Histoire de Napoléon, Volume 1Furne, 1835 - France |
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Page ix
... jours ; dans notre re- traite , la gelée prématurée ; la rentrée de l'armée en Prusse entre deux défections ; en Saxe , la veille de la victoire de Lutzen , la mort du maréchal Bessières ; le lendemain de la victoire de Wurschen , la ...
... jours ; dans notre re- traite , la gelée prématurée ; la rentrée de l'armée en Prusse entre deux défections ; en Saxe , la veille de la victoire de Lutzen , la mort du maréchal Bessières ; le lendemain de la victoire de Wurschen , la ...
Page xii
... jour où il courba aussi son front sous le bandeau royal . Mais lors même que cette au- dacieuse hypothèse semblerait une vérité à l'historien , ce ne serait pas une raison pour qu'il osât avancer que Napo- léon se soit trompé vis - à ...
... jour où il courba aussi son front sous le bandeau royal . Mais lors même que cette au- dacieuse hypothèse semblerait une vérité à l'historien , ce ne serait pas une raison pour qu'il osât avancer que Napo- léon se soit trompé vis - à ...
Page 5
... jours après , il était maître de Boccognano . Le 15 , Paoli s'embarqua sur un bâtiment anglais pour Livourne , et nous laissa maîtres de la Corse . Elle fut immédia- tement organisée en pays d'états comme la province du Languedoc ; mais ...
... jours après , il était maître de Boccognano . Le 15 , Paoli s'embarqua sur un bâtiment anglais pour Livourne , et nous laissa maîtres de la Corse . Elle fut immédia- tement organisée en pays d'états comme la province du Languedoc ; mais ...
Page 23
... à combattre ce terrible adversaire , dont ils seront un jour les cliens , et qui , à son tour , deviendra leur victime . Après avoir établi sa famille dans les environs de Toulon , Napoléon se rend à Paris , laissant en DE NAPOLEON . 23.
... à combattre ce terrible adversaire , dont ils seront un jour les cliens , et qui , à son tour , deviendra leur victime . Après avoir établi sa famille dans les environs de Toulon , Napoléon se rend à Paris , laissant en DE NAPOLEON . 23.
Page 31
... jours . En effet , Cartaux ordonne aut commandant d'artillerie de commencer le feu . Bonaparte lui répond que les batteries sont à deux ou trois portées de la rade et des ouvrages ; mais Cartaux insiste le coup d'é- preuve est tiré , et ...
... jours . En effet , Cartaux ordonne aut commandant d'artillerie de commencer le feu . Bonaparte lui répond que les batteries sont à deux ou trois portées de la rade et des ouvrages ; mais Cartaux insiste le coup d'é- preuve est tiré , et ...
Common terms and phrases
Aboukir Alpes Alvinzi Anglais armée armées du Rhin armes armistice Augereau Autrichiens avaient avez Bassano bataille bataillons Beaulieu Bernadotte Bologne braves brigade Caire çaise camp campagne Cisalpine citoyens commandement conquête Convention Corse coup cour de Vienne d'Aboukir Dego Desaix devait Direc Directoire division drapeau Égypte El Arich ennemis envoyé forces fructidor garnison général Bonaparte général en chef gloire gouvernement guerre habitans Haute-Égypte Jaffa Joubert jours Kléber l'Adige l'Angleterre l'archiduc l'armée d'Italie l'armée française l'artillerie l'Autriche l'Égypte l'empereur l'ennemi l'Europe Léoben liberté Mamelucks Mantoue Masséna mée ment Milan militaire mille hommes mille prisonniers ministre Modène Montebello Moreau Murat n'avait naparte Naples Napoléon négociation néral paix pape passer patrie Pesaro peuple Pichegru pièces de canon Piémont politique porter position proclamation quartier-général Radstadt répu républicain république cisalpine république française Rhin romaine Rome Serrurier seul soldats succès Terre-Ferme tion toire Toulon traité troupes Tyrol vainqueur vaisseaux Valteline Venise vénitienne Vérone victoire Wurmser
Popular passages
Page 313 - Vous êtes une des ailes de l'armée d'Angleterre. « Vous avez fait la guerre de montagnes, de plaines, de sièges ; il vous reste à faire la guerre maritime. « Les légions romaines, que vous avez quelquefois imitées, mais pas encore égalées, combattaient Carthage tour à tour sur cette même mer, et aux plaines de Zama.
Page 89 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 81 - Soldats, vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience, le courage que vous montrez au milieu de ces rochers, sont admirables; mais ils ne vous procurent aucune gloire; aucun éclat ne rejaillit sur vous. Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir: vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance?
Page 105 - Soldats ! vous vous êtes précipités comme un torrent du haut de l'Apennin ; vous avez culbuté, dispersé, tout ce qui s'opposait à votre marche. Le Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est livré à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France. Milan est à vous, et le pavillon républicain flotte dans toute la Lombardie. Les ducs de Parme et de Modène ne doivent leur existence politique qu'à votre générosité.
Page 298 - Vous êtes parvenus à organiser la grande nation, dont le vaste territoire n'est circonscrit, que parce que la nature en a posé elle-même les limites. Vous avez fait plus.
Page 321 - Trois fois heureux ceux qui seront avec nous ! Ils prospéreront dans leur fortune et leur rang. Heureux ceux qui seront neutres ! Ils auront le temps de nous connaître , et ils se rangeront avec nous. Mais malheur, trois fois malheur, à ceux qui s'armeront pour les mameloucks , et combattront contre nous : il n'y aura pas d'espérance pour eux ; ils périront.
Page 320 - Les peuples chez lesquels nous allons entrer traitent les femmes différemment que nous; mais dans tous les pays celui qui viole est un monstre. « Le pillage n'enrichit qu'un petit nombre d'hommes, il nous déshonore, il détruit nos ressources, il nous rend ennemis des peuples qu'il est de notre intérêt d'avoir pour amis. « La première ville que nous allons rencontrer a été bâtie par Alexandre; nous trouverons à chaque pas de grands souvenirs dignes d'exciter l'émulation des Français.
Page 106 - Elles feront époque dans la postérité : vous aurez la gloire immortelle de changer la face de la plus belle partie de l'Europe. Le peuple français, libre...
Page 104 - ... réunir Kellermann et moi en Italie , c'est vouloir tout perdre. Je ne puis pas servir volontiers avec un homme qui se croit le premier général de l'Europe , et d'ailleurs je crois qu'il faut plutôt un mauvais général que deux bons. La guerre est comme le gouvernement ; c'est une affaire de tact.
Page 220 - L'Europe, qui avait pris les armes contre la république française, les a posées. Votre nation reste seule, et cependant le sang va couler plus que jamais.