Les Soirées de Saint-Pétersbourg, ou Entretiens sur le gouvernement temporel de la Providence, Volume 2 |
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... pensée ne ramèneroit pas la vigne ; car les imitations serviles ne valent rien : je proposerois le laurier . ( 1 ) Elle lui donnoit même un nom assez doux , puis- qu'elle l'appeloit simplement l'avertissement du báton ; tandis qu'elle ...
... pensée ne ramèneroit pas la vigne ; car les imitations serviles ne valent rien : je proposerois le laurier . ( 1 ) Elle lui donnoit même un nom assez doux , puis- qu'elle l'appeloit simplement l'avertissement du báton ; tandis qu'elle ...
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... pensées et tous ses sentimens se tour- nent en prières ; il n'a pas une ligne qui n'appar- tienne à tous les temps et à tous les hommes . Jamais il n'a besoin de l'indulgence qui permet l'obscurité à l'enthousiasme ; et cependant lors ...
... pensées et tous ses sentimens se tour- nent en prières ; il n'a pas une ligne qui n'appar- tienne à tous les temps et à tous les hommes . Jamais il n'a besoin de l'indulgence qui permet l'obscurité à l'enthousiasme ; et cependant lors ...
Page 65
... pensée du prophète , s'arrête sur ses lèvres , et retombe sur son cœur ; mais la piété le comprend lorsqu'il s'écrie : TES AUTELS , Ô DIEU DES ESPRITS ( 5 ) ! D'autres fois on l'entend deviner en quelques mots tout le christianisme ...
... pensée du prophète , s'arrête sur ses lèvres , et retombe sur son cœur ; mais la piété le comprend lorsqu'il s'écrie : TES AUTELS , Ô DIEU DES ESPRITS ( 5 ) ! D'autres fois on l'entend deviner en quelques mots tout le christianisme ...
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Joseph de Maistre. dépend exclusivement de cette direction soumise de la pensée ? Il connoissoit bien la loi terrible de notre nature viciée : il savoit que l'homme est conçu dans l'iniquité , et révolté dès le sein de sa mère contre la ...
Joseph de Maistre. dépend exclusivement de cette direction soumise de la pensée ? Il connoissoit bien la loi terrible de notre nature viciée : il savoit que l'homme est conçu dans l'iniquité , et révolté dès le sein de sa mère contre la ...
Page 67
... pensée intérieure : alors ma langue s'est déliée , et j'ai parlé ( 4 ) . A ces ( 1 ) Fac mecum . LXXXV , 17 . ( 2 ) Ibunt in adinventionibus suis . LXXX , 13 . ( 3 ) LXII . 6 . ( 4 ) XXXVIII , 4 . flammes chastes de l'amour divin , à ...
... pensée intérieure : alors ma langue s'est déliée , et j'ai parlé ( 4 ) . A ces ( 1 ) Fac mecum . LXXXV , 17 . ( 2 ) Ibunt in adinventionibus suis . LXXX , 13 . ( 3 ) LXII . 6 . ( 4 ) XXXVIII , 4 . flammes chastes de l'amour divin , à ...
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Common terms and phrases
áme antique Aristote assez auroit avez avoient avoit CHEVALIER chose chrétiens christianisme Cicéron cœur COMTE connoissance coupable crime croire crois croyoit Deus devoit Dieu dieux dire disoit dit-il divine doctrine dogme doute ENTRETIEN équateur esprit étoient étoit femmes foule général genre humain guerre hommes Ibid idées Iliad j'ai jamais jour judaïsme Juifs juste l'antiquité l'autre l'esprit l'homme l'intelligence l'univers livre madame Guyon manière ment messieurs monde mystères n'auroit n'avoit n'étoit n'y a rien nations nisme Orig Origène OVID pable parler paroît passe pensée peuple philosophie Pindare Platon Plutarque pourroit pouvoit prière principe prophétique psaumes puissance qu'un quæ raison religieux religion sacré sacrifices saint Augustin saint François-Xavier saint Paul sais sang science Seigneur SÉNATEUR Sénèque sentiment seroit seul siècle sorte sujet surtout système Tanjore temple de Jérusalem terre théorie tion traduction trouve vérité vertu victimes VIII Voltaire vrai Vulgate δὲ καὶ τῶν
Popular passages
Page 34 - La terre entière, continuellement imbibée de sang, n'est qu'un autel immense où tout ce qui vit doit être immolé sans fin, sans mesure, sans relâche, jusqu'à la consommation des choses, jusqu'à l'extinction du mal, jusqu'à la mort de la mort l.
Page 225 - Dieu est le lieu des esprits comme l'espace est le lieu des corps, je fus ébloui par cet éclair de génie, et prêt à me prosterner.
Page 400 - La rive au loin gémit, blanchissante d'écume; La flamme du bûcher d'elle-même s'allume; Le ciel brille d'éclairs, s'entr'ouvre, et parmi nous Jette une sainte horreur qui nous rassure tous.
Page 29 - Mais JB Rousseau a dit avec plus de gravité et de véritable philosophie : « C'est le courroux des rois qui fait armer la terre, « C'est le courroux du Ciel qui fait armer les rois. » Observez de plus que cette loi déjà si terri ble de la guerre n'est cependant qu'un chapitre de la loi générale qui pèse sur lunivers.
Page 119 - Mais en voilà assez sur ce sujet. Je me hâte d'arriver à l'une des considérations les plus dignes d'exercer toute l'intelligence de l'homme, quoique, dans le fait, le commun des hommes s'en occupe fort peu. ; Le juste, en souffrant volontairement, ne satisfait pas seulement pour lui, mais pour le coupable par voie de réversibilité.
Page 33 - La terre n'a pas crié en vain : la guerre s'allume. L'homme, saisi tout à coup d'une fureur divine, étrangère à la haine et à la colère, s'avance sur le champ de bataille sans savoir ce qu'il veut ni même ce qu'il fait. Qu'est-ce donc que cette horrible énigme? Rien n'est plus contraire à sa nature, et rien ne lui répugne moins : il fait avec enthousiasme ce qu'il a en horreur.
Page 322 - Tout annoncent vos propres observations mêmes le démontrent , je ne sais quelle grande unité vers laquelle nous marchons à grands pas.
Page 142 - ... demande à tous les mécontents , que faut-il faire ? sortir de l'empire, peut-être ? impossible: il est partout , et rien n'est hors de lui. Se plaindre, se dépiter , écrire contre le souverain? c'est pour être fustigé ou mis à mort. Il n'ya pas de meilleur parti à prendre que celui de la résignation et du respect , je dirai même de...
Page 89 - ... ,ils se sont jetés avec fureur les uns sur les autres et ont joué ensemble de la dent et de la griffe ; que de cette mêlée il est demeuré de part et d'autre neuf à dix mille chats sur la place , qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur , ne diriez-vous pas : voilà le plus abominable sabbat dont on ait jamais ouï parler!
Page 89 - ... que si l'on vous disait que tous les chats d'un grand pays se sont assemblés par milliers dans une plaine, et qu'après avoir miaulé tout leur soûl, ils se sont jetés avec fureur les uns sur les autres, et ont joué ensemble de la dent et de la griffe; que de cette mêlée il est demeuré de part et d'autre neuf à dix mille chats sur la place, qui ont infecté l'air à dix lieues de là par leur puanteur, ne diriez-vous pas, voilà le...