu'au seul ministre de police, ou président du buon governo. L'Italie est probablement...
Page 236 - ... son existence; aucun ne trouva plus en elle un conseil dans le doute, un soutien dans l'adversité, un sauveur dans le danger, un consolateur dans le désespoir , aucun père n'osa s'assurer que les enfants qui portaient son nom étaient à lui; aucun ne se sentit...
Page 398 - Sans doute ces Italiens, auxquels nous avons consacré une si longue étude, sont aujourd'hui un peuple malheureux et dégradé ; mais qu'on les remette dans des circonstances ordinaires, qu'on leur laisse courir les chances que courent toutes les autres...
Page 250 - ... cherché à apaiser la sédition ; il les retira toutes au moment où il se fut défait de son ennemi : il crut pouvoir, sans danger annuler les engagements qu'il venait de prendre. Mais, le 21 août, la sédition...
Page 333 - Nord, vint se loger .chez un propriétaire romain, et le contraignit à partager avec lui ses terres et ses récoltes. Tout ce qui restait en Italie d'anciens esclaves demeura dans la même condition ; mais les cultivateurs libres, obligés à reconnaître un maître dans le Germain ou le Scythe qui se nommait leur hôte, furent contraints à rapprendre eux-mêmes à travailler. Indépendamment de la partie inculte du terrain que celui-ci se fit céder pour y parquer ses troupeaux, il voulut encore...