HISTOIRE DE LA RESTAURATION1851 |
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abdication aides de camp allait armée avaient bataille de Ligny bataillons batteries Benjamin Constant Blacas Blücher boulets Bourbons Bourmont Bruxelles Bulow c'était canon Carnot Caulaincourt cause cavalerie Chambre des pairs Chambre des représentants champ de bataille Charleroi chef cheval cœur colonnes combat commandement conseil couvrir croyait d'Erlon d'Hougoumont défaite députés dernier devant dit-il ennemis Fayette Fleurus forces forêt de Soignes Fouché frère Gand garde impériale gauche général Gérard gloire Grouchy guerre heures jour l'armée anglaise l'Assemblée l'Élysée l'em l'empe l'empereur l'Empire l'ennemi l'Europe Labédoyère laisser Lanjuinais lieutenants Ligny Louis XVIII Lucien lui-même maréchal Ney maréchal Soult masse mée ment ministres Mont-Saint-Jean murmures n'avait Napo Napoléon nation nuit officiers ordres patrie patriotisme pereur peuple plaine Planchenoit plateau poléon prince Prussiens Quatre-Bras régiments Reille résolution reste reur revers Rochejaquelein route Saint-Jean-d'Angély Saint-Lambert sang sauver sentait seul soldats tion tribune trône troupes vaincu Vandamme victoire voix Waterloo Wavres Wellington
Popular passages
Page 348 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 335 - des yeux et du cœur à mes revers. Que me doit ce » peuple? Rien. Je l'ai trouvé pauvre et je le laisse » pauvre; mais l'instinct de la patrie l'éclaire, la » voix du pays parle par sa bouche; je n'ai qu'à » dire un mot, et dans une heure la Chambre des » députés n'existera plus... Mais, non, reprit-il, la » vie d'un homme ne vaut pas ce prix! je ne suis » pas revenu de l'île d'Elbe pour que Paris soit » inondé de sang! » Ces dernières paroles étaient sincères. L'histoire doit...
Page 91 - Français, dirigent aujourd'hui tous leurs coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés. Mais dites aussi aux citoyens, que tant que les Français me conserveront les sentimens d'amour dont ils me donnent tant de preuves, cette rage de nos ennemis sera impuissante.
Page 131 - Friedland, qui décida deux fois du destin de l'Europe. Alors, comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux! Nous crûmes aux protestations et aux...
Page 91 - Soldats! dit-il à la garde nationale de l'empire, soldats des troupes de terre et de mer, je vous confie l'aigle impériale aux couleurs nationales ! Vous jurez de la défendre au prix de votre sang contre les ennemis de la patrie?
Page 90 - Dites aux citoyens que les circonstances sont grandes ! ! ! Qu'avec de l'union, de l'énergie, et de la persévérance, nous sortirons victorieux de cette lutte d'un grand peuple contre ses oppresseurs ; que les générations à venir scruteront sévèrement notre conduite ; qu'une nation a tout perdu quand elle a perdu l'indépendance.
Page 90 - Je ne tardai pas à apprendre que les princes qui ont méconnu tous les principes, froissé l'opinion et les plus chers intérêts de tant de peuples veulent nous faire la guerre. Ils méditent d'accroître le...
Page 305 - ... depuis vingt-six ans, offrent une sûre garantie à la liberté, aux propriétés, à la tranquillité de la capitale et à l'inviolabilité des représentants de la nation ; « Art. V. Les ministres de la guerre, des relations extérieures, de la police et de l'intérieur, sont invités à se rendre, sur-le-champ, dans le sein de l'Assemblée.
Page 91 - Soldats de la garde nationale de l'empire, soldats des troupes de terre et de mer, je vous confie l'aigle impériale aux couleurs nationales, vous jurez de la défendre au prix de votre sang contre les ennemis de la patrie et de ce trône ! Vous jurez qu'elle sera toujours votre signe de ralliaient ! vous le jurez.
Page 349 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.