Histoire de France, Volume 2L. Hachette et cie, 1862 - France |
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... tué aux pieds du roi Jean à Poitiers , comme ton bisaïeul et ton aïeul qui eurent le même sort , l'un à Azincourt , l'autre à Montlhéry , et enfin comme ton père qui fut couvert d'honorables blessures en défendant la patrie . Bayard se ...
... tué aux pieds du roi Jean à Poitiers , comme ton bisaïeul et ton aïeul qui eurent le même sort , l'un à Azincourt , l'autre à Montlhéry , et enfin comme ton père qui fut couvert d'honorables blessures en défendant la patrie . Bayard se ...
Page 78
... tué sans être vaincu . » α Les Essais de Montaigne avaient été précédés de la traduc- tion des œuvres historiques et morales de Plutarque par Amyot ( 1513-1593 ) ; traduction faite de génie , et qui versa dans la littérature française ...
... tué sans être vaincu . » α Les Essais de Montaigne avaient été précédés de la traduc- tion des œuvres historiques et morales de Plutarque par Amyot ( 1513-1593 ) ; traduction faite de génie , et qui versa dans la littérature française ...
Page 87
... tué d'un coup de pistolet au sortir de l'audience . Ce coup tuait aussi Dubourg : il fut brûlé en place de Grève . ― Puissance du parti réformé ; mécontentement poli- tique . Cependant les réformés s'organisaient . Les ministres du ...
... tué d'un coup de pistolet au sortir de l'audience . Ce coup tuait aussi Dubourg : il fut brûlé en place de Grève . ― Puissance du parti réformé ; mécontentement poli- tique . Cependant les réformés s'organisaient . Les ministres du ...
Page 88
... tué . Le duc de Guise , nommé lieutenant général du royaume avec des pou- voirs illimités , se montra sans pitié ; il fit ramasser par des corps de troupes , qui battaient en tous sens les environs d'Am- boise , les conjurés qui s ...
... tué . Le duc de Guise , nommé lieutenant général du royaume avec des pou- voirs illimités , se montra sans pitié ; il fit ramasser par des corps de troupes , qui battaient en tous sens les environs d'Am- boise , les conjurés qui s ...
Page 103
... tué ; l'autre , Montmo- rency , était captif , et il tenait le chef même de l'armée huguenote . Il le traita chevaleresquement , voulut qu'il par- tageât son lit , et dormit bien à côté de cet ennemi mortel , qui avoua n'avoir pu fermer ...
... tué ; l'autre , Montmo- rency , était captif , et il tenait le chef même de l'armée huguenote . Il le traita chevaleresquement , voulut qu'il par- tageât son lit , et dormit bien à côté de cet ennemi mortel , qui avoua n'avoir pu fermer ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille blessés Blücher Bonaparte Bourbon C'était campagne canon cardinal Catherine de Médicis catholiques Charles Charles IX Charles-Quint château civile clergé Colbert commença comte Condé conseil coup cour déclara dépenses donner duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte forces François Ier gagna garde général gens gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Hollande hommes jour juillet l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laissa lettres liberté Ligue livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal mars Mayenne Mazarin menaçait ment Milan millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer Pays-Bas peuple Philippe Piémont place politique port premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes règne reine reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon Savoie seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 80 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine...
Page 328 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 275 - Nos artisans grossiers rendus industrieux, Et nos voisins frustrés de ces tributs serviles Que payait à leur art le luxe de nos villes.
Page 373 - Toutes les sortes d'éloquence y sont renfermées. Il n'ya pas un seul mot qui, depuis cent ans, se soit ressenti du changement qui altère souvent les langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage.
Page 471 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 519 - J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 247 - ... les membres des quatre cours souveraines, le parlement, la chambre des comptes, la cour des aides et le grand conseil...
Page 172 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 680 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 306 - Je connais, disait-il, la force des troupes impériales, les généraux qui les commandent, le pays où je suis ; je prends tout sur moi, et je me charge des événements.