L'art de perfectionner l'homme: suivi d'un Essai sur les caractères, les moeurs et les complexions des hommes illustres de Plutarque, Volume 1Chez Deterville, 1808 - Mind and body |
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Page ix
... divine et la plus honorable de nous - mêmes ; et cette étude nous soutiendra jusque dans l'infortune . Sans ces facultés qui nous séparent des autres êtres , que serions - nous dans la nature ? Foibles , abjects , méprisables , ré ...
... divine et la plus honorable de nous - mêmes ; et cette étude nous soutiendra jusque dans l'infortune . Sans ces facultés qui nous séparent des autres êtres , que serions - nous dans la nature ? Foibles , abjects , méprisables , ré ...
Page xiv
... ple le plus ingénieux de la terre l'inscrivit au frontispice de son principal temple . S'il ( 1 ) C'est ce que Bacon nommoit les Géorgiques de l'ame . est quelque moyen d'atteindre cette divine élévation de génie à Xiv PRÉFACE .
... ple le plus ingénieux de la terre l'inscrivit au frontispice de son principal temple . S'il ( 1 ) C'est ce que Bacon nommoit les Géorgiques de l'ame . est quelque moyen d'atteindre cette divine élévation de génie à Xiv PRÉFACE .
Page xv
... divine élévation de génie à laquelle les anciens sont parvenus , c'est de prendre la même route qu'ils ont suivie . Quelqu'oeuvre qu'on en- treprenne , comme on desire d'y réussir , celui - là y fera des progrès d'autant plus éclatans ...
... divine élévation de génie à laquelle les anciens sont parvenus , c'est de prendre la même route qu'ils ont suivie . Quelqu'oeuvre qu'on en- treprenne , comme on desire d'y réussir , celui - là y fera des progrès d'autant plus éclatans ...
Page 23
... , et non celle des » élémens matériels ; mais l'homme remonte au - delà des » cieux jusqu'à Dieu même ; aussi notre ame est d'une » source divine » . cœur que l'esprit , l'homme s'attache plus à la raison DES PRINCIPES DE LA VIE . 23.
... , et non celle des » élémens matériels ; mais l'homme remonte au - delà des » cieux jusqu'à Dieu même ; aussi notre ame est d'une » source divine » . cœur que l'esprit , l'homme s'attache plus à la raison DES PRINCIPES DE LA VIE . 23.
Page 28
... divine essence ou d'un domicile céleste , antérieurement à la vie , mais qui est créée de rien et multipliée selon le nombre des corps ; que de plus , elle est véritablement , par elle - même , et essentiellement une forme . Concil ...
... divine essence ou d'un domicile céleste , antérieurement à la vie , mais qui est créée de rien et multipliée selon le nombre des corps ; que de plus , elle est véritablement , par elle - même , et essentiellement une forme . Concil ...
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Common terms and phrases
actions affections affoiblissent âges alimens animaux astres au-dedans au-dehors bilieux bilité calcul rénal carac caractère cause centre cerveau chair chaleur vitale CHAP CHAPITRE chauds choses climats cœur colère complexion connoissance connoître contraire corporelle corps corps malade de-là vient dissipe divine douleur effet élémens enfans équinoxes esprits vitaux étoit évaporer exem extérieurs femmes fibres fièvres flegmatique foible foiblesse fonctions forces vitales froid galité goût gueur habitans haine hommes humeurs humides individus inférieurs intel jeunesse joie l'ame sensitive l'amour l'animal l'esprit l'estomac l'homme loppe lymphe maladies maux mélancolique membres ment moëlle épinière mœurs monde moral mouvemens mouvement nature naturel nerfs nourritures organes pables paroissent paroît passions peau pensée physiognomoniques pituiteux plaisir plaisirs plantes pourroit principe sensitif puberté qu'une raison rapport rence rend rendent sang sanguin santé secs sens sensibilité sentiment seroit seul soleil sommeil spirituelles substance sur-tout systême teint tempéramens tempérament tion tristesse unisson universelle végétative vieillesse voluptés
Popular passages
Page 182 - ... l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher.
Page 234 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde : on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre.
Page 55 - C'est en vain qu'au Parnasse un téméraire auteur Pense de l'art des vers atteindre la hauteur : S'il ne sent point du ciel l'influence secrète, Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit il est toujours captif; Pour lui Phébus est sourd, et Pégase est rétif.
Page 170 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies. Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre, et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Page 234 - ... soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent, ou la précipitent; tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'està-dire une cause particulière, a ruiné un État, il y avait une cause générale qui faisait que cet État devait périr par une seule bataille. En un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Page 7 - ... vie est toute végétative. Dans le second , à la vie végétative s'ajoute la vie animale. Dans le troisième, à la vie végétative et à la vie animale , s'ajoute encore la vie morale. Et pour résumer en termes encore plus concis...
Page 93 - Le bilieux , comme le feu, aspire toujours à s'élever ; le pituiteux tend , ainsi que l'eau , à retomber sans cesse. Le premier , toujours tendu , sec , fibreux, a le teint foncé, olivâtre , tirant sur le jaune , ou une couleur haute; la taille maigre, forte, dégagée; une peau dure et velue ; ses mouvemens sont brusques, ardens ; son naturel impétueux ; sa voix âpre et résonnante; il boit peu, mange beaucoup et vite.
Page 94 - ... marquent la nonchalance et la pesanteur , car son tempérament est froid et humide, son pouls lent; il mange lentement et boit beaucoup. Par-tout le bilieux veut dominer , par-tout il heurte de front ce qui lui fait obstacle; violent et emporté, querelleur et audacieux , il se confie dans ses forces ; il est intrépide dans les périls.
Page 96 - ... et de simplicité ; bonnes mères et bonnes nourrices, faciles même à se laisser tromper, simples, sans opiniâtreté ni malice; mais peu soigneuses , d'une conversation fade , ennuyeuse ; elles languissent dans l'oisiveté et acquièrent trop d'embonpoint.
Page 101 - Un grand flandrin a la tète faible , lente à s'émouvoir, le caractère langoureux , sot et .sans chaleur , un esprit indécis dans ses opinions ; on le conduit, aisément , car il est mou , paresseux , fort peureux , assez humble et sensible.