Journal des demoisellesBureau du journal, 1875 |
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... Mère Thérèse , par le Père Nurit , p . 132. Le Chancellor , par Jules Verne , p . 132. Au Village , par Mile M. Bourotte , p . 133. La Fille de Roland , par H. Bornier , Le Canada et les Religieuses Françaises , P. 165 . p . 167 ...
... Mère Thérèse , par le Père Nurit , p . 132. Le Chancellor , par Jules Verne , p . 132. Au Village , par Mile M. Bourotte , p . 133. La Fille de Roland , par H. Bornier , Le Canada et les Religieuses Françaises , P. 165 . p . 167 ...
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... , fille de l'enthousiasme et mère de l'admiration , n'a pas de place marquée dans les accessoires et dans les utilités de la vie . Il est d'usage dans les sociétés civilisées de tenir ces œuvres uniques à la disposition -
... , fille de l'enthousiasme et mère de l'admiration , n'a pas de place marquée dans les accessoires et dans les utilités de la vie . Il est d'usage dans les sociétés civilisées de tenir ces œuvres uniques à la disposition -
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... mère , même avec sa sœur . Fabienne , plus âgée que lui de six ans , se mon- trait dans le plein épanouissement de sa jeunesse et de sa beauté . En ce moment , le dernier rayon du soleil illuminait un joli pastel suspendu en face des ...
... mère , même avec sa sœur . Fabienne , plus âgée que lui de six ans , se mon- trait dans le plein épanouissement de sa jeunesse et de sa beauté . En ce moment , le dernier rayon du soleil illuminait un joli pastel suspendu en face des ...
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... mère : « Que veux - tu que je raconte ? c'est toujours la même chose . J'avais encore un pensum de deux cents vers , heureusement qu'il est venu un in- specteur qui a levé toutes les punitions . C'est bien aimable à lui , dit Fabienne ...
... mère : « Que veux - tu que je raconte ? c'est toujours la même chose . J'avais encore un pensum de deux cents vers , heureusement qu'il est venu un in- specteur qui a levé toutes les punitions . C'est bien aimable à lui , dit Fabienne ...
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... mère ? - Je les pressentais ; et , je te l'avoue , elles sont un des grands soucis de ma vie . Je t'ai transmis ma croyance et ma religion , Fabienne : tu aimes Dieu , tu le sers , mais ton père ! ... il y a des mondes entre sa façon de ...
... mère ? - Je les pressentais ; et , je te l'avoue , elles sont un des grands soucis de ma vie . Je t'ai transmis ma croyance et ma religion , Fabienne : tu aimes Dieu , tu le sers , mais ton père ! ... il y a des mondes entre sa façon de ...
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Common terms and phrases
aime âme ANATOLE ANNETTE APHÉLIE banquise baron basque beau belle blanc bleu bonheur Boniface de Montferrat bord bouillonné brodée broderie c'était cachemire chant Chapeau Charlemagne charme chère Chervis chose cœur Corsage costumes cousine d'Amagny dame dentelle derrière devant Dieu dire dit-il drap Éginhard Éliane enfant étoffe Fabienne famille fleurs foulard François Ier garni garniture gris guipure Gutenberg Hélène heureux homme j'ai Jeanne jeune femme jeune fille joli jour Journal des Demoiselles Juliette jupe jupon laisse Lionel Louise madame Dallines mademoiselle Darfeuil main maison manches Marguerite mari Marthe ment mère monde monsieur musique n'avait Nathalie noeud noir opérette orné OSCAR parler passé pauvre pensée père petit petite Peyrabout plume Polyeucte Raymond reste rien robe rose ruban rue Amelot rue du Bac saint sentiment sera seule sœur soie soir sorte tablier taffetas Thérèse tion toilette trouve tulle velours voilà voix volant plissé yeux YVONNE
Popular passages
Page 295 - Saintes douceurs du ciel, adorables idées, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir: De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir...
Page 360 - J'ai pris pour défenseur Gustave Doulcet : un tel attentat ne permet nulle défense ; c'est pour la forme. Adieu, mon cher papa, je vous prie de m'oublier, ou plutôt de vous réjouir de mon sort; la cause en est belle. J'embrasse ma sœur que j'aime de tout mon cœur ainsi que tous mes parents; n'oubliez pas ce vers de Corneille : Le crime fait la honte et non pas l'échafaud.
Page 326 - Règne ; de crime en crime enfin te voilà roi. Je t'ai défait d'un père, et d'un frère, et de moi. Puisse le ciel tous deux vous prendre pour victimes, Et laisser choir sur vous les peines de mes crimes ! Puissiez-vous ne trouver dedans votre union Qu'horreur, que jalousie et que confusion ! Et, pour vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! ANTIOCHUS.
Page 326 - Je n'appelle plus Rome un enclos de murailles Que ses proscriptions comblent de funérailles; Ces murs, dont le destin fut autrefois si beau. N'en sont que la prison, ou plutôt le tombeau : Mais, pour revivre ailleurs dans sa première force. Avec les faux Romains elle a fait plein divorce; Et, comme autour de moi j'ai tous ses vrais appuis, Rome n'est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
Page 262 - Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Avec cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 262 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire : Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna; c'est moi qui t'en convie...
Page 295 - Seigneur, de vos bontés il faut que je l'obtienne; Elle a trop de vertus pour n'être pas chrétienne ! Avec trop de mérite il vous plut la former Pour ne vous pas connaître et ne vous pas aimer, Pour vivre des enfers esclave infortunée, Et sous leur triste joug mourir comme elle est née.
Page 262 - S'il m'empêchait de voir en quels lieux je suis née. Albe, où j'ai commencé de respirer le jour, Albe , mon cher pays , et mon premier amour ' ; lorsque entre nous et toi je vois la guerre ouverte , Je crains notre victoire autant que notre perte.
Page 261 - Vous trouverez dans les Espagnols des » sujets qui, traités dans notre goût par des mains comme » les vôtres, produiraient de grands effets. Apprenez leur » langue, elle est aisée ; je m'offre de vous montrer ce que • j'en sais, et, jusqu'à ce que vous soyez en état de lire par » vous-même, de vous traduire quelques endroits de Guillen
Page 262 - Soyons amis , Cinna , c'est moi qui t'en convie : Comme à mon ennemi je t'ai donné la vie ; Et, malgré la fureur de ton lâche dessein, Je te la donne encor comme à mon assassin.