Nouveau christianisme: Lettres d'Eugène Rodrigues sur la religion et la politique

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Au bureau du Globe, 1832 - Christian socialism - 346 pages
 

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Popular passages

Page 10 - La religion doit diriger la société vers le grand but de l'amélioration la plus rapide possible du sort de la classe la plus pauvre.
Page 237 - Et moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.
Page 179 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 274 - Dieu a tellement aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
Page 89 - ... au véritable esprit du christianisme. Et, plein de confiance dans la protection divine accordée à mes travaux d'une manière spéciale, je me sens la hardiesse de faire des représentations sur leur conduite aux rois de l'Europe qui se sont coalisés, en donnant à leur union le nom sacré de Sainte-Alliance ; je leur adresse directement la parole, j'ose leur dire : PRINCES, Quelle est la nature, quel est le caractère, aux yeux de Dieu et des chrétiens, du pouvoir que vous exercez?
Page 274 - Dieu. Toutes choses ont été faites par lui, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans lui.
Page 1 - Dieu a donné aux hommes pour règle de leur conduite, ils doivent organiser leur société de la manière qui puisse être la plus avantageuse au plus grand nombre ; ils doivent se proposer pour but dans tous leurs travaux, dans toutes leurs actions, d'améliorer le plus promptement et le plus complétement possible l'existence morale et physique de la classe la plus nombreuse.
Page 162 - Tout annonce je ne sais quelle grande » unité vers laquelle nous marchons à grands
Page 238 - Pierre lui répondit : Oui, Seigneur , vous savez que je vous aime. Jésus lui dit: paissez mes agneaux. Il lui demanda pour la troisième fois: Simon, fils de Jean, m'aimez-vous f Pierre fut touché de ce qu'il lui demandait la troisième fois: m'aimez-vous?
Page 276 - Mais si je les fais, quand vous ne voudriez pas me croire , croyez à mes œuvres; afin que vous connaissiez, et que vous croyiez que mon Père est en moi, et moi dans mon Père.

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