Histoire de la littérature franc̜aise |
From inside the book
Results 1-5 of 38
Page v
... manière toute spéciale les ouvrages suivants qui nous ont été d'un grand secours : la Littérature Française au Moyen Age , par Gaston Paris , le Sei- zième Siècle en France , par Darmesteter et Hatzfeld , et les excellents travaux de M ...
... manière toute spéciale les ouvrages suivants qui nous ont été d'un grand secours : la Littérature Française au Moyen Age , par Gaston Paris , le Sei- zième Siècle en France , par Darmesteter et Hatzfeld , et les excellents travaux de M ...
Page 6
... manière pour moi , et je ne ferai avec Lothaire aucun accord qui , par ma volonté , porterait préjudice à mon frère Charles ici présent . " La Cantilène de Sainte - Eulalie , qui est du x ° siècle , est très intéressante au point de vue ...
... manière pour moi , et je ne ferai avec Lothaire aucun accord qui , par ma volonté , porterait préjudice à mon frère Charles ici présent . " La Cantilène de Sainte - Eulalie , qui est du x ° siècle , est très intéressante au point de vue ...
Page 7
... manière critique les premiers monuments du français . Le principal attrait de l'étude du vieux français est d'arriver à comprendre , non seulement les œuvres littéraires du moyen âge , mais les coutumes et les institutions d'une des ...
... manière critique les premiers monuments du français . Le principal attrait de l'étude du vieux français est d'arriver à comprendre , non seulement les œuvres littéraires du moyen âge , mais les coutumes et les institutions d'une des ...
Page 26
... manière il parviendra sûrement au succès . Le Temps trouve en Chascun un élève obéissant , mais celui - ci , après avoir trompé tous ceux qu'il rencontre , est à la fin trompé à son tour par son maître . Le sermon joyeux était une ...
... manière il parviendra sûrement au succès . Le Temps trouve en Chascun un élève obéissant , mais celui - ci , après avoir trompé tous ceux qu'il rencontre , est à la fin trompé à son tour par son maître . Le sermon joyeux était une ...
Page 27
... manière sanglante par les Enfants sans Souci et les Clercs de la Basoche . La farce était souvent empruntée aux fableaux ou tirée des événements du jour . Nous en avons environ cent cinquante , mais elles sont le plus souvent si gros ...
... manière sanglante par les Enfants sans Souci et les Clercs de la Basoche . La farce était souvent empruntée aux fableaux ou tirée des événements du jour . Nous en avons environ cent cinquante , mais elles sont le plus souvent si gros ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable aime amis amour Aucassin auteurs Bellay belle Boileau Bossuet caractère célèbre Chanson de Roland chansons Charles Charles d'Orléans charmante chevalier comédie Comines comique comte Corneille cycle d'Orléans devint donna drame écrit écrivains écrivit Émile épopée esprit étudier fableaux farce Fayette femme Fénelon fille fils François Ier Gaule génie gracieux grec Henri héros histoire homme intéressant Jean Joachim Du Bellay jouer l'amour l'auteur l'école l'esprit l'histoire l'Hôtel de Rambouillet langue langue d'oc latin lettres littéraire littérature française livre Louis XIV lyrique Marguerite Marot mérite Mme de Sévigné Mme de Staël Mme de Warens Molière Montaigne mort mourut moyen âge mystères naquit Nicolète œuvres ouvrages parle Pathelin pendant père personnages philosophie pièce poèmes poésie poète poétique premier prince prose Rabelais Racine raconte Renaissance Renard Roland romans Ronsard Rousseau Saint satirique scène seigneurs spirituelles style sujet talent Tartuffe tion tragédie Victor Hugo Villon Voltaire voyons XVIe XVIIIe siècle
Popular passages
Page 147 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 170 - Au lieu de déplorer la mort des autres , grand prince , dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; DE LOUIS DE BOURBON. heureux si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une voix qui tombe , et d'une ardeur qui s'éteint.
Page 202 - N'est-il pas vrai que celui qui l'a fait est bien fat? Sire, il n'ya pas moyen de lui donner un autre nom. Oh bien! dit le roi, je suis ravi que vous m'en ayez parlé si bonnement; c'est moi qui l'ai fait. Ah ! Sire, quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende; je l'ai lu brusquement. Non, M. le maréchal ; les premiers sentiments sont toujours les plus naturels.
Page 242 - Les ouvrages bien écrits seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances, la singularité des faits, la nouveauté même des découvertes, ne sont pas de sûrs garants de l'immortalité; si les ouvrages qui les contiennent ne roulent que sur de petits objets, s'ils sont écrits sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances, les faits et les découvertes s'enlèvent aisément, se transportent, et gagnent même à être mis en...
Page 169 - Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes.
Page 142 - Puis, 30 examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse...
Page 305 - Le nom de romantique a été introduit nouvellement en Allemagne pour désigner la poésie dont les chants des \ troubadours ont été l'origine, celle qui est née de la chevalerie et du christianisme.
Page 289 - Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue...
Page 121 - L'Éternel est son nom, le monde est son ouvrage; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable...
Page 306 - La littérature des anciens est chez les modernes une littérature transplantée: la littérature romantique ou chevaleresque est chez nous indigène, et c'est notre religion et nos institutions qui l'ont fait éclore.