Publications de la Société d'histoire contemporaine, Volume 29

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A. Picard, 1902
 

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Popular passages

Page 202 - ... du peuple allemand... Le monde ne peut rester en paix tant qu'il existera un peuple français ; qu'on le change donc en peuples de Bourgogne, de Neustrie, d'Aquitaine, etc. ; ils se déchireront entre eux , mais le monde sera tranquille pour des siècles...
Page 270 - Dès l'époque où la plus criminelle des entreprises, secondée par la plus inconcevable défection, nous a contraint à quitter momentanément notre royaume, nous vous avons avertis des dangers qui vous menaçaient, si vous ne vous hâtiez de secouer le joug du tyran usurpateur.
Page 203 - Cette nation si longtemps fière de ses triomphes, et dont nous avons courbé le front orgueilleux devant les aigles germaniques, menace de troubler encore le repos de l'Europe. Elle ose oublier que , maîtres de sa capitale et de ses provinces, nous devions nous indemniser, il ya un an, par un PARTAGE que tous les sacrifices que nous avions faits pour affranchir l'Allemagne , rendaient nécessaire et légitime. Elle a laissé pénétrer...
Page 270 - ... pour y rétablir la constitution que nous avions donnée à la France; réparer, par tous les moyens qui sont en notre pouvoir, les maux de la révolte et de la guerre qui en a été la suite nécessaire ; récompenser les bons, mettre à exécution les lois existantes contre les coupables ; enfin...
Page 202 - France partagée ou les chaînes de la France, voilà notre alternative. Si nous avons de justes motifs pour vouloir que Napoléon disparaisse de la scène politique comme prince, nous n'en avons pas de moins grands pour ANÉANTIR les Français comme peuple. Il n'est pas besoin pour...
Page 178 - Cateau-Cambresis , le vingt-cinquième jour du mois de juin de l'an de grâce mil huit cent quinze , et de notre règne le vingt-unième.
Page 204 - Ce n'est plus pour lui rendre des princes dont il ne veut pas ; ce n'est plus dans l'intention de chasser encore ce guerrier dangereux qui s'est mis à leur place , que nous nous armons aujourd'hui : c'est pour diviser cette terre impie que la politique des princes ne peut...
Page 225 - ... une parfaite concordance entre nos vues et notre action et celles de la Cour de Prusse, je n'expédierai ma dépêche au baron de Vrints que lorsque je saurai que cette concordance existe aussi dans le cas particulier de la rédaction de la réponse à faire aujourd'hui à Copenhague. Je prie donc Votre Excellence de vouloir bien me faire connaître le plus tôt possible ses vues et ses résolutions. Si la dépêche est expédiée à Copenhague dans la forme que je propose, je compte en communiquer...

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