Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 15-16Paulin, 1835 - France |
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Page vi
... cent mille ames , dans laquelle on ne compte que six mille familles espagnoles , oasis de la civilisation européenne , placée , pour s'étendre , au milieu de la barbarie Malaise , Papou , etc. En Afrique , sur la côte occidentale , il n ...
... cent mille ames , dans laquelle on ne compte que six mille familles espagnoles , oasis de la civilisation européenne , placée , pour s'étendre , au milieu de la barbarie Malaise , Papou , etc. En Afrique , sur la côte occidentale , il n ...
Page 29
... cent mille pour jurer avec nous une quatrième fédération qui , pour cette fois , serait l'alliance du genre humain et le tombeau des tyrans . Législateurs , nous vous remercions donc , au nom de la section du Théâtre - Français , d ...
... cent mille pour jurer avec nous une quatrième fédération qui , pour cette fois , serait l'alliance du genre humain et le tombeau des tyrans . Législateurs , nous vous remercions donc , au nom de la section du Théâtre - Français , d ...
Page 42
... cent de la passion . La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir ; c'est un être auquel on a fait des sa- crifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les solli- citudes qu'il cause ; qu'on a ...
... cent de la passion . La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir ; c'est un être auquel on a fait des sa- crifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les solli- citudes qu'il cause ; qu'on a ...
Page 51
... cent quatre - vingts bataillons existans , 226 hommes par bataillon , pour les porter à 800 , 48,680 hommes ; 5 ° Pour la levée de trente - quatre nouveaux bataillons , 99,200 hommes ; 4 ° Pour la levée de mille hommes par département ...
... cent quatre - vingts bataillons existans , 226 hommes par bataillon , pour les porter à 800 , 48,680 hommes ; 5 ° Pour la levée de trente - quatre nouveaux bataillons , 99,200 hommes ; 4 ° Pour la levée de mille hommes par département ...
Page 62
... Cent personnes comme vous ne me feraient pas fuir , et j'en ferais fuir cent comme vous . M. Grangeneuve dit : Vous ne ferez fuir personne . A neuf heures du soir , le déclarant revenait du comité , accompagné de MM . Jacquet et ...
... Cent personnes comme vous ne me feraient pas fuir , et j'en ferais fuir cent comme vous . M. Grangeneuve dit : Vous ne ferez fuir personne . A neuf heures du soir , le déclarant revenait du comité , accompagné de MM . Jacquet et ...
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Common terms and phrases
20 juin administrateurs adresse agens applaudissemens applaudit armée armes arrêté avez avons barre bataillons Brissot calomnie camp château chose citoyens club club des Jacobins comité commandant-général commission des douze conspirateurs Constitution constitutionnel corps législatif corps municipal coupable crime danger dangers déclaration décret délibération demande dénonce départemens députation despotisme devant devoir directoire discussion ennemis événemens factieux faction faubourg faubourg Saint-Antoine Fayette fédérés Feuillans force frontières garde nationale général Guadet guerre intrigans j'ai Jacobins Jean Debry Journal juges de paix juillet l'armée l'assemblée nationale l'empire l'ordre du jour Lasource lettre liberté lois Louis XVI maire maréchal Luckner membres ment messieurs mesures militaire mille hommes ministre moyens murmures nation officiers municipaux passe à l'ordre patrie patriotes perfides Pétion pétition pétitionnaires peuple porte pouvoir exécutif présenter président projet propose proposition public publique rassemblement renvoi représentans révolution Robespierre royale séance sections sentimens sera serment seul soldats sûreté tion toyens tribunes troupes Tuileries Vergniaud
Popular passages
Page 395 - distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'u» tilité commune. » Le but de toute association politique est la conservation des > droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits > sont : la
Page 395 - égaux aux yeux de la loi ; tous sont » également admissibles à toutes les dignités, places et emplois » publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle » de leurs vertus et de leurs talens.
Page 45 - peuvent mener à tout. • 11 n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La révolution est faite dans les esprits; elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par le sang, si la sagesse ne prévient pas des malheurs qu'il est encore possible d'éviter.
Page 191 - de la liberté. • Les Français n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du roi, a traîné du canon jusque dans la salle des gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache ; et là, abusant
Page 46 - à laquelle il a attaché sa félicité, et bientôt vous deviendrez, le sujet de ses actions de grâces. > La conduite des prêtres en beaucoup d'endroits, les prétextes que fournissait le fanatisme aux mécontens, ont fait porter une loi sage contre les perturbateurs ; que votre majesté lui donne sa sanction : la tranquillité publique la réclame et le
Page 47 - Je sais que le langage austère de la vérité est rarement accueilli près du trône ; je sais aussi que c'est parce qu'il ne s'y fait presque jamais entendre, que les révolutions deviennent nécessaires; je sais surtout que je dois le tenir à votre majesté, nonseulement comme citoyen soumis aux lois, mais comme ministre honoré de sa
Page 461 - dis-je d'un ton pressant, Votre Majesté n'a pas cinq minutes à perdre ; il n'ya de sûreté pour elle que dans l'assemblée nationale. L'opinion du département est qu'il faut s'y rendre sans délai. Vous n'avez pas dans les cours un nombre d'hommes suffisant pour la défense du château ; leur volonté n'est pas non plus bien disposée. — Les
Page 282 - pas même d'incertitude sur leur défaite ? Était-ce nous défendre que d'écarter les projets tendant à fortifier l'intérieur du royaume, ou de faire des préparatifs de résistance pour l'époque où nous serions déjà devenus la proie des tyrans ? Éiait-ce nous défendre que de ne pas réprimer un général qui violait la Constitution, et d'enchaîner le courage de ceux qui la servaient?
Page 282 - Pensez-vous nous donner le change sur la cause de nos malheurs par l'artifice de vos excuses et l'audace de vos sophismes? Étaitce nous défendre que d'opposer aux soldats étrangers des forces dont l'infériorité ne luirait pas même d'incertitude sur leur défaite
Page 357 - ceux qui ont en horreur la liberté, s'arment contre notre Constitution. CITOYENS, LA PATRIE EST EN DANGER. > Que ceux qui vont obtenir l'honneur de marcher les premiers pour défendre ce qu'ils ont de plus cher se souviennent toujours qu'ils sont Français et libres ; que leurs